Chapitre 1 :
Dans la minuscule lentille du télescope, le gardien des cotes de l'île de Guangouja vie de grandes voiles blanches se dressaient au loin. Cela n'annonçait rien de bon, il se trouvait dans un coin reculée de l'océan ou seul les pirates, les bandits, et marchands d'esclaves osaient si aventurés. Le gardien dévia sont regard vers le plus haut mat du bateau, pour confirmer la nature des nouveaux arrivants. Il vie alors le drapeau noir orné d'une tête de mort qui a si souvent crée de terribles problèmes sur Guangouja. Il se mis alors a faire sonner les cloches, pour avertir le peu d'habitant qui se trouvait encore sur l'île .
Les habitants avaient ,en effet, petit a petit fuient l'île du au fait des habituelles attaques et des mauvaises fréquentations qui venaient s'installer sur île pour être à l'abri des autorités de la marine. Cette île était alors devenue un paradis ou tout le monde faisait se que bon lui semblait. Une zone de non droit.
A l'entente des cloches les habitants habitués à la démarche se ruèrent vers leur modeste maison contrairement au reste de l'île composée uniquement de bandits de grands chemins qui eux continuaient leur activités dans le même brouhaha.
Quelques minutes plus tard après avoir fait sonnée les cloches le gardien regarda plus attentivement le drapeau pirate, il reconnue les deux typiques sabres croisés avec dessiné pardessus le fameux crane blanc marqué de trois cicatrices a l'œil droit. Ce drapeau était connue de tous, il annoncé la venue du grand pirate Shanks Leroux. C'était l'un des quatre plus grands pirates de ce monde.
Le vent de l'ouest était en faveur des nouveaux pirates qui arrivèrent rapidement au port de la ville. L'énorme galion débarqua et ont vit alors une centaine de pirates ,trop impatiens de revoir la terre ferme, quitter le bateau dans une cohue exagérée. Certains sautaient pardessus le bastingage, d'autres descendaient par l'échelle et quelques un tombaient se qui donner lieu à de petits querelles entre coéquipier. Les conversations se composaient presque uniquement de blagues salas et d'anecdotes grivoises comme ont pouvait l'espérer de la part de pirates.
Le tintement des cloches crée part l'arrivée du pirate redouté était arrivée aux oreilles d'une jeune fille insouciante qui vivait dans la foret qui entourait la ville principale. Cette jeune fille était du moins plus que atypique, elle était toujours très enthousiaste part le débarquement de nouveaux bateaux pirates. Le rapprochement se faisait rapidement dans sa tête : qui dis débarquement dis bateaux, qui dis cloches dis pirates et les pirates avaient toujours le dont de venir avec les bateaux les plus hors normes, contrairement à la marine qui possédait toujours les mêmes navires conventionnelles aussi ennuyeux les uns que les autres. Cette jeune inconsciente avait un penchant pour la mécanique, et tout se qui peut se construire. Ces journées se résumait à élaborer une invention ,et une fois terminée, elle aller dans le coin le plus reculer de la foret pour la tester, cela se terminait souvent par une explosion plus ou moins grosse. Et elle faisait cela jusqu'à se que son invention soit parfaite. Elle vivait avec sa grand mère qui elle savait que sont penchant était plus fort que la raison, se qui lui faisait faire des chose insensée, comme par exemple aller à la rencontre des plus grandes pirates de ce monde juste pour avoirs une petit visite guidée de leur embarcation.
Quand elle entendit les cloches sonner elle se trouver en plein travaille sur quelque que chose dont on ne pouvait pas encore donner le mon. La jeune fille se mit alors à courir vers la sortie de son atelier. Mais elle fut arrêtée d'un violent coup de pied dans le ventre qui la projeta jusqu'au font de la pièce. Elle percuta le mur créant un trou impressionnent dans celui-ci. La fumer crée par la rencontre du mur et de la jeune fille ne permettait pas de voir l'état de l'adolescente. La grand-mère dis alors d'un ton sévère:
- «Si tu n'était pas aussi idiote je n'aurai pas a faire ça!»
Mais elle n'eut pourtant pas de réponses. La fumée se dissipa se qui permit alors à la grand-mère de se rendre compte que la jeune fille n'était plus là. On entendit alors résonner dans toute la foret:
- «Miphylia!»
Elle avait encore cette fois réussit à s'enfuir et du au certain âge de sa tutrice, une fois qu'elle était partie rien ne pouvait l'arrêter.
Plus loin dans à la lisière de la forêt se trouvait la jeune fille accompagnée de sont loup géant au poiles long, et d'un blanc immaculé. Se loup fessait au moins deux fois la taille de la mécanicienne, même si la jeune fille était petite avoir le double de sa taille était imposant. Grâce à lui elle n'avait aucune crainte à aller en ville. Même si ces talents d'art martiaux lui permettait de se sortir de tout les situations, il était plus prudent qu'elle ne sorte pas en ville seule. Elle regardait attentivement vers le port:
- «woaw! Regarde Okami un galion, je crois que j'en avait jamais vue d'aussi impressionnant!»
*j'ai tellement envie d'aller le voir de plus prés mais si ça fini comme la dernier fois mamie Yubaba va finir par me séquestrer à la maison… * Un jolie sourire malicieux se dessina sur son visage parsemée de tache de rousseurs ou on devinée encore les très de l'enfant qu'elle était il y a quelque années . *Tan pis je trouverais un moyenne de m'échapper si jamais elle le fais.*
La jeune mécanicienne et son loup prénommé Okami se dirigèrent, vers le port où avait accosté le bateau des pirates. Elle emprunta la rue principale qui traversait tout la ville et menait directement vers le port. Cependant il fallait qu'elle soit prudente, elle ne pouvait pas demander directement aux pirates de visiter leur bien le plus précieux, il la foutrait dehors à grand coup de pied...
Il fallait alors qu'elle fasse preuve de ruse et de discrétion. Elle avait l'habitude de s'introduire dans les bâtiments sous haute surveillance, c'était pas la première fois qu'elle le faisais.
Quelques mètre avant l'arrivée au port, elle grimpa sur un des énormes entrepôt qui servait pour le commerce de marchandises. Elle inspecta le galion de loin et par chance elle s'aperçut que le navire, à cette heure là, n'était pas très peuplé. Les pirates étaient tous aller se balader en ville. Les seules qui étaient resté c'était ceux de corvée de garde.
Elle commença à réfléchir avec un grand sourire :
*Trop facile ! Ça va être du gâteau, il suffit de ne pas se faire voir par les pirates sur le pont, faire un peut attention à celui sur la vigile. Et hop ! le tour est joué. Même pas besoin de diversion.*
Elle descendit dans la ruelle qui séparait les deux entrepôts pour ne pas se faire trop remarqué. Puis elle couru vers le bateau voisin a celui des pirates pour se cacher. C'était plus facile de s'introduire dans un bateaux marchant qu'un bateaux pirate, surtout qu'ils ne sont généralement pas gardés
