Salut à tous. Je vous préviens, comme le titre l'indique, cette fic est très sérieuse et non partie sur un délire entre Dark Jezebel et moi-même. Ce pourrait être le titre d'un prochain livre de J.K. Rowlings. D'ailleurs, je pense que je vais déposer le brevet.^^
J'espère que la vraie histoire d'Harry Potter va vous plaire et n'hésiter pas à écrire des reviews sinon je lâche Candy, mon adorable dragonne Magyar à pointes, sur vous – sans vous forcer bien sûr. Non, je n'oserais pas.^^
Bonne lecture.
Disclaimer : Personnages et lieux ne m'appartiennent pas. Rien est à moi. *sniff* Tiré des œuvres magnifiques de l'illustre J. K. Rowlings.
Sommaire : Voldemort trouve un moyen très original de s'introduire à Poudlard. Arrivera-t-il a attaquer son pire ennemi et le vaincre…? Héhé.^^
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Les noms des personnages sont écrits en Anglais. Je reprends leurs noms originaux, donc :
- Tom Marvollo Riddle = Tom Elvis Jedusor = Voldemort.
- Severus Snape = Severus Rogue.
- Draco Malfoy = Drago Malefoy.
- Par contre, Queudver reste Queudver ou Peter Pettigrow.
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Chapitre 1 : Plan audacieuxLa gazette du sorcier sous le bras, Tom Marvollo Riddle, alias Lord Voldemort ou Monsieur je-me-crois-le-plus-grand-sorcier-du-monde sorti la tête haute, le port altier, des toilettes. Il ricana et se frotta les mains. Il avait un nouveau plan pour battre son pire ennemi et il comptait bien le mettre en pratique dès que possible.
Alors qu'il lisait un article sur « Comment réussir son brushing en un coup de baguette », il avait eu une révélation. Non ! La révélation !
« Comme on dit chez nous , » murmura l'humanoïde en souriant de toute sa bouche édentée « Si Poudlard ne va pas à Merlin, Merlin ira à Poudlard. »
Affalé dans son plus beau fauteuil, Voldemort ricana, fier de lui puis se massa le ventre. Décidément ce chou ne lui avait pas réussit. Se faisant, un de ses doigts s'accrocha dans un trou de sa robe.
« Bon sang de bestioles » rugit l'homme à face de serpent.
Les mites détruisaient toutes ses plus belles robes.
Triturant rageusement la déchirure, Voldemort ne réussit qu'à l'agrandir un peau plus. Maintenant sa robe se fendait d'un trou béant du bas de son ventre jusqu'à son entrejambe. Et comme tous ses beaux caleçon Babars et slip kangourous avaient rétrécis au lavage, à cause du maudit Queudver, sa chair la plus intime était désormais nue.
Tout à coup, il perçu un bruit et couvrit vivement son pénis de sa main. Le maudit Queudver en question entra dans le salon pour servir le dîner à son maître lorsqu'il se figea sur place et rougit violemment.
Le seigneur des Ténèbres était en train de s'adonner sans pudeur au plaisir solitaire.
« Oh maître, je reviendrais tout à l'heure. Je laisse votre plateau sur la petite table. »
« Attends Queudver, ramène moi une autre robe. »
« Oui maître mais… c'est que… Maître, vous n'avez plus de robe décente. Les mites s'en sont données à cœur joie… »
« Et bien va m'en racheter. »
« Maître, vous avez peut-être oublié que je ne peux sortir, je suis sensé être mort… »
« Ah oui ! Et bien, prête m'en une des tiennes. Pour ce soir ça fera l'affaire. La réunion ne va pas tarder maintenant et je ne veux pas que mes mangemorts me voit dans cet état là. Allez dépêches toi.»
« Mais c'est que… maître… »
« Pas de 'mais' misérable. Obéis à ton maître et va me chercher une de tes robes. »
« Oui maître » réplique le serviteur s'éclipsant sans demander son reste.
Voldemort grimaça en regardant son assiette : Choux farci.
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Queudver revint rapidement avec une de ses robes. La plus sobre et longue qu'il avait pu trouvé.
« Voilà maître » dit-il en arrivant au salon.
« Endoloris » siffla l'homme serpent.
Queudver sombra à terre hurlant, son corps convulsant sans pitié.
« Ca, c'est pour avoir mit deux minutes de trop » ricana le Seigneur des Ténèbres.
La douleur s'estompa et Peter Pettigrow pu se redresser sauf sa tête qu'il maintenait constamment courbée en signe d'obéissance et de soumission. Il tendit la robe qu'il tenait toujours et l'offrit à son maître.
« Qu'est-ce que c'est que cette… robe ? Endoloris ! »
Voldemort était en colère. Cette robe était tout bonnement affreuse et il ne pourrait certes pas rivaliser d'élégance avec ses fidèles ce qui l'ennuyait beaucoup. Mais il savait aussi qu'ils allaient arriver d'un instant à l'autre et qu'il n'allait pas recevoir ses mangemorts aussi nu que le jeune béni de sa naissance. Non, il était bien trop digne pour cela. S'il avait instauré dès le début la loi du nudisme encore mais là…
La seule pensée qui le réjouissait était sa crème.
Sa nouvelle crème pour peau sèche et écaillée était des plus merveilleuse. Il avait la peau aussi douce que celle des bébés.
