Traduction française de « All's Fair » Tous les Moyens Sont Bons

L'œuvre Twilight, les personnages et dérivés appartiennent à S. Meyer

All's Fair, est une création géniale de All you need is Moz

J'ai obtenu l'autorisation de traduire sa FF en français. Certaines expressions ou mots ne sont pas modifiés, alors que certaines phrases le sont pour permettre un texte plus fluide et facile à comprendre.

Lien fiction originale : .net/s/5416107/1/Alls_Fair

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Résumé : Rosalie a fait vivre un enfer à Bella lorsqu'elles étaient au Lycée. Des années plus tard, Bella rencontre un mec incroyable et bien sûr, il est avec Rosalie. Mais que se passera -t-il si cet homme si attirant lui vient en aide et souhaite la revoir ?

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Histoire complète en 11 Chapitres

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Chapitre 01

BPOV

Ah. Je déteste les courses de Noël. Ce matin, j'étais pleine de bonnes intentions. Une liste de personnes à qui je dois acheter des cadeaux. Mais comme d'habitude, rien ne s'est passé comme prévu. Je me suis laissée distraire par toutes ces jolies choses et maintenant, la seule personne a qui j'ai acheté quelque chose c'est Max.

Je jette un coup d'œil à tous les sacs que je porte et soupire. J'ai même finis par acheter des ornements pour cheminée en forme de cochon, complètement inutiles, mais je les trouvais mignons. Et puis quand j'ai vu cette somptueuse lingerie, je n'ai pas pu résister. Et malgré le fait que j'ai acheté pour Max le plus beau des ours en peluche, tout le reste de mes achats n'est que de la connerie et je le sais. Putain d'achat compulsif.

Alors que j'arrive au coin de la rue, la pluie commence à tomber. Mais ce n'est pas exactement de la pluie, c'est ce truc froid et fondu qui est entre la neige et la pluie. Je me blottis encore plus dans mon manteau et décide de héler un taxi.

Juste au moment où je m'apprête à lever ma main, je la vois. Rosalie-putain-de-Hale. Elle sort d'un restaurant proche, l'air glamour au possible dans son manteau en cachemire noir et ses bottes en cuir. En me regardant, je sais que je ne peux pas la laisser me remarquer. Je porte un vieux jean miteux et un manteau confortable mais trop grand et informe.

Durant tout le lycée, Rosalie a fait de ma vie un enfer. Se moquant de mes vêtements, de ma maladresse, de tout ce qu'elle pouvait. Le pire c'est que tout le monde vénérait sa beauté blonde et sa perfection tout en rondeur. Mais moi, je la voyais pour ce qu'elle était : une connasse de première classe.

Un homme sort avec elle, tenant un parapluie. Oh oui, dieu interdit la moindre goutte de pluie qui pourrait lui tomber dessus. Je pense un rien sarcastique.

Elle risquerait de fondre comme la sorcière dans cette fameuse histoire.

Je prétends regarder dans la vitrine d'un magasin à proximité, espérant désespérément qu'elle ne me remarque pas. J'observe dans le reflet ses agissements avec le gars.

Rosalie se penche en avant et dépose un baiser contre sa joue, lui souriant de manière charmante. Je remarque que sa poitrine spectaculaire frotte contre le bras de l'homme alors qu'il penche sa tête pour lui dire quelque chose. Le mec est grand, mais pas dans le genre habituel de Rosalie. Normalement, elle les aime balèzes avec du muscle. Elle est sortie avec tous les sportifs de l'école. Même si le mec n'est pas maigre, il n'est pas sur-développé non plus. Il est habillé de manière immaculée dans un costume bien entendu. Ses cheveux bruns brillent avec l'éclairage de la rue laissant voir des reflets rouges.

