Auteur : Asrial
Base: DragonLance
Genre : masturbation
1 Rêveries
Raistlin se mordit les lèvres.
Dalamar versa avec précision le contenue d'une fiole dans le chaudron frémissant sur le feu puis se retourna ers la table pour prendre la poudre d'écailles de casoar et l'ajouter a son mélange.
L'Archimage retint un petit sourire concupiscent en voyant le profil parfait de l'elfe se découper a contre jour sur la pourpre volatile jetée par les flammes du foyer.
L'elfe était magnifique…
Raistlin soupira en reportant son attention sur son grimoire, incapable de s'absorber dans l'étude du sortilège qu'il allait devoir lancer.
Un froufrou de soie et la subtile caresse d'une longue mèche de cheveux noir tombant sur sa main mêlés à la troublante odeur d'épice de musc que dégagea l'apprenti quand il se pencha sur lui pour lire le reste de la formule par dessus son épaule finirent de troubler totalement.
L'elfe repoussa nonchalamment la mèche de cheveux qui lui tombait sur le visage en un geste gracieux qui fascina un peu plus l'Archimage.
Raistlin se mordit douloureusement la lèvre.
Son apprenti était un authentique appel a l'amour et a la sensualité qui n'hésitait jamais a faire étalage de ses charmes auprès des femelles qu'il souhaitait mettre dans son lit.
A la grande déception de son maître, l'elfe ne semblait pas prendre un quelconque intérêt aux avances de la gente masculine.
Il soupira encore.
Les manières ouvertement sensuelles lui mettait les nerfs a fleur de peau, mais c'était surtout sa naïveté étonnante quand aux désirs qu'il faisait naître chez son maître qui attirait davantage Archimage
L'attrait de l'interdit sans doute…
Certes, Raistlin n'avait pas vraiment d'expérience en ces matières, mais suffisamment toutefois pour pourvoir faire un cour subtile a l'elfe.
Dalamar c'était révélé totalement imperméable a ses attentions, n'y voyant qu'une détente dans leur relation professeur/étudiant.
"- Shalafi ???
Une main aux long doigts fins et agiles qu'il rêvait se sentir sur son corps secoua Archimage par l'épaule, le tirant de sa rêverie.
"- Apprenti ?
"- J'ai finit…
Raistlin censura la brusque montée de dépit aussi bien que l'inconfort de son pantalon sensiblement trop étroit tout d'un coup et parvint a lui répondre calmement.
"- Très bien apprenti. Je finirais. Tu m'a dit que tu avais un rendez vous ce soir, il me semble…"
L'elfe se fendit d'un splendide sourire lumineux et un peu pervers sur les bords.
"- Merci Shalafi..
Archimage soupira a pierre fendre et agita la main.
"- Ouais, ouais... aller, file…
Dalamar pencha la tête sur le coté.
"- Shalafi ? Tu es sur que ça va ? Tu n'as pas l'air en forme…." Il hésita puis lança, hésitant. "tu veux que je reste ce soir ? Si tu n'es pas bien…"
Raistlin se retint de lui hurler a la figure que la seule chose qui le faisait souffrir était son indifférence mais parvins a contenir sa réaction aussi mélodramatique que née de son malaise et haussa les épaules.
"- Juste un peu de fatigue, apprenti. Va t'amuser…"
L'elfe n'insista pas et sortit.
Raistlin se prépara a passer une nouvelle nuit solitaire dans sa chambre glacée.
***
Milieu de la nuit.
(NdAs: et là, l'auteur fait une pose le temps de se mettre une zique correspondant a la situation et mets enigma)
Raistlin se réveilla en sursaut.
Avec un gémissement, il s'étira douloureusement en étirant les bras au dessus de sa tête. Un craquement résonna dans son cou et son épaule et une partie de la douleur qui l'avait réveillé disparue.
Un curieux gémissement le fit sursauter et il ralluma la chandelle sur son bureau d'une pensée.
