Smallville ; Kansas.

Intro

Chloé Sullivan vient juste d'épouser Jimmy Olsen. Le photographe du daily planet ; elle-même est reporter dans ce journal. Elle vit encore au talon pour le moment.

Mais dans le plus grand des secrets, Chloé est aussi nommé tour de guet ou wachtower. Elle guide, une bande de héros dans leur quête de justice, depuis la tour de contrôle. Ce bâtiment que l'on peut voir partout peu importe où l'on se trouve dans la ville.

Elle a été acquéri par le milliardaire et playboy Oliver Queen, lui qui n'est autre que l'archer vert ou plus communément appelé le héros au collant vert. Il est l'instigateur et le chef de la ligue des justiciers.

Pour l'instant composé de : Arthur Curry alias Aquaman, Bart Allen alias Flash, Victor Stone alias Cyborg, Courtney Whitmore alias Stargirl, Hal Jordan alias Green Lantern.

Lois Lane cousine de Chloé est aussi reporter au Daily Planet. Elle est franche et ne mâche pas ses mots. Elle est presque aussi pire que sa cousine pour s'attirer des ennuis.

Elle vit à la ferme des Kent avec Clark. Mais non, ce n'est pas encore ça ; l'homme d'acier se remet difficilement de la fin de son histoire avec Lana, il déprime le pauvre.

Une Lane suffira-t-elle pour le remettre sur pied ?

Le Talon

Pdv Chloé

- Coucou, je suis rentrée ! M'écriais-je

- Ah, mon amour ; tu as eu du retard ?

- Hum, non pas vraiment mais j'ai du faire un détour ; je devais vérifier un point pour mon prochain article. Mentis-je espérant qu'il n'essaierait pas d'en savoir plus.

- Oh, tu n'as pas pris de risque au moins ? Demanda-t-il vraiment inquiet.

- Mais non ne t'inquiète pas, au pire il y a S.O.S Clark.

- Ouais, d'ailleurs en parlant de ça, je dois avouer que j'ai encore du mal a réaliser.

- J'imagine. Mais tu te souviens tu étais d'accord pour garder le secret. L'avertis-je en le pointant du doigt.

- Je sais et je tiendrais parole, je n'ai aucune envie qu'il ait des ennuis par ma faute. Mais pour tout te dire, j'ai entendu dire qu'il n'allait pas fort.

- Je suppose que la tornade Lane et sa langue bien pendue sont passés par là. Rigolais-je. Je suis sûr que ça va passer pour Clark, Lana était son premier amour mais il est temps qu'il tourne la page. Repris-je plus sérieusement.

Dans un bar

Pdv Oliver

J'enchainais verre sur verre, sans trop savoir pourquoi. Du moins, je ne m'en souvenais plus.

Toutes les filles me jaugeait, je pouvais choisir n'importe laquelle comme on fait ses courses au supermarché ; hésitant entre une tarte et une quiche. Belle comparaison n'est-ce pas ?

Tout ça me répugne, il est peut-être temps pour moi de trouver une femme qui saura me rendre heureux et que j'aimerais.

Je posais mon verre, laissais plus de billet qu'il n'en fallait et partit sans même regarder, celles qui s'attendaient à ce que je fasse mon choix. Mais, il est fait finalement ; ce soir, ce ne sera personne.

Le lendemain

Tour de contrôle

Pdv Chloé

J'arrivais enfin à la tour après une journée harassante. Je n'ai même pas eu le temps de déjeuner avec Jimmy.

Je m'installais confortablement devant mes ordinateurs avant de m'apercevoir que je n'étais pas seule. Je me levais brusquement et me dirigeais vers la source du bruit.

- Oh, c'est toi ! J'ai eu peur, je viens d'arriver. Dis-je. Tu vas bien ? Demandais-je en scrutant son air songeur.

- Oui, ça va bien ! Et toi Chloé ?

- Très bien, merci. Que fais-tu là, à cette heure-ci ?

- Oh, rien de spécial. Répondit-il confus.

- Je dois guider Bart et Arthur ce soir mais si tu veux faire une ronde. Proposais-je.

- Euh nan, mais je voulais savoir. Tu sais comment va Clark ?

- Toujours pareil, sa rupture d'avec Lana, l'a plus secoué que je ne l'aurais imaginé. Confiais-je. Mais si c'est pour intégrer la ligue sache que même sans cela, Clark serait difficile à convaincre. Repris-je

- Ouais, j'imagine il préfère agir en solo. Affirma-t-il.

- Je crois plutôt qu'il a du mal à faire confiance aux autres. Et puis Clark a toujours tendance à prendre le blâme sur lui l'expérience avec Davis le prouve. Tout ça pour dire qu'il n'admettrait pas, que l'un de vous ne revienne pas pour une mission qu'il considère comme étant la sienne.

- De quelle mission tu parles ?