Oui. Il est séduisant. Rosalie ne se laisserait pas voir avec moi que ça. Je soupire encore une fois. Comment se fait il que je n'arrive jamais à avoir quelqu'un comme ça ? Mais en me regardant de nouveau, je réalise pourquoi. Je suis vêtue comme un vagabond et suis, faute de meilleur définition, ordinaire.

Le taxi emmène Rosalie et je peux maintenant arrêter de fixer la vitrine qui, je me rends compte à présent, contient que des sous vêtements masculins. Je prends mes sacs et l'un deux se déchire, étalant ma lingerie dans la rue.

« MERDE ! ».

Je l'ai crié assez fort pour que plusieurs personnes se tournent pour me regarder. Je commence à ramasser et à placer mes affaires dans les autres sacs, lorsqu'une autre paire de mains saisit un truc en dentelle bleue et le tend vers moi qui récupère le reste.

« Hum...Merci. ». Je marmonne cela en étant rouge pivoine. En levant la tête je vois des yeux verts pétillants.

Il dit en riant à moitié. « Pas de problème. ». Oh mon dieu. C'est le gars qui était avec Rosalie. Je le mate vite fait. Ouaip. Totalement et incroyablement beau. Je bourre le reste de mes affaires dans les sacs et me redresse. Il me demande, alors que je me tiens au bord du trottoir. « Vous voulez un taxi ? ».

« Oui, je ferais mieux de rentrer chez moi. ». Il siffle fortement et comme par magie, un taxi apparaît devant moi. Je ne peux m'empêcher de dire.

« Wow. ». Avec cette pluie, je pensais que je n'aurais pas de taxi avant une plombe. Il m'ouvre la porte et je suis sur le point de monter dedans quand je me rends compte que je n'ai plus mon sac à main.

« Oh merde, où est mon sac ? ». Je regarde les alentours désespérément mais je ne le vois pas. Je tapote les poches de mon manteau... J'aurais peut être assez pour prendre le bus.

« Écoutez, laissez moi vous donner la monnaie pour le taxi. ». Sa voix douce me surprend car j'avais presque oubliée qu'il était là. Je proteste.

« Je ne peux vous laisser faire ça. Je vais prendre le bus. ». Mais, il lève sa main et dit de sa voix profonde. « J'insiste. ».

Ça ne sert à rien de rester debout dans la rue à se disputer alors qu'on est en train de se tremper. « OK. Mais je vous rembourserais. ».

« Très bien. ». Il cherche dans son manteau et me tend quarante dollars, il sort ensuite un reçu et inscrit son nom et son numéro dessus.

« Je vous rembourserais. ». Je monte dans le taxi.

Il me sourit du trottoir et fait un signe avant de repartir sous la pluie. Je regarde le morceau de papier et lis que son prénom est Edward. Il est bien trop gentil pour les gouts de Rosalie Hale mais ce n'est pas comme si je pouvais y faire quelque chose.

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En rentrant à la maison, je passe la porte et vois Alice qui cuisine quelque chose . Elle se tourne, me sourit et m'inspecte.

« Regardez ce que le chat nous a dégoté. ».

Max est dans sa chaise haute et je marche vers lui. Je lui chuchote. « Cette vieille maman méchante que tu as. ».

Il me fait un grand sourire édenté. Il est vraiment la plus mignonne des petites choses qu'il y a sur terre, avec ses yeux et ses cheveux sombres.

« Alors, quelles camelotes inutiles tu nous a encore acheté ? » Alice farfouille dans mes sacs, tenant différents morceaux de sous vêtements.

J'ai rencontré Alice lorsque j'ai commencé la fac. Elle est fine avec des cheveux sombres qui se hérissent parfaitement autour de son visage elfique. On avait été toutes les deux assignées avec de terribles colocataires. Le mien ronflait comme un train de marchandises et le sien était un insomniaque émo qui jouait de la musique vraiment forte toute la nuit.

