Encore une fois, Harry Potter était revenu passer ses vacances chez les Dursley, encore une fois, depuis trois ans, un décès était à déplorer dans l'entourage de Harry, encore une fois, Harry regrettait le fait que ce soit lui qui portait cette maudite cicatrice sur son front.
A vrai dire, Harry Potter, était un beau jeune homme en temps normal, mais il était très affaibli par la perte de l'ex-directeur de l'école où il étudiait la sorcellerie.
Cependant, la seule chose qui pouvait le réconfortait, était le fait qu'il ne devait pas rester cloîtré durant toutes ses vacances d'été.
En effet, cette fois-ci, il s'en ira libre, car il aura la majorité – celle-ci étant à 17 ans pour les sorciers – mais lui, il s'en fichait, car il avait peur que tout le monde l'entourant de trop près à partir de cette liberté, ne soit une cible facile pour les mangemorts.
Par ailleurs, il faut remarquer que Harry était traqué depuis sa naissance par ces personnes, qui désiraient l'éliminer afin de permettre à leur maître un règne total du monde, fusse t-il sorcier ou moldu.
Pourquoi était-il traqué ? Cette question avait été élucidée lors de sa 5ème année à Poudlard, l'école où il étudiait, lorsque son directeur, Dumbledore, lui avait révélé l'existence d'une Prophétie. C'est par cette dernière que tout avait commencé, que le maître de ces horribles mangemorts – Voldemort, nom craint au sein de la population sorcière – avait pris la décision de l'éliminer, et que tant de monde avait été tué. Harry était accablé par cette Prophétie, et il savait ce qui en découlait : tuer ou être tuer.
Harry, que l'on avait connu sous des jours meilleurs, où ses cheveux indomptables se montraient plus en désordre que jamais, ou encore dans les moments où il était heureux, ne se présentait que sous la forme d'un adolescent qui était émacié, et qui ne prenait même pas le soin de tenter de se coiffer.
Il n'avait pas le goût de prendre soin de lui ces derniers temps ; à quoi bon, se demandait-il, si Voldemort me tue au coin de la rue, il ne fera pas attention si j'ai une belle houppette, ou si j'ai mangé du foie gras.
Bien qu'il ne montrait pas de signe de bonheur, le fait de pouvoir enfin être libéré de l'étreinte des Dursley représentait beaucoup pour lui ; en effet, il pouvait enfin vivre sa vie, sans recevoir la moindre insulte de son oncle Vernon, ou encore être pris pour le souffre-douleur de son cousin, Duddley.
Quoique, cela faisait belle lurette que ce dernier n'avait osé s'approcher de lui, du fait qu'il avait vu son arrière train pourvu d'une jolie queue de cochon en tire-bouchon, ou encore une langue atteignant plus de deux mètres.
Mais d'un autre côté, il n'aurait plus cette protection que Dumbledore lui promettait, chez sa tante, et donc pouvait être cible d'un attentat contre lui à tout instant.
Cependant, il ne voyait cette proposition que comme une absurde et impensable issue à son calvaire que fut celui des Dursley.
Harry, avait pris l'habitude de se rendre dans le parc de Privet Drive, où, même si les lieux étaient désaffecté, dû au fait que la bande à Duddley y traînait, il pouvait être seul, libre à penser ce qu'il lui chantait. Cela lui plaisait, car il voyait enfin la fin du tunnel, comme dirait certains moldus, où la lumière, était soit celle qui délivrait tout homme de la vie, où soit celle que l'on donne à tout homme qui a sauvé le monde.
Sur la fin du tunnel, on pouvait remarqué que Harry semblait l'accepter très bien, cependant, il refusait toute éventualité où ses plus proches amis seraient impliqués dans cette bataille que serait celle qu'il livrerait contre le grand mage noir, Voldemort.
Il ne voulait pas du tout voir ses amis Ron ou Hermione sur un quelconque champ de bataille, et il s'inquiétait vivement lorsqu'il pensait à Ginny. Cette dernière avait déjà été la proie à un maléfice qu'avait usé le Seigneur des Ténèbres, et ceci lui suggérait qu'elle pouvait être donc sujette à une diversité d'atroces choses, si jamais Voldemort en décidait.
