Salut tout le monde !

Et bien voila, je me lance dans les fictions de Twilight =). J'ai enfin trouvé l'inspiration qui me manquait.

Cette fiction m'est venue en tête au moment où j'écoutais une chanson de J. (et oui j'aime beaucoup ce genre de classiques ^^). L'idée d'imaginer nos deux héros préférés dans le contexte de la chanson a fait tilt dans ma tête.

Au final, j'ai finis par écrire ce prologue. Je n'attends plus que vos impressions =)

Disclaimer : Les personnages ne m'appartient pas (malheureusement -_-') mais ils appartiennent à la génialissime Stephenie Meyer. Il y aura une toute petite exception pour le prologue.

Et bien… Bonne lecture =) !

Prologue

( Tournent les violons – Jean-Jacques Goldman )

Grande fête au château il y a bien longtemps
Les belles et les beaux, nobliaux, noble sang
De tout le royaume on est venu dansant

Toute cette agitation dans les cuisines me donnait mal à la tête. Mais qui ne serait pas excitait par cette fête que tout le royaume attendez avec impatience, l'anniversaire de Dame Miriam. Aujourd'hui, tout comme ma mère l'avait fait le jour de l'anniversaire de la mère de Dame Miriam, je suis chargée du service parmi les nobles qui dansent. C'est la première fois que j'ai le droit d'aller dans ce genre de fête.

Grande fête aux rameaux et Manon à seize ans
Servante en ce château comme sa mère avant
Elle porte les plateaux lourds à ses mains d'enfant

Je n'avais pas pensé qu'il y aurait tellement de monde. Il me bouscule, ne font pas attention à moi. J'ai bien peur que les verres finissent sur le sol grâce à ma maladresse. Les nobles semblent si grands et si autoritaire qu'au moment où je m'approche d'eux, je n'ose lever mon regard de mes souliers. Et puis je vis un homme rentrer.

Le bel uniforme, oh le beau lieutenant
Différent des hommes d'ici blond et grand
Le sourire éclatant d'un prince charmant

Différent… Oui il l'était. La plupart des hommes étaient blonds et dotés d'yeux bleus ciels. Lui… Lui il était l'extrême opposé des personnages avec qui j'avais eu l'habitude de servir. Ses cheveux étaient d'un roux cuivré et il semblait avoir négligé sa coiffure mais cela lui allait tellement bien. Ses yeux de la couleur de l'émeraude avaient une étincelle de malice. Il était beau, oui. Mais je n'avais pas le temps de me perdre dans des fantasmes interdit et fou. Je me laissais guider par les violons qui redoublaient de vitesse.

Tournent les vies oh tournent et s'en vont
Tournent les violons

Redoublent la fête et les rires et les danses
Manon s'émerveille en remplissant les panses
Le bruit, les lumières, c'est lui qui s'avance

Tout le monde est emporté par l'hypnose des violons et je les regarde, fasciné. Si seulement ce genre de choses pouvait arriver à la servante que j'étais. Je passe à coté du groupe où le bel homme était et n'osait le regarder. Quelques mètres après, je ne sus si je rêvais où si cela était la réalité. Une main frôla ma hanche et je tournais la tête pour Le voir.

En prenant son verre auprès d'elle il se penche
Lui glisse à l'oreille en lui frôlant la hanche
"Tu es bien jolie" dans un divin sourire

Son sourire était au combien éblouissant et j'en restais paralysée. Ses mots repassaient et repassaient dans ma tête. Sa douce haleine m'avait envahi. Le contact de sa main sur ma hanche. Son regard charmeur. Tout. Tout en lui m'avait ébloui. Me rendant compte que je n'avais bougé de l'endroit où j'étais depuis quelques minutes et me rendit en cuisine, le cœur battant. C'était court, et pourtant… Mon cœur ne cessait de battre et mes joues avaient pris une jolie teinte rosée. J'en suis tombée folle amoureuse, me l'avouant à grand peine.

Passent les années dures et grises à servir
Une vie de peine et si peu de plaisir
Mais ce trouble là brûle en ses souvenirs

Je n'en peux plus… Tout ce travail… Au final, après quelque mois, je ne l'ai plus revu. Et pourtant, ce souvenir est encré dans ma tête et en fermant les yeux, je ressens encore sa main, son haleine, son regard, sa bouche parfaite, ses dents d'ivoire, la douce musique des violons et cette phrase « Tu es bien jolie »…

Elle y pense encore et encore et toujours
Les violons, le décor, et ses mots de velours
Son parfum, ses dents blanches, les moindres détails

J'étais parti me promener dans la forêt, ayant un temps de pause et m'asseyait dans une clairière. Tellement plongée dans mes souvenirs que je n'entendis pas quelqu'un approcher. Mais aurait il fallu que j'eu une ouïe particulièrement développée pour l'entendre, je ne sentis pas ma mort approché. Tout ce que je voyais, c'était son visage, son sourire, ses yeux d'émeraude.

En prenant son verre auprès d'elle il se penche
Lui glisse à l'oreille en lui frôlant la hanche
Juste quatre mots, le trouble d'une vie
Juste quatre mots qu'aussitôt il oublie

Je n'eu le temps d'hurler qu'on me plaqua au sol. Je vis un homme aux cheveux noirs d'ébène qui devait avoir la vingtaine et les yeux noirs d'encre. Ses yeux exprimaient une telle soif mais aussi avec un peu de retrait, du dégout, du dégout pour lui-même. Ne comprenant pas ce qu'il se passait, je tentais de me relever mais sa poigne sur mes bras était telle que je ne pouvais bouger. Il me regarda avec douleur et s'approcha de mon cou. Et soudain, je compris. Il n'était pas humain. C'est la seule conclusion qui me venait à l'esprit quand je vis sa bouche s'ouvrir. Et la, je vis l'objet de mon meurtre, la chose qui allait me faire au combien souffrir et qui me mena a cette conclusion. Ses crocs. Acérés qui avançaient vers ma gorge. Un vampire. J'allais finir comme repas. Me laissant aller, je bougeais ma tête sur le coté pour que mon cou soit plus accessible.

J'entendis un léger pardon et je sentis une pression puis quelque chose s'enfoncer. La douleur fut tellement puissante que je ne pus réprimer un hurlement qu'il cacha bien vite d'une main posé sur ma bouche. Sentant ma vie partir, je fermais les yeux et pensais encore et toujours à lui. La fin de ma vie lui était entièrement consacrée mais il n'en aurait jamais conscience. Je l'aimais, juste pour quelques mots. Il était devenu ma fascination.

Elle y pense encore et encore et toujours

Finalement, je tombais dans l'inconscience, la dernière chose que je vis, fus mon ravisseur qui relevait la tête, mon sang autour des lèvres et une lueur rouge dans le regard. Il semblait paniqué et regardait autour de lui. Je souris et laissa retomber ma tête.

Moi, Isabella Marie Swan, je suis morte le 13 Août 1968, 1 mois avant mon 18ème anniversaire.

Morte ? Finalement qui le sait vraiment ?

Alors ?? Ca vous a plu ? Il y a des choses à revoir ?

Si cela vous a plus, j'espère avoir beaucoup de vos avis =)

En attendant vos reviews, le chapitre 1 sera posté dans quelque temps.

Je vous aime déjà mes lecteurs !

Liiliize71