Chapitre 1
Je me jetai dans les bras d´Embry, qui me tendais les bras en me souriant de toutes ses dents. Ses bras se refermèrent autour de moi, il logea son visage dans le creux mon cou et me fis un petit baiser. Au moment ou ses lèvres entrèrent au contact de ma peau, je frissonnai de plaisir, mon corps vibrai de bien être. Je relevais la tête pour le regarder et qu'en nos regards s'accrochèrent mon coeur fondit. Je ne pus m'empêchais de sourire comme une débile, ou rectification, comme une fille amoureuse tout simplement. Je me hissai sur la pointes des pieds, et colla mes lèvres sur les siennes. Il passa une main dans mes cheveux, son autre main glissa de mon dos aux creux de mes reins et il approfondit le baiser. Sa langue danser avec la mienne avec avidité, son souffle brulant se mélangé au miens...
- Hum, hum !
Je me sépara d'Embry, dans un sursaut de surprise.
Ma mère, toisait Embry, sévèrement.
- Bonjour Madame, la salua Embry, d'un ton forcé.
Ma mère l'ignora et me dis :
- A 17 h faut que tu soit rentré, les Zigler, viennent diner je te rappel.
- Oui, repondis-je agacé du comportement de ma mère, en ouvrant la porte de la voiture d'Embry.
Une fois sorti de ma rue Embry, se détendit et retrouva son humeur. Il s'empara de ma main et l'embrassa tendrement en me regardant amoureusement.
- Arrête-toi dans le chemin au dessus, lui dis-je.
Il me regarda surpris.
- Pourquoi faire?
Je deviai mon regard sur ses lèvres de manière éloquente. Il fit le lien instantanément, et me souris.
Quand il s'engouffra dans le chemin il arrêta la voiture et sans attendre j'attirai son visage près du mien et l'embrassa avec fougue. Il passa sa main dans mon dos et me plaqua contre lui, une chaleur intense s'empara de moi. Sans rompre notre baiser je l'enjamba, de sorte que lui soit assit sur le siège et que moi je soit assise sur lui. Ses mains passèrent sous la jupe de ma robe qui est évasé, pour venir caresser sensuellement mon dos. Je rompis notre baiser pour lui faire de petits baisers dans le cou et a la naissance de son torse. Ses mains qui me caressais le dos glissèrent sur mes fesses et passèrent sous le tissu de mon sous vêtement. J'allais pour retirer son ti-shirt, mais ses mains quittèrent soudainement mes fesses pour m'attraper les poignées. Je le regardai, sonné.
- Maddie, mon bébé, on pourrai nous voir, me dit-il difficilement les yeux assombrit de désir.
- Ont est dans chemin perdu en pleine foret, Embry.
Il m'emprisonnaient toujours les mains.
- Tu n'as pas envi ?
Il haussa les sourcils.
- T'es sérieuse la ? Tu sais bien que j'en meurs d'envie, mais si on te voit... J'en serai malade, gémit-il.
Je soupirai. Embry est très jaloux. Il ne supporte pas qu'un mec pose le regard sur moi, même mes amis ou les siens, il se fait toujours des films, pour lui tout les mecs me convoite. Vicieusement et sensuellement pour le faire craqué, je me pencha de sorte a ce que ma poitrine soit bien a sa vu. Je glissais mes lèvres dans son cou et lui murmura a l'oreille aussi sensuellement que je pus :
- Je gardes ma robe. On ne verra rien...
Et je captura son lobe tendrement avec mes dents et le mordila doucement.
Il lâcha un petit gémissement. Je le prit entre mes lèvres et le sucota doucement. Sa main se perdit dans mes cheveux et l'autre se logea au creux de mes reins.
- Tu vas me rendre fou...
Calculatrice, je me dégagea, faisant mine de renoncé. Il me regarda, ahuris.
- Quoi ? Je ne vais pas te supplier, si tu n'as pas envi...
Il grogna et plaqua férocement ses lèvres sur les miennes. Et nous reprirent la ou nous, nous étions arrêter. Je retirai son ti-shirt et lui caressa son torse musclé et mate en me mordant la lèvre. J'allais y déposer de petits baisers mais Il m'attira jusqu'a ses lèvres pour m'embrassai sauvagement. Il attrapa mes fesses pour me coller encore plus a lui, et la je sentis a travers son jeans son sexe tendu et dur. Je me frottai sensuellement dessus, de sorte a se que nos sexes se frictionnent, et il lâcha un gémissement frustré contre mes lèvres . Ses mains quittèrent mes fesses pour me prendre par les épaules et il me poussa de sorte a se que mon dos soit appuyé sur le volant. Ses lèvres lâchèrent les miennes et elle descendirent dans mon cou, mon thorax et il s'arrêta au niveau de ma poitrine. Ses mains passèrent derrière mon dos pour cherchée l'ouverture de ma robe, et elles la trouvèrent. Sitôt ouvert, il dégagea doucement la robe de ma poitrine et vint me caresser les seins par dessus mon sous vêtement. Je fermais les yeux et frissonnait de plaisir et d'appréhension. Ses mains tremblantes d'envie et de désir me baissèrent mon soutien gorge dans ma robe pour libérer ma poitrine. Qu'en ses mains brulantes m'empoignèrent fermement les seins je gémis de plaisir. Il les malaxa, les caressa, tout en m'embrassant. Son érection était de plus en plus imposante contre mon sexe. Il quitta mes lèvres et il enfoui sa tête dans ma poitrine.