Il balaya son bureau du regard.
Il s'était endormit dans son bureau, la tête posée sur l'énorme grimoire qu'il compilait. La nuit était noire, bien entamée mais loin d'être finie pour la moitié de la population de la Tour s'il en croyait les gémissements de pur plaisir qui retentissaient au dessus de lui, dans la chambre de son apprenti.
Il frissonna.
Le baryton léger de l'elfe couvrit les petits couinements de sa partenaire en un feulement rauque qui fit grimacer l'humain.
La très grande volubilité de l'elfe était la seule et unique raison qui lui avait fait inverser sa chambre et son bureau.
Il lui était déjà pénible de l'imaginer, nu, le corps offert aux caresses d'un quelconque femelle incapable de se rendre compte de ce qu'elle avait entre les mains, alors en plus l'entendre gémir et crier de plaisir pendant des heures en était devenu une véritable torture mentale pour le pauvre Archimage
Un cri particulièrement strident suivit d'un grincement particulièrement audible du sommier jeta un long frisson dans les reins de l'humain qui ferma les yeux, les mains étreignant le bord de la table tandis qu'il cherchait a reprendre le contrôle de son corps et de sa respiration saccadée.
Soupirant, Raistlin leva les yeux vers le plafond qui le séparait de son elfe lorsque la rumeur sensuelle provenant du dessus retomba sur lui comme un ample couverture duveteuse incendiant ses nerfs d'une passion qu 'il peinait de plus en plus a contenir.
Il savait qu'il aurait dut quitter la pièce ou tout au moins l'insonoriser, respectant ainsi l'intimité du jeune couple.
Il n'en avait pas envie.
Fermant les yeux, il se laissa aller contre le dossier de son fauteuil, oubliant les couinements de la donzelle pour ne plus entendre que les hues et geignements de plaisir de Dalamar.
Sans qu'il le veuille, sa main gauche remonta sur sa cuisse et se glissa a l'intérieur de sa robe, remontant encore lentement le long de son ventre jusqu'à sa poitrine pour prendre un tétin déjà dressé entre deux doigts, le pinçant distraitement tandis que de l'autre main il dénouait sa ceinture pour que s'ouvre sa robe, révélant sa peau dorée frémissante de désir contenu trop longtemps.
La tête penchée sur le torse, se mordillant une épaule pour retenir ses propres gémissent, il laissa courir sa main libre sur sa peau, continuant a agacer un mamelon du bout des ongles a en faire perler une goutte de sang au bout.
Les cris au dessus de lui s'intensifièrent en même temps que les protestations des ressorts gagnaient en décibels.
Sa main gauche quitta son sein et glissa sur son ventre, la droite jouant avec le creux de sa hanche, petit centimètre carré de peau sensible au point de l'en faire haleter a chaque passage de ses doigts joueurs a cet endroit précis.
Un sourire doux ourla ses lèvres, rêveur, imaginant que c'était les lèvres de l'elfe qui embrasait ainsi sa peau en une intime caresse plutôt que ses doigts qui prenaient possession de son corps en un futile miroir de ce qu'il désirait depuis si longtemps.
Posant les pied sur son bureau, il ouvrit son pantalon.
La tête désormais renversée en arrière, il glissa deux doigts entre ses jambes, se caressant a travers le tissus de lin, prenant plaisir à sa propre frustration d'une caresse à la fois si proche et maintenue si loin par le rempart du vêtement tendu sur sa peau brûlante.
Continuant a jouer avec son torse perlée de sueur, il dégagea enfin son sexe de sa prison de tissu.
L'air froid sur a peau brûlante le fit frissonner de plaisir avant que sa main ne recouvre le bout de son membre ou perlait déjà une goutte de fluide translucide.
Un premier gémissement trouble franchis ses lèvres lorsqu'il referma ses doigts sur la hampe pulsante, se livrant a de lentes caresses appuyées sur toute la longueur du membre sensible.