Pourquoi le ferait-il ? Il ne le savait pas vraiment, mais il ne voulait pas voir Ginny souffrir, car il tenait encore beaucoup à elle, même s'il avait du se séparer d'elle quelques semaines plus tôt, pour mieux la protéger.
Rien qu'à y penser, la seule joie qu'il pouvait encore ressentir, n'était dû au fait qu'il allait assister à l'union de Bill et Fleur, et ainsi être en présence de ses amis, et aussi de Ginny.
Cette après-midi là, il s'était allongé sur une pelouse, un peu roussie, cachée par une haie, afin de pouvoir rester tranquille. Il repensait à la lettre qu'il avait reçu de son ami Ron, dans laquelle était spécifiée qu'il devait être prêt le soir même afin de pouvoir se rendre au Terrier.
Il sortit un morceau froissé de sa poche, où l'écriture, un peu brouillonne, de Ron pouvait être aisément reconnue.
Harry,
Comme Bill et Fleur se marient la semaine prochaine, ma mère aimerait te voir à la maison après demain.
Elle en a parlé avec le reste de l'Ordre et ils ont conclu qu'ils iraient te chercher après demain, à 19h.
Par ailleurs, j'espère que tu te portes bien, aussi bien que moi !
Hermione est arrivée il y a déjà 2 jours, et ses parents seront présents au mariage.
Pourrais-tu me renvoyer Coq pour me dire que tout est O.K. ?
Bonne journée, Ron.
'C'est le dernier moment de répit, Harry, le dernier'...se murmurait le survivant à lui-même.
Pour lui, il était clair que ce mariage représentait le dernier moment où il aurait pu profiter de temps libre, car après, il devrait s'atteler à la lourde tâche de rechercher les horxcruxes.
En y pensant, ce dernier serra le faux horxcruxe qu'il avait trouvé en compagnie de Dumbledore l'année dernière.
'Pour rien...Pour rien, je suis désolé Professeur...' marmonna Harry alors qu'il serrait plus fort le pendentif.
'Pour rien, je n'en suis pas si sûre que cela...' répondit une voix dont Harry ne savait déterminer d'où elle provenait.
Harry scruta les alentours en se redressant rapidement, et ne vit personne à première vue. Cependant, au loin, il aperçu une fille, qui devait être de son âge, debout, en train de le regarder. Elle lui fit un clin d'œil, et entama son départ en faisant volte-face.
Il aurait aimé la suivre, mais déjà n'avait t'il commencé à courir à sa rencontre, que Mrs Figg vint à la sienne.
'Harry, un de mes chats est coincé dans un des arbres de mon jardin, pourrais tu m'aider à le faire descendre, s'il te plait ?' demanda poliment Mrs Figg.
'Euhm...Oui, bien sur,' répondit Harry, au tac au tac, 'Je vous suis, Mrs Figg.'
Ce dernier savait très bien que les rares fois où il se trouvait en présence de cette voisine, dont il avait appris la vraie nature de Cracmol récemment, signifiaient qu'il y avait un rapport avec l'Ordre du Phénix. Se fiant à son envie de savoir ce qu'il en était après la mort de Dumbledore, il suivit Mrs Figg, jusqu'à sa maison, où il entra.
La maison, à son habitude, avait une odeur particulière, où celle de chats dominait étrangement.
En lançant au loin un coup d'œil vers le salon, il aperçu de nouveau cette fille, celle qu'il avait rencontré au loin dans le parc, avant de rencontrer Mrs Figg.
'Qui est-ce ?' demanda Harry, en lâchant du regard cette inconnue, afin de regarder Mrs Figg.
'Qui ça, Harry ?' répondit celle-ci, l'air étonné, mi inquiète, mi songeuse.