- Aaaah, couinai-je qu'en sa bouche asprira le bou de mon sein.
Il m'attrapa le sein et lécha la pointe maintenant durci, tant j'étais excité, tandis que son autre main malaxai l'autre. Mes deux mains se perdirent dans ses cheveux, mon bas ventre est en pleine éruption. J'ai chaud, j'ai envie de lui, je veux plus...
- Embry, gémis-je.
Il m'ignora, me dévorant la poitrine.
Je le poussa fermement sur le siège. Mes mains déboutonnèrent son jeans, et il se souleva légèrement pour baisser son jeans et son boxer, pour laissé dévoilé son sexe au comble de l'excitation. Embry, passa ses mains sous la jupe de ma robe, attrapa ma petite culotte et la déchira sans effort. J'allais pour positionné son sexe qu'en il remonta ma robe avec hâte sur ma poitrine et la referma rapidement. Il me regarda intensément, les yeux pleins d'envi et me pénétra d'un coup, m'arrachant un gémissement. Ses bras m'enveloppèrent et il commenca des vas et vient ferme. Je gémis a chaque coup qu'il donne. Il accéléra progressivement ses coups en moi, me faisant fondre de plaisir.
- T'aime mon amour? Me dis Embry, la voix saccadé par l'acte.
- Humm ! Oui, plus fort s'il te plait, prend moi plus..!
Il ne se fit pas prié, il m'empoigna les hanches et poussa fermement afin que son membre soit parfaitement en entier en moi et fit des vas et vient deux fois plus vite. Je lâchai contre son cou des cris de plaisir tant les coups étaient rapide et fort. A chaque coup je sentais parfaitement en entier son gros et grand sexe butait au fond de moi.
- Maddie, mon bébé, t'es tellement serré, gemit-il. C'est... Tellement.. Bon...Je pourrai pas...longtemps...
Je me dégageai de son cou et plongeai mes yeux dans les siens. Son visage était tendu par le plaisir. Il passa une main dans mes cheveux et m'embrassa passionnément.
- Bébé, gemit-il contre mes lèvres. Je vais...
- Vient vas'y !
Il enfoui son visage contre mon cou, en lâchant des plaintes de plaisir, puis après quelques coups puissant il se libéra en moi.
Une fois libéré complètement, nous reprirent notre souffle tout doucement, bras dans les bras, ivre de bonheur. Il embrassa tendrement le sommet de mon crâne et me regarda amoureusement.
- Je t'aime tellement, souffla-t'il.
J'entremêlai nos doigts et lui baisa la main tendrement.
- Moi je t'aime encore plus.
- Ne comence pas, c'est moi qui t'aime le plus!
Je n'eu le temps de le contredire qu'en il brisa la magie du moment.
- Maddie, promets-moi qu'as ton retour rien n'aura changé.
Je lâcha un long soupir, agacé.
- Embry, pour la centième fois arrête rien ne va changé !
Je lisais de l'inquiétude dans ses yeux. Demain je pars en vacance chez les parent de ma mère avec mes parent. En faite ce qui effraye Embry, c'est que ma mère le déteste. Ce qui la dérange c'est qu'Embry, soit de la réserve Quilleute, elle rabâche constamment que ce n'est pas de bonnes fréquentation, que ces gens la n'ont aucun avenir, que c'est de la racaille, que je mérite mieux... Embry, a toujours la crainte que je finisse par écouté ma mère. J'avais fini par le rassuré avec un peu de temps. mais mon départ a fait ressortir sa crainte.
- En 1 mois ta mère peut te bourrer le crâne, tu ne me verras pas, peut être que tu vas te rendre comte avec le recul que je ne suis peut être pas le garçon mieux pour toi...
Je le stopper en mettant ma main devant sa bouche :
- Je t'arrêtes tout de suite Call ! Jamais je n'écouterai ma mère, elle peut penser ou dire ce qu'elle veut, je men fous ! Moi, tu me conviens bien plus qu'il ne le faut, jamais elle ne se mettra entre nous, jamais je ne pourrai te quitter, je t'aime trop.
Il me regarda, ému.
- Tu vas tellement me manquer, avoua-t'il avec un tremblement dans la voix. Sa me rends malade de ne pas pouvoir te voir pendant 1 mois...
- On se téléphonera tout les jours, on s'enverra des messages..
Ma gorge se noua et j'eu les larmes me montèrent aux yeux.
- Non, s'empressa-t'il de dire en prenant mon visage entre ses sains. Mon coeur, ne pleure pas, non... Sa va aller, tu as raison on s'appellera.
Et pour allégé l'ambiance il me dis :
- Euh, on va mangé ? J'ai une faim de loup !
Le lendemain
Assise dans l'avion, je regardai par l'hublot l'avion décollé, une boule au ventre.
Et voila le premier chapitre :)
J'espère qu'il vous a plut !
Qu'en avez-vous pensez ?
Dites-moi vos impressions, des avis m'encouragerai vraiment a écrire :)
Je précise que dans ma fiction Embry n'a pas encore muté.
Et désolé pour les fautes d'orthographes, j'essaie de m'amélioré, vraiment.
