Titre : Une histoire d'âge

Auteur : Gwenael

Rating : M

Genre : Romance

Avertissement : SLASH DMHP, si vous n'aimez pas, rien ne sert de rester une minute de plus ici, je vous invite à quitter cet onglet en cliquant sur la jolie petite croix en haut à droite

Disclaimer : Bon, bah toujours en négociation avec J.K. Rowling mais je ne désespère pas ! De plus, c'est un manga yaoi dont je ne me souviens plus du nom qui m'as inspiré. Du coup, si un jour vous tomber dessus et que cela vous dit quelque chose, vous ne rêvez pas.

Bêta : Cherche toujours

Note de l'auteur : Voilà, ça fait très longtemps que j'avais pas écris et j'espère que vous apprécierez cette histoire. Les personnages sont sûrement un peu OC mais comprenez que dans cette histoire, j'ai créée une différence d'âge entre Harry et Draco, ce qui fait que la caractère d'Harry a évolué. De plus, cette histoire est un UA.

Voilà, si vous le voulez ou que vous avez des questions à me poser ou encore que vous avez des remarques autant positives que négatives, vous pouvez me laisser une review. Sincèrement, je ne vous en retiendrait pas rigueur si vous ne le faites pas, moi même j'ai souvent la flemme. Je comprend que certains auteurs sont vexés quand leur histoire ne marche pas à ce niveau mais personnellement, j'écris pour moi même, pour extérioriser ce que j'aurais aimé voir ou ce que j'imagine. Les reviews, sans complètement m'indifférer car cela rassure et fait toujours plaisir quand on nous dit que l'histoire est bonne, je m'en fous un peu. Je prendrai tout de même soin de vous répondre, qu'importe votre avis.

Voilà, après le speach bien chiant (que je saute toujours quand je lis une histoire), faites place à l'histoire !

Chapitre 1 : Première rencontre

C'était un jour de pluie comme tant d'autres. Harry Potter revenait tout juste de son travail et s'était arrêté en chemin dans une épicerie acheter le repas du soir. Fatigué, le jeune Potter n'avait qu'une hâte, rentrer chez soi dans son appartement où il serait enfin, ou plutôt comme toujours seul. En effet, la vie du jeune brun n'avait jamais été facile et souvent solitaire.

Ses parents se prénommaient Lili et James Potter, son paternel possédant un ancien titre de noblesse ainsi qu'une fortune colossal. A leurs morts dans un accident de voiture, Harry n'avait qu'un an et demie et avait été confié à sa famille la plus proche, sa tante maternelle Pétunia Dursley.

Celle-ci était marié avec le patron d'une entreprise de perceuse et ils vivaient avec leur fils du même âge que l'héritier Potter, une vie de bourgeois qui ne fit que s'accentuer quand ils eurent la charge du bambin mais surtout de son héritage sur lequel il avait tout contrôle jusque sa majorité. Malheureusement, Vernon Dursley, le mari de Pétunia eut le temps en seulement cinq ans de tout dilapider dans les jeux et dans des actions en bourse qui ne leur apportèrent aucun profit mais seulement des dettes.

C'est ainsi qu'avant même de comprendre la valeur de l'argent, ses tuteurs lui enlevèrent des mains un avenir confortable et ne lui laissèrent qu'un titre de noblesse poussiéreux dont il n'avait que faire mais qui faisait très classe lorsqu'il recevait ses impôts.

Ses tuteurs, il ne pouvait pas vraiment les appeler sa famille, ne l'avaient jamais maltraité, tout du moins physiquement car il n'avait reçu que de rares claques durant son enfance. Non, ils devaient juste faire les corvées de la maison, avait vécu jusque ses 18 ans dans un placard tandis que son cousin lui avait deux chambres, et il n'était pas allé dans la même école de bourge que lui non plus. Mais tout ça lui aurait parfaitement convenu car à l'époque tout ce qu'il désirait était un peu d'amour, d'affection, ce qu'il n'avait jamais reçu.

Puis, à ses seize ans, il rencontra Tom Jedusor, il devinrent proches, très proches. Mais les circonstances firent qu'ils se séparèrent et son adolescence se termina là.

Dès ses dix huit ans, il avait prit le peu d'affaires qu'il possédait et s'était barré pour Londres avec quelques économies qu'il avait réussi à rassembler au nez et à la barbe de son oncle quand il devait laver son linge. Plus tard, il avait réussit à trouver un emploi avec son bac en tant qu'assistant aux secrétaires, ce qui tenait d'un miracle bien que cela était très peu gratifiant. Désormais à ses vingt six ans, il avait réussi à gravir les échelons jusque devenir secrétaire générale, ce qui tenait également du miracle vu son jeune âge.