'Là, dans votre sal...' fit Harry, en reposant son regard sur le salon, mais, il n'avait pas terminé sa phrase, car de nouveau cette fille avait disparu. Cette fois-ci, il l'avait vu de près, et avait remarqué qu'elle souriait, qu'elle était brune, avec des cheveux assez longs, et été assez jolie. 'Vous ne l'avez pas vu, à l'instant ? Une fille qui devait avoir mon âge, brune, là, dans votre salon ?'
'A part Minou qui arrive, je n'ai vu personne Harry...Tu es sur que tu vas bien ?' questionna celle-ci alors qu'elle prenait le chat en question dans ces bras.
'Oui...enfin, je n'ai pas beaucoup dormi, ces derniers temps...' Il savait que ce qu'il venait d'affirmer n'était qu'un mensonge, mais il ne préférait pas qu'on le prenne pour un fou, ou bien qu'on s'inquiète trop pour lui. 'Alors, qu'en est-il de votre chat?' interrogea Harry.
'Tu sais Harry, je suis peut être plus vieille que toi, mais je peux remarquer que tu es touché par la disparition de Dumbledore, c'était un symbole pour la communauté des sorciers...Toute la communauté est en deuil, on a perdu un grand homme, un très grand homme...' déclara t'elle, en baissant la voix au fur et à mesure qu'elle prononçait sa phrase. 'Je suis vraiment désolée...Maintenant, on a perdu l'une des pièces maîtresse de notre échiquier... C'était vraiment un grand homme...' finit-elle en laissant échapper quelques larmes.
'Mais la guerre n'est pas perdue, Mrs Figg, bien que Rogue a retourné sa veste...'.
Penser au Prince de Sang mêlé l'énervait au plus haut point, il avait abusé de la confiance que lui accordait Dumbledore, et ce dernier, qui lui faisant une totale confiance, en avait perdu la vie.
'Ne vous en faite pas, on vaincra Voldemort !' fit-il en mettant maladroitement sa main dans le dos de Mrs Figg.
'Tu es très courageux Harry, j'espère que l'avenir sera meilleur que le présent...Tu es le seul que je connaisse qui prononce son nom, à part Dumbledore...' Et elle laissa échapper encore quelques larmes.
'Si je t'ai demandé de venir ici,' s'empressa t'elle d'ajouter, 'c'est pour te faire passer un message de la part de l'Ordre, et bien entendu pour ne pas faire descendre mon chat. Ta garde rapprochée sera présente un peu plus tôt que prévue, donc ne te présente pas en retard. Ils ont eu finalement le droit d'utiliser le réseau de cheminée.'
'D'accord, je serai là un peu avant... Ils viennent chez les Dursley ?'
'Non, ils viendront ici, il faut avoir une cheminée sorcière, à moins d'avoir une autorisation spéciale, donc pourrais-tu venir ici, pour 18h30, s'il te plait ?'
'Oui, pas de problème, je vais aller préparer mes bagages.'
'Et dis aussi aux Dursley que tu vas t'en aller. Je pense pas que tu veuilles les revoir d'ici peu, donc dis aussi au revoir à Privet Drive, hein !'
'Oui, je vais aller me balader un peu avant de faire mes valises. On se voit toute à l'heure, Mrs Figg !' termina t-il en partant.
Les rues, à leur habitude, était désertes à cette heure ci de l'après midi ; une chaleur étouffante était encore dominante à cette époque de la saison, et peu de ses voisins s'aventuraient dehors à l'heure la plus chaude de la journée. Harry parti de nouveau au parc, pour essayer de revoir cette étrange inconnue, qui se cachait lorsqu'on tournait son regard dans une autre direction. Cependant, alors arriver à destination, il chercha cette mystérieuse personne, mais en vain : elle n'était plus présente.
Alors qu'il s'apprêtait à partir, il entendit des voix se rapprocher de lui.
'Tiens, Big D, voila ton cousin, si on lui faisait sa fête ?' fit Polkis.
'Euh, on n'irait pas plutôt chez toi, voir où en est ton ordinateur...' répondit Duddley, en entrant dans le champ de vision de Harry.
