Bonjour/Bonsoir à vous, mes lecteurs !
Voici ma première fanfiction sur Avengers et sur ce site. J'espère que vous aurez beaucoup de plaisir à la lire autant que moi je l'ai à l'écrire. Bonne lecture et Enjoy. :)
On se retrouve plus bas ~
Disclaimer : Tout le monde m'appartient. Non ? Bon... Tout les personnages appartiennent à Marvel, sauf mon Oc.
Chapitre 1 :
Croyez-le ou non, en me levant ce matin, je n'avais absolument pas prévu de me jeter du soixante-cinquième étage d'un immeuble. La journée avait pourtant commencé comme d'habitude, elle m'avait semblé banale. Une musique immonde à la radio dès mon réveil pour me tirer des bras de Morphée, un café à moitié tiède, mais en contrepartie le soleil brillait bien haut dans le ciel de New-York ce qui me permettait de me rendre à pied à la Fac. Maintenant que j'y repense, la journée était peut-être trop normale pour se finir calmement. Je me demande à quel moment tout à commencer à aller de travers.
Peut-être quand Alec est venu s'asseoir à côté de moi. Vous allez me dire, oui et alors ? Mais vous ne connaissez pas Alec. Beau goss, populaire, sportif avec un ego surdimensionné, une voix insupportable et un humour à vous donnez des envies de suicide. Sérieusement, les deux heures passées à côté de lui mon parut les heures les plus atroces et les plus longues de ma vie. Elles me manqueraient presque maintenant.
À 16 heures, j'avais fini les cours et je suis passée au Starbucks en haut de la rue pour prendre deux cafés à emporté avant de me diriger vers l'immeuble où travaillait ma mère. Comme d'habitude, j'ai pris l'ascenseur entouré d'hommes et de femmes serrés dans leurs costards et tailleurs, j'ai salué Robert, le concierge. Alors que je sortais de l'ascenseur, par les grandes baies vitrées de l'immeuble, j'ai vu une sorte de rayons laser bleus percé le ciel de l'île de Manhattan et une sorte de trou est apparut. Immense et noire. Comme un morceau d'univers en plein milieu de la voûte céleste. J'ai écarquillé les yeux, sous la surprise et la curiosité, et me suis avancé, comme tout le monde, vers la fenêtre, collant mon nez à la vitre pour tenter de voir ce qu'il se passait. Tout semblait si calme, tout le monde retenait son souffle et c'est alors que des choses sont sorties du « trou ». À cette distance, je n'étais pas capable de voir autre chose que des sortes de point noire volant, plus ou moins gros, mais à mesure qu'ils s'approchaient, je distinguais de plus en plus leurs formes. Deux bras, deux jambes campées sur des sortes de plateformes volantes, vaguement humanoïdes. Ils devaient porté une armure, car le soleil se reflétaient sur eux. Puis soudain, ils se sont mit à tirer sur les routes, les immeubles, les passants. La panique a gagné tout l'étage et sans aucun doute, tout l'immeuble. Les gens se sont rués vers les ascenseurs, jouant des coudes pour être les premiers à atteindre les potes de métal. J'ai tenté de suivre le mouvement mais j'ai été rejeté sur le côté et ai heurtée un bureau. Retenant un cri de douleur et d'indignation, j'allai m'élancer de nouveau à l'assaut de la foule quand les portes de l'ascenseur se sont renfermées. Tout le monde s'est rué sur les escaliers. J'allais les atteindre, moi aussi quand une explosion a secoué le bâtiment et j'ai tourné la tête pour voir une sorte d'immense baleine volante, couverte d'une armure grise-argenté éventré le bâtiment d'en face. Dire que j'étais terrifiée est un euphémisme. Mais le pire était encore à venir.
Je ne comprenais rien à ce qui se passait, je n'arrivais même pas à croire ce que je voyais quand un de ces trucs montés sur scooters des airs à sauter par la fenêtre, arme en poing. J'ai reculé, mettant un maximum de distance entre moi et cette chose. Je faisais un pas en arrière, il en faisait un en avant, penchant la tête de coter. Son visage était atroce et les sons qu'il produisait me donnaient des sueurs froides. J'ai reculé encore, mais mon dos à heurter le mur du fond. Lui, elle, je n'en savais rien, à continuer d'avancer vers moi puis soudain, il a levé son arme. Seulement quelque secondes devant moi pour réfléchir à une issue. Et j'ai alors fait le truc le plus stupide et improbable de ma vie. J'ai foncé vers la fenêtre qui s'est brisée contre moi et me suis laissé tombé. Du soixante-cinquième étage. J'ai crié, mais le vent sifflait dans mes oreilles et je n'ai même pas pu entendre ma voix. Les étages des immeubles défilaient sous mes yeux et je n'arrivais qu'à penser à une seule chose : j'allais m'écraser comme une crêpe et ce qui resterait de mon cadavre serait plus proche de la bouillie pour chat que de reste humain. Puis ma chute a été stoppé brusquement, à encore quelque dizaine de mètre du sol. Mon souffle a été coupé, je crois bien qu'une de mes côtes s'est fêlée. Je n'ai pas saisi ce qui se passait. De toute manière, je n'étais pas en état de comprendre quoi que ce soit. Pendant un instant, j'ai cru mettre prit une poutre dans le ventre, mais quand j'ai levé les yeux, j'ai vu ce que tout américain se doit de connaître. Le casque rouge et or d'Iron Man. Je venais d'être sauvée par le milliardaire le plus célèbre de la planète et jamais je n'aurais imaginé que ça faisait aussi mal.