D'un doigt agile, il titillait le gland rougis de désir, ne s'arrêtant qu'"au bord de l'extase pour reprendre son souffle et profiter davantage de sa frustration aussi bien que du plaisir qui se prolongeait dans ses reins a m'en plus pouvoir supporter davantage.
Un peu de salive coula dans sa main avant de recouvrir son sexe et qu'il ne s'abandonne a un pervers petit courant d'air glacé, comme jouant de sa peau sensible, lui lançant des ondes de passions le long du dos pendant qu'il asséchait sans relâche le moiteur salée recouvrant le membre fièrement dressé.
Les mains étreignant le dossier de son fauteuil, il se retint difficilement de s'épancher jusqu'à ce que la salive qui le recouvrait eut totalement cédée aux assauts du petit courant d'air puis se laissa brutalement retomber sur son siège.
Les yeux mis clos, il repris son membre entre ses doigts, le caressant fugitivement en même temps qu'il enduise libéralement ses doigts de salive.
Envoyant son pantalon a l'autre bout de la chambre d'un coup de pied, il glissa sa main entre ses cuisses, basculant ses hanches, les jambes largement ouvertes et posées sur le bureau, insouciant des livres et des flacons qu'il jetait au sol dans ses brusques ruades passionnées.
Un premier doigts plongea dans son intimité.
Soupirant de plaisir, il prit ce qu'aucun de ses amants n'avait jamais daigné lui offrir lorsqu'ils le prenait : son temps.
Goûtant chaque sensation nouvelle s'ajoutant aux autres, la chaleur de sa chair, l'étreinte de ses muscles, l'humidité de son être….
Le corps frémissant tout entier, il glissa un second doigts a la rencontre du premier, cisaillant en lui, forçant ses muscles a s'étirer et a s'étendre, a accepter cette possession plus intime qu'aucune autre parce que si personnelle, entièrement dédiée a sa jouissance a lui, sans avoir besoin de se soucier des désirs d'un autre forcément égoïste de par la nature des passions qui l'auraient animé…
Un troisième doigt rejoignit ses frères, poussant l'étreinte un peu plus loin, un peu plus profondement…
Archimage arqua brutalement les reins, lâchant un cri vers le plafond lorsqu'il effleura son centre.
Les larmes aux yeux, réitérant cette caresse pendant que son autre main, presque indépendante de sa volonté, traçait de furieux sillons sur la hampe rougit d'un besoin trop longtemps contenu.
Lorsque le plaisir le surpris, ses larmes coulèrent, le faisant plus que jamais regretter sa solitude.
Haletant, il se laissa aller en arrière.
S'affalant complètement sur son siège, la ceinture de sa robe encore vaguement nouée autour de sa taille, couvert de sueur et les joues rougies pas la passion, il resta un long moment, les yeux mis clos, perdus dans les fourmillements de l'après orgasme.
Après de longues minutes, il se redressa et soupira.
Il lui fallait se nettoyer et retourner son vide et morne paillis.
Des larmes lui piquèrent a nouveau les yeux, de détresse cette fois. Sa passion assouvis n'en mettait que davantage en exergue le manque qui le rongeait chaque jour davantage.
Soupirant, il se leva et regagna sa chambre.
***
L'elfe venait de renvoyer sa compagne de matelas lorsque son attention fut attiré par des sons comme il n'en avait jamais entendu provenir de l'étude de son maître. Curieux comme un chat, il descendit sur la pointe des pieds et entre-ouvrit sans bruit la porte.
Le feu aux joues et le corps en ébullition, il dut se faire violence pour ne pas franchir les quelques mètres qui le séparaient de son maître.
Refermant doucement la porte après le dernier cri d'extase de son maître, il s'appuya contre le lourd battant de bois.
Les tempes battantes et le cœur encore tout retourné, il remonta a sa chambre, embrasé d'un désir et d'un passion qu'il n'avait jamais éprouvés…
A suivre si j'ai pas trop la flemme
Base: DragonLance
Genre : masturbation
1 Rêveries
Raistlin se mordit les lèvres.
