Ce matin de début d'avril, ou le temps légèrement frisquet accompagner par quelque rayon de soleil pour réchauffer ma peau. Assise devant mon ordinateur portable, sur une chaise en bois peinte en blanc, derrière la table en fer blanc du magnifique jardin de la demeure parental, sous un grand et majestueux Saule Pleureur. Je réfléchissais activement et longuement a une phrase pas trop clicher pour entamer l'écriture de mon nouveau roman, le printemps venais a peine de commencer il y'a de cela quelque jours, mais le léger froid de l'extérieur ne me gêner pas, au contraire même, cela me plaisais, peut être plus que de raisin, mais j'avais toujours eu des problèmes avec les température changeantes, mon corps et mon organisme supporter très mal les températures plus élever que vingt-deux degré. Je n'y pouvais rien, j'étais comme cela et je ne chercher pas à me changer, même si j'aimer m'allonger au soleil pour réchauffé ma peau l'été, quand la canicule ce présenter a nous, j'éprouvais alors une sorte de coup de chaud intolérable qui me forcer à rester au frais. Le silence et le grand air était mes alliés les plus précieux, sauf quand j'avais besoin d'un fond sonore pour écrire, entendre le vent souffler et faire lentement se balancer les branches fine, flexibles et tombante de l'arbre sous lequel j'aimer m'installer, me fis soupiré d'aise et de nostalgie. De nostalgie car, je me revoyais alors, enfant courir partout, jouer avec mon chien qui aujourd'hui m'avait quitté, grimper dans cet arbre immense, ou juste m'assoir coller dos a son tronc pour lire tranquillement ou faire mes devoir d'école. Je jouai un moment avec une mèche de mes cheveux boucler qui me tomber devant les yeux, alors qu'au loin j'entendais les éclats de rire de mes plus jeunes cousins et cousines. Rire qui se rapprocher rapidement, me faisant comprendre que se ne serais pas encore aujourd'hui que j'aller réussir à trouver la première phrase de ce nouveau roman. Très vite, ils furent tous la a se courir après les uns et les autres en hurlant de rire ou en criant qu'il y avait triche, ils tournaient autour de l'arbre avec rapidité en faisant un boucan de tout les diable qui me fit rouler des yeux devant leurs chamaillerie, mais je ne pus continuer longtemps a les observer car ma mère fini par me hurler de venir l'aider a préparé le déjeuner au lieux de bailler aux corneilles.
La réflexion ne me plus aucunement, mais je savais qu'il ne valait mieux pas que je lui réponde, alors je préférai me lever et ranger mes affaire dans mon sac puis rentrer poser celui-ci sur le meuble de l'entrée et rejoindre ma si merveilleuse mère dans la cuisine. Prenant au passage mon tablier et le nouant autour de mes hanches, je m'attelai avec rapidité et aisance a la confection de notre repas. De tous, dans cette famille, j'étais la seule à savoir très bien cuisiner, les autres ne réussissaient qu'a créer une sorte de magma infecte et insipide, alors ma mère avait instauré une règle simple, a chaque repas, tous devait être présent dans la maison familiale dans la mesure du possible et JE devais cuisiner pour tout le monde, et cela était non négociable. Pas que cuisiner me gêner, ce n'était pas le cas, mais le faire pour eux qui ne me remercier jamais et me considéré comme une bonne a rien n'était pas vraiment quelque chose que je voulais faire de moi-même.
Pour eux, je devais rapidement trouver un « vrais travail » plutôt que de continuer à écrire comme j'aimer si bien le faire. Le fait que je sois romancière était un sujet très dénigré parmi eux, car ils ne savaient pas quel roman j'écrivais, ni que j'en avais déjà publié. Sans compter, que comme j'utiliser un nom de plumes pour plus de tranquillité, personne ne se douter que leur roman préféré était de moi. Mes roman ce vendaient comme des petit pains, ce qui faisait que je gagner ma vie plutôt bien. Et qu'importe se que ma famille penser et disait a se sujet, je m'en ficher comme de l'an quarante.
Je vous parle de ma famille, de ma mère, même brièvement. Mais vous devez sans doute vous demander ou ce trouver mon père dans ce tableau et bien, pour tout vous dire, je n'en savais rien. Il avait quitté ma mère quand elle lui a annonçais qu'ils allaient avoir un enfant. Apparemment, il n'en voulait pas et plutôt que d'en discuter avec elle, il a préféré prendre la fuite comme un lâche. Ma mère n'a apparemment plus jamais était la même depuis se jour là.
Je me concentrai sur le repas et sur mes gestes afin de ne pas me blesser, préparant, mélangeant, coupant cuisant, je cuisinais vite, bien et avec fluidité. Très vite le repas fut dans le four ou entrain de cuire sur la plaque électrique et ma mère ce mit à me parler pendant que je nettoyer mes ustensiles. Elle semblait nerveuse, alors je compris qu'elle avait encore fait quelque chose à mon sujet dans mon dos. Gardant mon clame malgré la colère sous-jacente qui monter en moi, la laissant chercher ces mots pour enfin finir par m'expliquer que prochainement, nous recevrions la visite d'un homme dans le cadre d'un contra de mariage. Ma mère m'avais fiancé sans mon consentement et cela ma réellement rendus furieuse, très vite la conversation ce mua en rapport de force et en cris, je lui hurler dessus tellement fort que les autres vinrent assister a notre altercation en essayant de comprendre ce qu'il ce passer. Ce qu'elle avait fait me rendais littéralement malade, alors, au bout d'une heure de cris et de reproche, je partis de la maison avec mes affaire, montant dans ma voiture, je me dirigeai chez moi. Durant le trajet, je me calmai du mieux possible, mais je n'en mener pas large, car je ne pouvais ni accepter, ni pardonner cet acte inconsidéré de ma mère. Une heure plus tard, je retrouvai enfin le calme de ma maison, me garant de l'allée, je sortie de ma voiture, que je fermai a clé, puis, je pris mon courrier et je rentrais. Dans mon salon, je déposai sur mon canapé ma veste et mon sac a main et sur la table basse mon ordinateur ainsi que mon courrier. Puis, je me préparai un plateau repas après avoir allumer la télé. Quand j'eu mangé, je passai les trois prochaines heures à travailler sur mon roman avec ma télé en fond sonore. Puis, je pris une longue et délassante douche, pour ensuite me coucher, une fois dans mon lit, je me laissai sombré dans les méandres du sommeil.
