Hellooooo :) juste un OS Supernatural ! Destiel évidemment...

/ ! \ Contient de la violence physique et psychologique, des propos suicidaire et du suicide. Si vous y êtes sensibles, ne lisez pas.

oooooooooooooooooooooooooooo

Encore un. Un qui va encore se faire pardonner. Et qui va se faire oublier.

Encore un qui fait mal. Encore un qui fait saigner. Et pleurer en silence.

Encore un marque.

Encore un coup.

Mais aucun mots ne débatera dessus. Aucune réaction visible ne se faisait voir. Encore.

Le silence qui régna encore entre les deux êtres. Puis les cris du bourreau.

Les insultes. Les mots qui blessaient plus que les coups eux-mêmes.

Encore.

Un cœur qui se brisa encore un peu plus.

Un mental qui ne tenait plus qu'à un fil.

Un homme qui ne tenait plus du tout.

Puis le départ de bourreau vers un autre bar. Encore.

La solitude de la victime. Encore.

Les prières d'une personne brisé. La réponse silencieuse que lui renvoyait son esprit. Encore.

La même réponse que toutes les autres fois. Une affirmation. Une action.

Une action qui était toujours la même. Et qui n'était jamais réalisé. Encore.

Des sanglots qui remplaçaient cette pensée. Encore.

Le lendemain, c'était la même chose.

Encore.

Une autre blessure, d'autres mots torturant son esprit, un départ, une prière une action refoulée et des pleurs.

Et ainsi de suite. Le même scénario.

Une blessure.

Une torture.

Un départ.

Une prière.

Une action refoulée.

Des pleurs.

Encore.

Mais cette chaîne se cassa.

Car le cœur était brisé.

Car le mental n'était plus attaché à son fil.

Car l'homme n'était plus.

Le coup.

Le mental détruit.

L'asbsence du coupable.

La prière à une personne qui ne l'écoutait pas.

L'action qui lui passa par la tête.

L'action qu'il décida de réalisé.

La boucle qui sera enfin bouclée.

Alors il prit une feuille et rédigea une lettre.

Une courte lettre.

Quelques mots.

Des mots justifiant ce qu'il allait faire.

L'homme plia la lettre.

Rangea la maison.

Passa par la salle de bain.

Prit la boîte jaune.

Déposa une chaise au milieu du salon.

S'assit sur la chaise.

La lettre sur les genoux.

Ouvrit la boîte jaune.

Avala tout les médicaments.

Et attendit.

Et sentit le coma arriver.

Et sentit la vie le quitter.

Et sentit le poid sur ses épaules le quitter.

oooooooooooooooooooooooooooo

Quand Dean rentra chez lui, tout était rangé.

Il était rentré rapidement pour annoncer à l'homme qui partageait sa vie qu'il allait enfin changer et prendre une psychologue.

Mais la maison était silencieuse.

Trop silencieuse.

En allant dans le salon, il découvrit le corps de l'homme qu'il aimait.

Un teint blâfard.

Une lettre sur les genoux.

Dean ne bougea pas.

Il n'y arrivait pas.

Il regarda son homme comme si il attendait son réveil.

Mais l'homme au milieu du salon ne bougea pas.

Ne respirait pas.

Et Dean tomba.

Et Dean pleura.

Et Dean culpabilisa.

oooooooooooooooooooooooooooo

Dean se tenait devant la tombe de son défunt mari. Cela faisait que 2 semaines qu'il l'avait quitté. Qu'il avait quitté le monde des vivants. À cause de lui.

Dean venait tout les jours depuis.

Mais cette fois, il avait amené la lettre.

Il ne l'avait toujours pas lu.

Il n'avait pas eu le courage.

Quand il commença à la lire, les larmes lui monta aux yeux presque instantanément.

"Le coup.

Le mental détruit.

L'asbsence du coupable.

La prière à une personne qui ne m'écoutais pas.

L'action qui me passa par la tête.

L'action que je décida de réalisé.

La boucle qui sera enfin bouclée.

Tu m'as fais vivre un enfer Dean.

Tu m'as brisé.

Mais je suis resté car je t'aimais.

J'espère qu'on se reverra dans longtemps.

Castiel"

Dean pleurait maintenant toute les larmes de son corps, tout en répétant "Cas'..." doucement.

Puis il jeta un œil sur la tombe de son mari. Un petit ange de pierre se tenait sur la pierre tombale.

Et les écritures gravés sur la pierre faisaient saigné encore plus le cœur de Dean.

" Castiel Novak "

1990-2018