Un jour, je me dirigeais vers mes cours, complètement crevée lorsque je lui suis rentrée dedans. Elle semblait tout aussi fatiguée. Nous avons partagé nos malheurs et avons décidés ensuite que nous emménagerions ensemble.

Alice m'a dit devant un café qu'elle voulait être créatrice de mode mais que ça mère lui a dit qu'elle devait être un homme gay pour cela. Je lui ai répondu, d'un air froid.

« Elle a probablement raison. ». On s'est regardé et on a rit. À partir de ce moment précis, nous étions amies.

Après la fax, Alice a déménagé avec son petit ami, Alec. Tout allait bien jusqu'à ce qu'elle se retrouve enceinte. Alec a fichu le camp et elle s'est retrouvée seule. Ses parents ont tenté de la persuader de s'en débarrasser mais elle était déterminée à le garder.

Ma grand mère est morte quelques mois avant que cela n'arrive, laissant son énorme maison à mon père et à moi même. Je m'y suis installée sous le prétexte de ranger toutes les affaires. Le plan, pour moi, était de tout ranger et de la vendre, pour se partager l'argent entre nous.

Le truc c'est que la maison est remplie de cochonneries. Mon papa n'est pas pressé du temps que cela peut prendre pour tout nettoyer car, il vient de prendre sa retraite et est parti explorer le monde. Il est quelque part en Grèce, à l'heure actuelle. Il a toujours eu un profond intérêt pour l'histoire et maintenant, il donne libre cours à sa passion.

J'ai donc demandé à Alice d'emménager avec moi. La maison est grande et je sais que c'était dur une fois Alec parti. Et un an plus tard, elle est toujours là avec son magnifique bébé, Max. Et je n'ai pas encore ranger la moitié de la maison.

Régulièrement, Alice fait un peu de bruit à propos de son intention de déménager mais je préfère l'ignorer. J'aime les avoir ici. Alice espère rebondir dans le stylisme prochainement car, avant d'avoir Max, elle se faisait un nom par elle même.

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« Mes chéries je suis rentré ! ». Je souris lorsque Jasper passe la porte. Il a lui aussi une chambre dans la maison. J'ai aussi rencontré Jasper à la fac. Nous avions plusieurs classes en commun. Il est gentil comme un cœur et les femmes semblent l'adorer. Je ne dirais pas de lui qu'il est coureur mais il est passé par pas mal d'entre elles mais il est parvenu à rester amis avec toutes.

Jasper est grand, mince et des cheveux blonds ébouriffés. Il n'est pas exactement beau mais il y a quelque chose en lui, cette façon dont ses yeux bleus brillent. Il a du charisme. Alice et Jasper ont une relation plutôt cool, ils se chamaillent beaucoup comme des enfants se servant de moi comme arbitre.

La famille de Jasper est riche grâce au pétrole ou un truc du genre. Lorsque j'imagine son père, je vois JR avec son grand Stetson.

La raison pour laquelle il reste avec moi en ce moment, est qu'il a eu un sale accident en conduisant sa moto. Un camion lui est entré dedans, cassant sa jambe en mille morceaux. Son père voulait le meilleur pour lui et il se trouve que c'est ici. Alors lorsque sa physiothérapie a débuté, il semblait plus logique qu'il emménage avec nous plutôt que de rester dans un hôtel anonyme.

« Comment va notre petite maman ? ». Il donne à Alice son sourire-à-en-faire-tomber-une-culotte qui est sa marque de fabrique. Elle a à peine rouler les yeux. Je pense qu'il n'y a qu'Alice et moi même qui sommes immunisées contre ce sourire.

« Je vais et tout va bien. Comment était la thérapie ? ».

« Bien chérie. ». Jasper se dirige en boitant vers Max et le soulève de sa chaise haute. Max et Jasper s'adorent. Ce dernier à emménagé peu après qu'il soit né et maintenant Jasper est en train de le projeter dans les airs, suscitant des petits cris ravis de Max.