« Touche Queudver, » ordonna le grand mage noir à son fidèle qui caressa la joue tendue. « Tu sens comme c'est doux. La crème s'appelle 'Vieilkarne' pour peau sensible ou liftée. »
« Oui maître, votre peau est plus douce qu'une pêche. Vous ne faites pas du tout vos… vos… 70 ? 71 ans ? »
« Endoloris ! »
Le serviteur hurla et roula sur le sol en tout sens. Une fois la douleur passée, il entendit « 29 ans Queudver ! N'oublies jamais mon âge à l'avenir. »
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Se dressant magnifiquement au milieu de ses fidèles, le Seigneur des Ténèbres, plus arrogant que jamais, lissa sa robe Hawaïenne.
Il entendait des gloussements derrière lui et sourit faiblement. Il savait que son plan machiavélique remporterait son petit succès. Il continua donc de discourir sur le moyen dont il allait pouvoir entrer dans Poudlard pour tuer Harry Potter une bonne fois pour toute.
D'autres gloussements se firent entendre et réchauffèrent le cœur de Voldemort qui aimait se sentir approuvé.
« Il ne lui manque plus que la couronne de fleur » gloussa Lucius Malfoy à l'oreille de Severus Snape.
« Ou le banjo » répondit celui-ci dans un ricanement presque inaudible.
« Elle lui arrive jusqu'au genoux, » murmura Avery, étouffant presque de rire. « Et on dirait des jambes de yeti. »
« Dix gallions sur ce qu'il portera la prochaine fois, » chuchota Nott. « Motifs léopard, mi-cuisses. »
Ils gloussèrent de plus belle.
« La dernière fois, je me suis fait 30 gallions, alors je mise, » repris Avery. « C'était jusqu'où les mites allaient bouffer sa robe. Et on avait bien vu la lune. »
Après 30 minutes de monologue et quelques petites questions utiles ('Quel shampooing utilisez vous Lucius ? Vos cheveux sont si brillants', 'Quel eau de toilette utilisez-vous Severus, elle sent délicieusement bon ? Odeur naturelle ? Bien, j'essayerais de me la procurer'. Ou'J'envisage de me faire épiler le maillot, qui est volontaire ?' Il n'y avait eu aucune réponse.)
Il était alors passé aux questions secondaires. (Lucius, où en sont le ministère à propos du recrutement intensif des nouveaux Aurors ? Severus, pour ce misérable adorateur des Moldus qui se croit plus fort que moi, où en êtes-vous ? Alors pour le maillot, qui ?)
Les mangemorts transplanèrent au plus vite en un Aloha très rapide.
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Queudver retira la dernière bandelette de cire et reçu un enième « Endoloris ».
« Je suis sûr que ça peut être fait sans douleur Queudver ! Ne me prend pas pour un imbécile ! »
Queudver, les larmes aux yeux, s'excusa encore.
« Passe-moi mon baume maintenant. »
Queudver ouvrit la fiole de potion-masque restructurant pour cheveux fins et pointes sèches et enduisit de baume l'unique cheveu qui restait sur la tête chauve de son maître Il était tellement fière de l'avoir ce cheveu. Il pouvait ainsi se vanter et pavaner sur le fait qu'il n'avait pas de calvitie totale.
« Masse moi le dos maintenant et… »
Sa phrase ne fut jamais terminée à cause de l'arrivée abrupte de Goyle.
« Oui, Goyle que veux-tu ? » demanda le Seigneur des Ténèbres sombrement. « Tu n'étais pas à notre réunion. »
« Oui maître. C'est parce que j'ai des nouvelles inquiétantes » murmura la serviteur anormalement agité.
« Ne me dis pas qu'ils ont arrêtés la fabrication de ma crème pour les mains et ongles parce que sinon, là, je vais devenir méchant, je vais… »
« Non, non, maître, c'est plus grave… »
« Plus grave, » s'affola Voldemort qui ne voyait pas trop ce qui pouvait être plus grave. Elle était multivitaminée tout de même cette crème. « Pas 'Vieilkarne'… ? »
« Il s'agit de Dumbledore maître, » soupira le mangemort. « En ce moment, il recrute des elfes de maison. Je pense qu'il veut constituer une armée. »
« Constituer une armée ? Avec des elfes de maison ? Tu te fous de moi Goyle ou quoi ? Endoloris ! »
Goyle hurla de toute la puissance de ses poumons, et quels poumons !
« Silencio » cria Voldemort et plus aucun cri ne pu se faire entendre.
Une fois que le sort se fut achevé, il rendit sa voix à son mangemort.
« As-tu autre chose à me dire misérable ? »
« Euh… non maître… euh… oh attendez là… ne bougez pas. »
Voldemort se figea, attendant.
« Juste un petit cheveu blanc, mais ne vous inquiétez pas, maître, je viens de l'arracher. »
*Scène suivante censurée*
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Le Seigneur des Ténèbres était convaincu d'une chose maintenant. Ses fidèles étaient des incapables. Il devrait donc se débrouiller tout seul.
C'est ainsi qu'en ce matin du mois d'avril, Tom Marvollo Riddle, 71 ans… euh pardon… 29 ans, se trouvait dans le panier d'un elfe de maison revenant du marché local de Pré-au-lard en direction du château de Poudlard. Il avait eu une idée de génie… La révélation du siècle. Qui lui mettrait Harry Potter sur un plateau d'argent. Son heure avait enfin sonnée.
Maintenant, qui pourrait soupçonner que le beau, le grand, le puissant Voldemort s'était métamorphosé en une magnifique laitue d'un beau vert Serpentard ?