- De celle de rendre la justice et de protéger les gens et accessoirement, sauver le monde, quand le mal apparait sous différente forme, comme doomsday.

- Cette histoire, t'as beaucoup marqué. Ce n'était pas ta faute, tu as juste essayé de sauver un homme.

- Oui, enfin j'ai failli perdre Jimmy et je ne sais pas comment j'aurais réagi si Clark n'étais pas intervenu pour nous aider. Admis-je

- Ouais, j'aimerais bien te dire que je peux comprendre mais hélas l'amour est un sentiment qui ne m'est pas familier et je le regrette.

- Tu es sûr que tout vas bien ? D'habitude pas d'attache, pas de sentiment te convient parfaitement.

- Me convenais Chloé. Mais ce n'est plus le cas. Affirma-t-il, le regard sombre.

- Je suis persuadé que tu vas rencontrer une femme qui t'aimera autant que toi tu l'aimeras, il faut juste du temps pour ça.

- Ouais, tu as raison comme d'habitude. Dit-il le sourire retrouvé. Bon, je te laisse à plus tard Chloé. Ajouta-t-il, puis de partir rapidement.

C'est bien la première fois que je voyais Oliver aussi mal. Et je dois avouer que, ça me touche.

C'est vrai, qu'il a souvent agi comme un goujat, non en fait, il en était un.

Cependant s'il souhaite se rangé et trouver le bonheur alors je lui souhaite, il le mérite.

Pdv Oliver

Cette discussion avec Chloé m'avait mis mal à l'aise. Pour eux, je serais toujours un bad boy prétentieux. Et c'était de ma faute. Mais comment allais-je faire moi Oliver Queen pour me passer des femmes ? Je ne m'en sentais pas capable, d'autant qu'un Gala aura lieu demain soir et que j'y serais seul.

Las, de chercher des réponses à mes problèmes affectif je décidai de patrouiller. Au moins, lui, personne ne le connaissait mais tout le monde le respectait et c'est cette partie de moi qui me fait me sentir moins seul.

Les rues étaient calme, bien plus que lorsque je suis arrivée i ans. A l'époque, j'intervenais une bonne dizaine de fois chaque nuit.

Le visage de la ville a bien changé depuis que nous sommes là. Je n'en suis pas seulement fier, j'en suis surtout très heureux.

Je sauta de toit en toit comme j'en ai l'habitude dans ce que j'aime appeler : mon terrain de jeux grandeur nature. Dans mon élan, je passa de l'autre côté d'une ruelle sombre, mais les pleurs d'un enfant me stoppèrent.

Je fis rapidement demi-tour et descendit, c'était une petite fille. Elle était assise par terre, ses jambes ramener vers son visage et ses bras autour tenant fermement une poupée de chiffon.

Je m'approchai lentement, ne voulant pas lui faire peur et je ne savais pas trop comment l'aborder. Soudain, elle leva les yeux vers moi.

- Bonsoir. Sanglota-t-elle

- Ou sont tes parents ? Demandais-je.

- Là-dedans. Répondit-elle en montrant la porte derrière elle.

- Tu restes ici, pendant que je vais voir.

- Pas la peine, le monsieur, il les a tués. Maman, elle m'avait bien dit de rester dans le placard mais j'avais trop peur et quand j'ai entendu tout le bruit, je suis sortie et là je les ai vus.

J'entrais et allait vérifier les dires de la petite et en effet un homme et une femme étaient allongé par terre baignant dans leur sang. Je ressortis, j'avais de la peine pour elle.

- Est-ce que tu sais qui je suis ? Lui demandais-je espérant gagner sa confiance.

- Oui, vous êtes monsieur L'archer aux collants verts et vous êtes un héros. Affirma-t-elle sérieuse.

Ce ne sont pas des collants pensais-je.

- C'est exact. Et toi comment tu t'appelles ?

- Rose, c'est mon papa qu'il l'a choisi parce qu'il adorait les roses.

- Il a raison, c'est très joli. Mais dis-moi Rose, as-tu vu l'homme qui a fait du mal à tes parents ?

- Oui, c'était un monsieur chauve et y'avait aussi une dame blonde. Ma maman, je l'ai entendu dire que c'était une garce. Je vais faire quoi maintenant ? Questionna-t-elle en pleurant encore.

- Tu vas venir avec moi, d'accord. Je t'emmène à l'hôpital.

- Non, non, non pas l'hôpital. Se mit-elle à hurler. De toute façon, je dois pas bouger, c'est maman qui l'a dit je veux pas les quitter.

- D'accord, pas d'hôpital. Abdiquais-je.

J'appelais Emil, pour qu'il vienne chercher les corps de ses parents et il en profiterait pour l'ausculter.

J'étais inquiet premièrement qu'allais-je faire d'elle ? Et secondement, j'avais une très mauvaise impression sur l'identité de l'assassin de ces gens.