Je me tourne et surprends Alice qui les regarde, de l'embrasure de la porte, avec une étrange expression sur le visage. Elle finit par regarder ailleurs et continue à préparer le diner.

Durant le diner, je leur raconte tout sur le fait d'avoir vu Rosalie et sur le mec qui est venu à ma rescousse.

Alice me dit tout en mâchant pensivement sa nourriture. « Tu sais, j'adorerai la rencontrer. ».

« Pourquoi ? Elle serait condescendante et méchante avec toi, surtout lorsqu'elle découvrira que tu es mère célibataire. ».

« C'est justement pourquoi j'aimerai la rencontrer, j'adorerai lui rabattre son caquet. ». Je fais un grand sourire à Alice et son fier petit visage. Jasper demande, alors qu'il fait des grimaces à Max. « Alors, elle est vraiment jolie c'est ça ? ». Alice lève les yeux et semble vraiment ennuyée.

« Oh ouais. Elle est magnifique et tout mais je suis quasi certaine qu'elle n'a pas de cœur. Elle te broierai et te recracherai directement. ».

Il répond les yeux brillants. « Ah c'est justement ce que tous les hommes veulent. ».

« Mon dieu... ». Alice lève les bras au ciel. « … tu ne peux pas supporter Bella pour une fois et arrêter de penser avec ta bite. ».

Jasper la regarde avec surprise et je suis assez étonnée moi aussi. Je sais qu'elle n'a pas eu beaucoup de sommeil car Max fait ses dents alors je pense que c'est à cause de cela.

Alice reprend au bout d'un petit moment. « Alors, il semble être un gars bien cet Edward. ».

« Tu m'en diras tant. Et laisses moi te dire... complètement splendide. ».

Elle tente de persuader Max de manger sa purée au poulet. « Tu dois définitivement l'appeler. ».

« Je pense que je vais le faire. Mais je vais laisser de coté le fait que juste après qu'il soit parti, j'ai retrouvé mon sac à main dans un des autres sacs. ». Je suis toute excitée rien qu'à penser que je vais appeler Edward. Je m'installe pour la soirée TV avec Alice.

Je vais l'appeler demain.

Jasper m'a souvent fait remarquer mon manque de rencard, mais j'en ai marre des trous du cul et des losers, sachant que c'est tout ce que j'arrive toujours à attirer. Ma dernière relation date d'il y a près d'un an. Et rien que penser à Jacob me fait frissonner. Il est définitivement à placer dans la catégorie des trous du cul.

Alors que je suis sur le chemin du travail, le lendemain matin, je me demande si c'est vraiment une si bonne idée de faire cet appel téléphonique.

« Salut Bella. ».

« Salut Felix. ».

Je travaille pour une agence de recrutement et aussi étrange que cela paraisse, j'adore ça. J'ai un bon feeling pour trouver le parfait travail aux autres. Nous sommes quatre dans le bureau. Felix qui est un mec adorable et bien entendu totalement gay, qui a un copain tout aussi adorable qui s'appelle Demetri. Et lorsqu'ils sont ensemble, ils font une paire séduisante.

Marcus est le patron de la boite, même si on ne le voit pas beaucoup. Sa secrétaire, Jane, semble faire son travail pour lui. Elle est timide et un peu vieille fille. Elle parle énormément de ses chats, ce qui amuse beaucoup Felix.

La journée passe rapidement et je suis de retour chez moi. Jasper et Alice sont dans la cuisine et l'atmosphère est clairement glaciale. Je les regarde et demande d'un air las. « Qu'est ce qui se passe ? ».

Alice marmonne. « Rien. Jasper est juste un con. ». Il répond. « Je demandais juste en plaisantant comment étaient ses vergetures. ». Je lui fait un regard lourd de reproches.

Plus trad, je le prends à part. « Je souhaite que tu ne te moques pas d'elle sur des trucs comme ça. Elle est vraiment sensible sur son apparence depuis qu'elle a eu Max. ».