'Oh, Big D, tu as peur de ton cousin ?' intervint un autre garçon.
'Tu rigoles ? Ce gringalet me faire peur ! Du tout, mais si mes parents apprend ça, je suis bon pour ne plus avoir le droit de sortir...'
'Laisse nous faire alors...'
Duddley se renfrogna, et parti à petit pas dans la direction opposée. Par ailleurs, les amis de Duddley, se rapprochaient dangereusement de Harry.
'Alors, Potter, toujours dans ta maison de correction ?' fit un grand gaillard blond, en se rapprochant encore plus.
'Oui, encore...' répondit celui-ci, en arborant un grand sourire. 'Et vous, toujours à martyriser les plus petits que soi ?'
'T'avises plus de dire ça, tu le regretterais sinon !'
'Ne te gène pas...Je t'en...' Harry n'avait pas terminé sa phrase, il regardait derrière les grandes silhouettes, où il apercevait cette inconnue.
'Qu'est ce que tu regardes, Potter ? Tu as vu un fantôme ?'
Au même moment, un « pop » sonore se fit entendre, et l'ensemble de ses assaillants fut jeté à terre. En regardant cette fille, Harry comprit que cela provenait d'elle : elle lui fit encore un clin d'œil.
Ni une, ni deux, Harry était debout, à la poursuite de cette inconnue. Celle-ci n'avait pas disparue cette fois-ci, mais elle courait le long des rues. Ils parcoururent ainsi plusieurs rues, et Harry se rapprochait d'elle. Il était presque arrivé à sa hauteur lorsqu'une voiture se fit entendre derrière lui.
Il se retourna, et vit avec dégoût que c'était son oncle qui rentrait, d'une exposition au centre de Londres.
'Harry, je te jure que si tu prépares encore un de tes plans, je te ...'
Harry ne pu entendre la fin de la phrase de son oncle Vernon ; bien qu'il avait ralentit afin de lui proférer une menace, la fin de sa phrase ne pu être délivrée à temps pour qu'il la comprenne convenablement.
Il détourna alors son attention vers l'endroit où se trouvait alors, quelques instants avant, cette inconnue. Disparue, encore. Il était excédé, cela faisait trois fois qu'il la croisait, mais qu'elle disparaissant singulièrement.
Alors en face du numéro 4, Privet Drive, il scruta la fenêtre de la chambre où il vivait lors de ses vacances, et derrière les rideaux, il pouvait constater qu'une personne s'y tenait ; une silhouette pouvait être remarquée, celle de cette fille.
Aussi vite qu'il le put, en évitant tant bien que mal les reproches de son oncle, il escalada l'escalier, et ouvrit sa porte de chambre. C'était bien elle, elle se tenait face à la fenêtre.
'Tiens, Harry...'glissa t'elle, avant que Harry n'ai pu répliquer :
'Qui es-tu ? Je t'ai vu trois fois depuis toute à l'heure, et tu te décides enfin à te montrer ?'
'Je suis désolé Harry, personne à part toi devait me voir...J'ai réussi à enfin sortir de cet enfer, et j'ai toujours été à tes côtés, mais tu viens seulement de me remarquer...'
'Qui es-tu ? De quel enfer parles tu ?'
'HAAAAARRRRRY ! A QUI PARLES TU ?' vociféra son oncle, alors qu'on entendait ce dernier monter les escaliers.
'S'il te plait, pars, mon oncle ne doit pas te voir...mais...' fit silencieusement Harry.
Il n'eut pas le temps de terminer sa phrase, son oncle était déjà entrer dans sa chambre, et la fille, avait une fois de plus disparu.
'A qui parlais tu à l'instant ?' grogna Vernon.
'A personne, je pense que c'est un de mes objets enfermé dans ma valise qui fait ce bruit, ça vient de s'interrompre à l'instant...'
'Que ça ne recommence plus, sinon, tu auras affaire à moi !'