Il m'a descendu assez rapidement vers le sol et m'as déposé par terre sans aucune sorte de douceur avant de repartir à l'assaut des créatures. J'avais l'impression d'être un sac à patate jeté d'un camion. Je me suis éraflé le genou sur le bitume défoncé. Adieu mon jean préféré. Un laser bleu m'a alors frôlé et j'ai saisi l'ampleur des dégâts. La route était défoncée, les voitures retournées, en flamme. Des morceaux de building, d'immeuble et d'un peu tout étaient éparpillés un peu partout. J'ai voulu me lever mais un autre de ces trucs à surgit de derrière un taxi renversé sur le flanc, il m'a pointé avec son arme, j'ai senti qu'il allait tiré et sa tête est tombé par terre. Tombé. Le corps à basculer en avant, libérant la vue et me laissant découvrir un homme en costume couleurs drapeau de l'Amérique. Pas difficile à reconnaître lui non plus. Capitaine America à sauter par-dessus le taxi pour venir me saisir le bras et m'aider à me relever.
« Dirigez-vous vers les bouches de métro, vous serez à l'abri. » J'ai hoché la tête et allait le remercier, comme la jeune fille bien éduquée que je suis, mais un autre de ces saletés d'envahisseur à fait apparition, dans le dos du Capitaine. J'ai hurlé, il a paré le rayon, à frapper la bête comme si elle n'était qu'un vulgaire sac de boxe et l'as assommé d'un bon coup de bouclier avant de se tourner vers moi. Je pense que mes yeux devaient sortir de mes orbites et que je devais avoir l'air complètement ahuri parce qu'il a repris, plus pressent.
« Le métro mademoiselle, vite ! » Vite, vite ! Il en a de bonne lui. J'ai voulu me lever, mais je crois que ma cheville était tordue, car je suis retombée lourdement, m'écorchant les mains au passage. Le héros a accouru pour m'aider et clopint-clopant, m'as conduit à l'abri dans un café qui n'avait pas été détruit, me posant délicatement sur le sol.
« Ne bougez pas -comme si je le pouvais- j'enverrais les secours dès que tout ça sera fini. » Et sérieusement, il pensait que j'allais survivre, toute seule ici au milieu d'une bataille qui n'avait absolument rien de normal. Sous le coup du stress, je lui aurais bien dit d'aller se faire voir, mais dire ça au symbole de l'Amérique ne m'as pas semblé politiquement correcte et j'ai simplement hoché la tête en regardant avec inquiétude autour de moi. Le capitaine s'est retourné et est repartit à la charge et moi, je suis restée, seule et ignoré de tous. Comment ça, je mélo-dramatise ? Je sais que Mister America m'avait demandé de ne pas bouger, mais j'ai aperçu une arme d'alien qui traînait sur le sol et je me suis dite que ça pouvait toujours servir, alors je me suis glissée jusqu'à elle. Manque de chance, ou peut être à cause d'un mauvais karma, une autre baleine géante s'est écrasé sur la partie du bâtiment où je me trouvais quelques instants plus tôt, menaçant de tout faire tomber. Je me suis levée en prenant appui sur les débris, ma lance alien en main et suis sortit pour découvrir le capitaine, entouré de nombreux ennemis. Et je suis restée sans bouger pendant plusieurs secondes, à juste le regarder se battre. J'étais fascinée. Bientôt, il ne restai plus qu'un des envahisseurs, mais malheureusement, ce dernier envoya rouler au sol America et souleva au-dessus de lui un long poignard bleuté. Je n'ai pas réfléchi. J'ai tiré. Un trou s'est formé dans la poitrine du monstre et il l'a regardé avant de s'écraser au sol, raide mort. Le Capitaine s'est relevé en me fixant avec étonnement et mal à l'aise j'ai fait la chose la plus idiote du monde. Je me suis évanouie.
Alors voilà pour ce premier chapitre un peu cours qui entre directement dans l'action. Il reste pour autant beaucoup de mystère. Si vous avez des questions, des commentaires ou des insultes, n'hésitez pas à Reviewer. :D