Dalamar versa avec précision le contenue d'une fiole dans le chaudron frémissant sur le feu puis se retourna ers la table pour prendre la poudre d'écailles de casoar et l'ajouter a son mélange.
L'Archimage retint un petit sourire concupiscent en voyant le profil parfait de l'elfe se découper a contre jour sur la pourpre volatile jetée par les flammes du foyer.
L'elfe était magnifique…
Raistlin soupira en reportant son attention sur son grimoire, incapable de s'absorber dans l'étude du sortilège qu'il allait devoir lancer.
Un froufrou de soie et la subtile caresse d'une longue mèche de cheveux noir tombant sur sa main mêlés à la troublante odeur d'épice de musc que dégagea l'apprenti quand il se pencha sur lui pour lire le reste de la formule par dessus son épaule finirent de troubler totalement.
L'elfe repoussa nonchalamment la mèche de cheveux qui lui tombait sur le visage en un geste gracieux qui fascina un peu plus l'Archimage.
Raistlin se mordit douloureusement la lèvre.
Son apprenti était un authentique appel a l'amour et a la sensualité qui n'hésitait jamais a faire étalage de ses charmes auprès des femelles qu'il souhaitait mettre dans son lit.
A la grande déception de son maître, l'elfe ne semblait pas prendre un quelconque intérêt aux avances de la gente masculine.
Il soupira encore.
Les manières ouvertement sensuelles lui mettait les nerfs a fleur de peau, mais c'était surtout sa naïveté étonnante quand aux désirs qu'il faisait naître chez son maître qui attirait davantage Archimage
L'attrait de l'interdit sans doute…
Certes, Raistlin n'avait pas vraiment d'expérience en ces matières, mais suffisamment toutefois pour pourvoir faire un cour subtile a l'elfe.
Dalamar c'était révélé totalement imperméable a ses attentions, n'y voyant qu'une détente dans leur relation professeur/étudiant.
"- Shalafi ???
Une main aux long doigts fins et agiles qu'il rêvait se sentir sur son corps secoua Archimage par l'épaule, le tirant de sa rêverie.
"- Apprenti ?
"- J'ai finit…
Raistlin censura la brusque montée de dépit aussi bien que l'inconfort de son pantalon sensiblement trop étroit tout d'un coup et parvint a lui répondre calmement.
"- Très bien apprenti. Je finirais. Tu m'a dit que tu avais un rendez vous ce soir, il me semble…"
L'elfe se fendit d'un splendide sourire lumineux et un peu pervers sur les bords.
"- Merci Shalafi..
Archimage soupira a pierre fendre et agita la main.
"- Ouais, ouais... aller, file…
Dalamar pencha la tête sur le coté.
"- Shalafi ? Tu es sur que ça va ? Tu n'as pas l'air en forme…." Il hésita puis lança, hésitant. "tu veux que je reste ce soir ? Si tu n'es pas bien…"
Raistlin se retint de lui hurler a la figure que la seule chose qui le faisait souffrir était son indifférence mais parvins a contenir sa réaction aussi mélodramatique que née de son malaise et haussa les épaules.
"- Juste un peu de fatigue, apprenti. Va t'amuser…"
L'elfe n'insista pas et sortit.
Raistlin se prépara a passer une nouvelle nuit solitaire dans sa chambre glacée.
***
Milieu de la nuit.
(NdAs: et là, l'auteur fait une pose le temps de se mettre une zique correspondant a la situation et mets enigma)
Raistlin se réveilla en sursaut.
Avec un gémissement, il s'étira douloureusement en étirant les bras au dessus de sa tête. Un craquement résonna dans son cou et son épaule et une partie de la douleur qui l'avait réveillé disparue.
Un curieux gémissement le fit sursauter et il ralluma la chandelle sur son bureau d'une pensée.