Sur ce, il partit. La fin de l'après midi se passa, lentement aux yeux de Harry. Il avait fait sa valise, et il attendait une éventuelle apparition de cette fille, mais rien ne se produisit.
Il ne savait que faire du temps qu'il lui restait à Privet Drive, et comme lui avait conseillé Mrs Figg, il fallait mettre les Dursley au courant. Selon Harry, la meilleure manière était de parler avec sa tante, car puisqu'elle était la sœur de sa mère, peut être serait-elle plus compréhensive à son égard. C'est donc avec l'idée de son départ qu'il partit en quête de sa tante, celle-ci se situant dans sa cuisine, épiant de temps à autres les voisins.
'Euh...Tante Pétunia...' tenta Harry.
'Oui, Harry ? Vernon m'a dit qu'il t'avait vu, j'espère que tu n'as pas en tête une de tes idées saugrenues, comme la fois où...' répondit-elle.
'Non,' coupa t'il, 'mais ce que je vais te dire va sûrement ravir oncle Vernon. Je m'en vais ce soir, et comme je serai majeur dans peu de temps, je ne vais plus devoir abuser de votre hospitalité' dit il, avec une pointe d'ironie dans sa voix.
'Comment ça tu t'en vas ce soir ? Qu'est ce qu'il arrive ?'
'L'Ordre,' fit il, en se demandant s'il pouvait lui en parler, 'va venir m'escorter ce soir, afin que je me rende au mariage du frère d'un de mes amis, Ron, et ensuite, je serai chez lui, jusqu'à ce que je sois majeur.'
'Tu vas vraiment t'en aller alors...' dit elle, avec un regard inquiet. 'Cet homme, Dumbledore, il va encore venir te chercher, c'est cela ?'
'Non...' répliqua Harry, tout en détournant le regard. 'Il a été tué, il y a quelques semaines...' finit Harry, tout en essayant de dissimuler ses sentiments.
'Mon Dieu...Que va-t-il advenir de toi, sans ce grand homme ?'
Harry était assez étonné que sa tante s'inquiète autant pour lui, car en effet, pendant plus de 15 ans, elle avait tout fait pour l'éviter du regard. De même, comment pouvait-elle en savoir autant sur lui, bien qu'elle ait eu une ébauche de correspondance avec ?
C'est avec cette question en tête, qu'il continua :
'En fait, je continuerai ma tâche...Je suis désolé tante Pétunia, mais je n'aime pas trop parler des évènements qui se sont produits récemment...'
'Bien...Tu ne reviendras plus alors...Tu reviendras Harry, hein ?'
Ces paroles frappaient Harry, car il découvrait enfin ce qu'aurait pu être une tante, et cette attitude soudaine, lui faisait assez peur.
'Tu vas bien tante Pétunia ?'
'Je suis désolé d'avoir agit ainsi Harry, pendant toutes ses années, j'aurai aimé agir en tant que tante idéale, après le décès de ta mère, mais je n'y suis pas arrivé...Cette rancœur vis-à-vis du monde magique m'en empêchait...Je suis vraiment désolé Harry...' fit Pétunia, en versant une larme, et en baissant la tête.
'Voyons...' répondit-il, alors qu'il ne savait que faire, 'je reviendrai de temps à autres', poursuivit-il, en lui tapotant le dos maladroitement, 'je reviendrai après...' conclut-il.
'Tu lui ressembles tellement...j'aurai tant aimer avoir tout ce courage dont déborder ma sœur...Et maintenant tu vas essayer de venger tes parents...Je suis vraiment une idiote d'avoir agit comme cela à ton égard...' rétorqua t-elle, presque violemment, en laissant une gerbe de larme s'évacuer de ses yeux.
'Ne dis pas ça, de toute façon, tu pourras toujours te rattraper après, non ?'
'Oh, Harry...Mais tu cours un si gros danger...Promet moi de revenir Harry...'
Ce comportement avait tellement étonné Harry, que celui-ci en étant presque abasourdi, mais il lui répondit tout de même :
'Oui, tante Pétunia, je reviendrai...'