« De quoi tu parles ? Elle n'a pas changé du tout. Elle est toujours aussi magnifique. ».

Je frappe sa main pour le réprimander. « Ouais ben, je ne pense pas qu'elle se sente comme ça, la plupart du temps. ».

Il soupire. « OK. Je vais lui dire que je suis désolé et tenter de me faire pardonner. ».

« Sois sûr de le faire. ».

En montant dans ma chambre, je décide que je vais appeler Edward et lui proposer de lui rendre son argent, donc aucun problème hein ? Je compose le numéro prudemment. Je sursaute presque en entendant sa voix profonde dire « Allo. ».

« Salut, c'est... hum... Bella. La personne à qui vous avez donné les quarante dollars. ». Il reste silencieux quelques seconde et je me demande s'il a oublié qui je suis. Peut être que si je lui décrit mon coté vagabond, il s'en souviendrait.

« C'est vrai. Bonjour. Je n'avais pas votre prénom à ce moment là. Bella, c'est un très joli prénom. ». Mon dieu, ce mec à la plus sexy des voix.

« Ben en fait, je vous appelais juste pour vous proposer de vous rendre votre argent. Peut être que je peux vous rencontrer quelque part et vous le rendre ? ».

« Vous n'avez pas besoin de me le rendre vous savez. ».

« Si, je le dois, croyez moi. Ça va me saouler à mort et je déteste être redevable de quoi que ce soit à qui que ce soit. Si vous ne voulez pas me rencontrer, peut être pouvez vous m'indiquer votre adresse et je vous les posterai. ». Lorsque je repense à ce que je viens de dire, je me rattrape rapidement. « Bien entendu, vous ne me donnerez pas votre adresse, je peux être une dingue. ». Je ris un peu.

Nan, tu crois Bella ? Ce n'est pas peut être, c'est sûr.

Il répond amusé. « Écoutez, si vous voulez vraiment me rendre cet argent alors pourquoi ne pas m'offrir un verre ? ».

Je continue à rire. « Et où est ce que je vais trouver un verre à quarante dollars ? ». Il rit tout autant. « Peut être plusieurs verres alors. ».

« Quand êtes vous libre ? Je peux l'être Jeudi. ». En toute honnêteté, je le suis tous les jours mais je ne veux pas paraître trop nase.

« Jeudi, ce n'est pas possible pour moi. ». Il tente surement d'être poli. Je peux suggérer d'autres options et il me dira qu'il est occupé à ces moments là aussi. Il finira par me dire de laisser tomber et d'en rester là.

Bella, t'es trop une idiote de t'être lancée dans ce sujet.

« Vous savez, je suis libre vendredi, après le travail, est ce que ça vous va ? ». Oh mon dieu, vendredi vraiment ?

« Bien sûr, je suis libre. ». Il nomme le nom d'un bar en ville et demande si sept heure conviendrait. J'accepte de le rencontrer là bas.

Alors que l'on s'apprête à raccrocher, il ajoute. « Au fait, mon prénom c'est Edward. ».

« Oh je sais, vous l'avez écrit sur le papier. ».

« On se voit à sept heures Bella. Je suis impatient d'y être. ».

Il est vraiment le plus gentil des gars, avec la plus incroyable des voix. Bien sur, je n'ai rien de comparable avec Rosalie, alors il n'y a aucune chance qu'il s'intéresse à moi. Mais c'est le truc qui se rapproche le plus d'un rencard, et ce depuis longtemps, alors je vais en tirer le meilleur possible. Puis ça fait pas de mal qu'Edward soit probablement la personne la plus digne d'un évanouissement que j'ai pu voir depuis un bon moment.

Vendredi ne peut arriver assez vite pour moi.

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Avant qu'on me le demande... il me semble que tout est en BPOV.

Oui... que dire … je me lance encore dans deux histoires en même temps...

à bientôt !

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