Il balaya son bureau du regard.
Il s'était endormit dans son bureau, la tête posée sur l'énorme grimoire qu'il compilait. La nuit était noire, bien entamée mais loin d'être finie pour la moitié de la population de la Tour s'il en croyait les gémissements de pur plaisir qui retentissaient au dessus de lui, dans la chambre de son apprenti.
Il frissonna.
Le baryton léger de l'elfe couvrit les petits couinements de sa partenaire en un feulement rauque qui fit grimacer l'humain.
La très grande volubilité de l'elfe était la seule et unique raison qui lui avait fait inverser sa chambre et son bureau.
Il lui était déjà pénible de l'imaginer, nu, le corps offert aux caresses d'un quelconque femelle incapable de se rendre compte de ce qu'elle avait entre les mains, alors en plus l'entendre gémir et crier de plaisir pendant des heures en était devenu une véritable torture mentale pour le pauvre Archimage
Un cri particulièrement strident suivit d'un grincement particulièrement audible du sommier jeta un long frisson dans les reins de l'humain qui ferma les yeux, les mains étreignant le bord de la table tandis qu'il cherchait a reprendre le contrôle de son corps et de sa respiration saccadée.
Soupirant, Raistlin leva les yeux vers le plafond qui le séparait de son elfe lorsque la rumeur sensuelle provenant du dessus retomba sur lui comme un ample couverture duveteuse incendiant ses nerfs d'une passion qu 'il peinait de plus en plus a contenir.
Il savait qu'il aurait dut quitter la pièce ou tout au moins l'insonoriser, respectant ainsi l'intimité du jeune couple.
Il n'en avait pas envie.
Fermant les yeux, il se laissa aller contre le dossier de son fauteuil, oubliant les couinements de la donzelle pour ne plus entendre que les hues et geignements de plaisir de Dalamar.
Sans qu'il le veuille, sa main gauche remonta sur sa cuisse et se glissa a l'intérieur de sa robe, remontant encore lentement le long de son ventre jusqu'à sa poitrine pour prendre un tétin déjà dressé entre deux doigts, le pinçant distraitement tandis que de l'autre main il dénouait sa ceinture pour que s'ouvre sa robe, révélant sa peau dorée frémissante de désir contenu trop longtemps.
La tête penchée sur le torse, se mordillant une épaule pour retenir ses propres gémissent, il laissa courir sa main libre sur sa peau, continuant a agacer un mamelon du bout des ongles a en faire perler une goutte de sang au bout.
Les cris au dessus de lui s'intensifièrent en même temps que les protestations des ressorts gagnaient en décibels.
Sa main gauche quitta son sein et glissa sur son ventre, la droite jouant avec le creux de sa hanche, petit centimètre carré de peau sensible au point de l'en faire haleter a chaque passage de ses doigts joueurs a cet endroit précis.
Un sourire doux ourla ses lèvres, rêveur, imaginant que c'était les lèvres de l'elfe qui embrasait ainsi sa peau en une intime caresse plutôt que ses doigts qui prenaient possession de son corps en un futile miroir de ce qu'il désirait depuis si longtemps.
Posant les pied sur son bureau, il ouvrit son pantalon.
La tête désormais renversée en arrière, il glissa deux doigts entre ses jambes, se caressant a travers le tissus de lin, prenant plaisir à sa propre frustration d'une caresse à la fois si proche et maintenue si loin par le rempart du vêtement tendu sur sa peau brûlante.
Continuant a jouer avec son torse perlée de sueur, il dégagea enfin son sexe de sa prison de tissu.
L'air froid sur a peau brûlante le fit frissonner de plaisir avant que sa main ne recouvre le bout de son membre ou perlait déjà une goutte de fluide translucide.
Un premier gémissement trouble franchis ses lèvres lorsqu'il referma ses doigts sur la hampe pulsante, se livrant a de lentes caresses appuyées sur toute la longueur du membre sensible.
