Une érection matinale de plus que j'allais devoir soulager sous une énième douche froide.

Me levant de mon lit et écrasant les divers magazines de rock, les partitions et les pornos qui jonchaient le sol, je titubai jusqu'à la salle de bain, me débarrassant de mon boxer en chemin, et filai sous la douche, séance de masturbation matinale numéro 6661.

« Putain Zacky va plus vite je n'en peux plus … Gémit Matt.

T'aimes quand j'te baise comme ça hein ? Lui criais-je, accélérant mes mouvements.

Oh putain ZaaaaAAAAaaackyyyy …

J't'ai demandé quelque chose il me semble … Lui dis-je, ralentissant à contrecœur.

J'aime quand tu me baises comme la salope que je suis, maintenant va plus viiiite ! »

Je me retirai de lui avec regret, pour lui tendre mes poignets, un sourire vicieux sur les lèvres. Il savait parfaitement ce que cela signifiait. Je levai mes poignets en l'air et il les menotta aux barreaux du lit, léchant toutes les parties de mon corps qui s'offraient à lui pendant l'opération. Il m'embrassait, se frottait à moi, me rendant tellement dur que ça en était douloureux. Il se leva enfin, pour revenir quelques secondes plus tard, la boîte dans les mains, destinée à nos petits jeux, en sortit un fouet et commença à me caresser l'anus avec, la vision de sa tête entre mes jambes me rendant fou.

Je relevai la tête et gémis longuement lorsque sa langue vint titiller mon entrée. Je crus que j'allais exploser. Et comme si ça ne suffisait pas, il enfonça deux doigts en moi et commença à me pomper avidement, joignant sa langue à ses doigts, me pénétrant avec. J'en demandais plus, mais il me fouetta, m'arrachant de longs râles de douleur et de plaisir.

« T'es si serré putain, j'ai envie de foutre ma grosse queue bien dure dans ton petit cul, bordel c'est trop bon, je craque. »

Il me pénétra, et une douleur atroce me parcourut, elle se dissipa néanmoins quelques instants plus tard, laissant place au plaisir.

Matt, transpirant, me pénétrait plus profondément et de plus en plus vite, à la recherche de ma prostate, qu'il trouva sans trop d'efforts. Je m'accrochai tant que je pouvais aux barreaux du lit, criant mon plaisir. Matt me giflait, me fouettait, et me masturbait tout en pénétrant bestialement, c'était tellement bon, et je bougeais frénétiquement des hanches, en demandant toujours plus.

Matt fouilla dans la boîte juste à côté de lui, ralentissant progressivement ses mouvements, jusqu'à sourire en sortant un gros vibromasseur, qu'il alluma avant de retirer son sexe de mon antre encore bouillante et de le remplacer avec l'énorme objet. Il me pénétra violemment avec, tout en me suçant goulument, et c'en fût trop, après quelques minutes (ou secondes, j'avais perdu la notion du temps) je vins sur son visage en longues giclées, et il lécha le tout du bout de ses doigts fins. Il arrêta de se masturber, son sexe se dressant fièrement devant moi, et prit la clef des menottes avant de me détacher. Je me jetai sur lui, nous faisant basculer, et me retrouvais à califourchon sur lui. Je commençai à bouger mes hanches, créant une friction entre nos deux sexes durs, et sans le prévenir je le pénétrais violemment et il hurla sa douleur tout en donnant de violents coups de hanches.

Tout en le masturbant rapidement, j'effectuai de rapides va-et-vient, et Matt ne tarda pas à jouir sur nos deux torses, et sa jouissance entrainant la mienne, je me déversais au fond de son ventre. Je léchai avidement son sperme, et l'embrassai, lui faisait ainsi goûter à sa propre semence. Puis je me laissai tomber mollement sur le lit …

Je vins sur le mur de la cabine de douche, la respiration saccadée, et réalisai que j'étais resté trop longtemps, j'avais vidé le ballon d'eau chaude, encore une fois.