D'un doigt agile, il titillait le gland rougis de désir, ne s'arrêtant qu'"au bord de l'extase pour reprendre son souffle et profiter davantage de sa frustration aussi bien que du plaisir qui se prolongeait dans ses reins a m'en plus pouvoir supporter davantage.
Un peu de salive coula dans sa main avant de recouvrir son sexe et qu'il ne s'abandonne a un pervers petit courant d'air glacé, comme jouant de sa peau sensible, lui lançant des ondes de passions le long du dos pendant qu'il asséchait sans relâche le moiteur salée recouvrant le membre fièrement dressé.
Les mains étreignant le dossier de son fauteuil, il se retint difficilement de s'épancher jusqu'à ce que la salive qui le recouvrait eut totalement cédée aux assauts du petit courant d'air puis se laissa brutalement retomber sur son siège.
Les yeux mis clos, il repris son membre entre ses doigts, le caressant fugitivement en même temps qu'il enduise libéralement ses doigts de salive.
Envoyant son pantalon a l'autre bout de la chambre d'un coup de pied, il glissa sa main entre ses cuisses, basculant ses hanches, les jambes largement ouvertes et posées sur le bureau, insouciant des livres et des flacons qu'il jetait au sol dans ses brusques ruades passionnées.
Un premier doigts plongea dans son intimité.
Soupirant de plaisir, il prit ce qu'aucun de ses amants n'avait jamais daigné lui offrir lorsqu'ils le prenait : son temps.
Goûtant chaque sensation nouvelle s'ajoutant aux autres, la chaleur de sa chair, l'étreinte de ses muscles, l'humidité de son être….
Le corps frémissant tout entier, il glissa un second doigts a la rencontre du premier, cisaillant en lui, forçant ses muscles a s'étirer et a s'étendre, a accepter cette possession plus intime qu'aucune autre parce que si personnelle, entièrement dédiée a sa jouissance a lui, sans avoir besoin de se soucier des désirs d'un autre forcément égoïste de par la nature des passions qui l'auraient animé…
Un troisième doigt rejoignit ses frères, poussant l'étreinte un peu plus loin, un peu plus profondement…
Archimage arqua brutalement les reins, lâchant un cri vers le plafond lorsqu'il effleura son centre.
Les larmes aux yeux, réitérant cette caresse pendant que son autre main, presque indépendante de sa volonté, traçait de furieux sillons sur la hampe rougit d'un besoin trop longtemps contenu.
Lorsque le plaisir le surpris, ses larmes coulèrent, le faisant plus que jamais regretter sa solitude.
Haletant, il se laissa aller en arrière.
S'affalant complètement sur son siège, la ceinture de sa robe encore vaguement nouée autour de sa taille, couvert de sueur et les joues rougies pas la passion, il resta un long moment, les yeux mis clos, perdus dans les fourmillements de l'après orgasme.
Après de longues minutes, il se redressa et soupira.
Il lui fallait se nettoyer et retourner son vide et morne paillis.
Des larmes lui piquèrent a nouveau les yeux, de détresse cette fois. Sa passion assouvis n'en mettait que davantage en exergue le manque qui le rongeait chaque jour davantage.
Soupirant, il se leva et regagna sa chambre.
***
L'elfe venait de renvoyer sa compagne de matelas lorsque son attention fut attiré par des sons comme il n'en avait jamais entendu provenir de l'étude de son maître. Curieux comme un chat, il descendit sur la pointe des pieds et entre-ouvrit sans bruit la porte.
Le feu aux joues et le corps en ébullition, il dut se faire violence pour ne pas franchir les quelques mètres qui le séparaient de son maître.
Refermant doucement la porte après le dernier cri d'extase de son maître, il s'appuya contre le lourd battant de bois.
Les tempes battantes et le cœur encore tout retourné, il remonta a sa chambre, embrasé d'un désir et d'un passion qu'il n'avait jamais éprouvés…
A suivre si j'ai pas trop la flemme