Il avait ensuite retrouvé Tom et leurs situation avaient déjà bien changé, ils étaient tout deux devenus des adultes et plus rien ne pourrait être pareil. Toutefois, leurs corps étaient plutôt compatibles et ils leur arrivaient de temps en temps de se voir pour boire un verre et passer une nuit de débauche ensemble pour se décharger du stress de la vie quotidienne. Un connard, mais un connard sexy.

Malgré tout cela, Harry Potter se considérait comme un simple employé des plus ordinaires et était heureux de sa vie. Tout du moins, il faisait tout comme.

Cependant, ce jour de pluie là resterait gravé dans sa mémoire comme le commencement de sa vie. Quand il y songeait maintenant, il comprenait que toutes ses années, il n'avait été qu'un zombie, une machine qui vivait pour vivre, car il n'y avait rien d'autre à faire. Il avait enfin trouvé un sens à sa vie.

Bref, arrivé devant l'escalier menant à son studio plus que confortable...un cadavre ? Le corps d'un adolescent, un jeune homme tout au plus, était étendu sur la première marche des escaliers et bloquait son chemin vers son étage. Il se demanda un instant ce qu'il devait faire. Appeler la police ? Les urgences ?

Un gémissement rompit le silence, le faisant sursauté. Bon, apparemment, il n'était pas mort, tout du moins pas encore. Il se décida à l'observer plus en détail.

Vu comme il était replié sur la marche tout en réussissant à demeurer dessuss, il devait faire dans le mètre soixante quinze, à peu près la même taille que lui, les cheveux blonds cachant son visage, les vêtements trempés montrait un corps long et sec. Ses vêtements étaient tachés de boue-il remarqua d'ailleurs le blason sur sa veste- et il lui semblait voir quelques bleues sur son corps notamment sur sa pommette gauche, la couleur bleue-violette faisant ressortir la pâleur de sa peau et l'argenté de ses yeux...attendez quoi ? C'est là qu'il se rendit compte que le gamin était en fait réveillé et le fixait comme s'il était la dernière des merdes.

Il sentit la colère monter en lui. Qui était ce merdeux pour le regarder comme ça ? C'est dans ces moments là qu'il se disait que la fessé pour les gosses, malgré son passif, ne faisait de mal à personne. Le respect était une chose que même sans ses relatifs, il avait appris et accordait à tous.

Il lui fit signe de la main pour qu'il se déplace, évitant son regard. Ce dernier ne pipa mot mais ne bougea pas non plus de sa place, le défiant du regard. C'est là que le brun sût de quel milieu il provenait. Un autre putain de bourge riche qui pétait plus haut que son cul. Super... Il ne manquait plus que ça, lui qui voulait juste rentrer chez lui et se prélasser dans son canapé pour regarder une série à la con. Bref, ce gamin allait dégager.

"-Auriez-vous l'obligeance de bien vouloir me laisser passer. J'aimerai avoir accès à mon logement au plus vite." Si son métier lui avait bien fait comprendre quelque chose, c'était que la politesse et bienséance valait mieux que ses réactions spontanés et coléreuses qu'ils avaient eu plus jeune. Quoiqu'il n'avait pas changé, s'étant juste forgé un masque pour le boulot. Son amie Hermione le qualifiait de "griffondor". Il n'avait pas tout compris mais apparemment c'était une référence d'un livre pour adolescent qui se passait dans un univers magique dont le personnage un certain "Henry Pot de fleur" ou il ne sait quoi était le personnage principale.

Le blond le fixa encore quelques instants avant de finalement se redresser et lui laisser une ouverture. Sans un regard en arrière, il monta les escaliers le frollant à peine, puis arrivé devant sa porte, l'ouvrit et s'enferma laissant cette courte entrevue derrière lui. Enfin, c'est ce qu'il aurait aimé dire mais à peine était-il arrivé sur le palier et ouvert sa porte que la culpabilité l'assaillit. Que faisait ce gamin ici ? N'allait-il pas tomber malade avec ses vêtements mouillés ? Et ses blessures ?

Il jeta un coup d'œil en arrière et vit que la demie portion était toujours là et son cœur flancha. Maudit soit-il et sa trop grande gentillesse. Si Hermione voyait ce qu'il allait faire, elle l'aurait sûrement étrangler, mais bon elle n'était pas là et ainsi rien ne l'en empêchait.

"-Qu'est ce que tu fais ici ?" Lui demanda Harry. Le blond se retourna et leurs regards se croisèrent instantanément. On avait souvent dit à Harry qu'il avait un beau regard mais ce jeune homme avait une lueur de défi, de dangerosité dans ces yeux qui l'interpellèrent.

"-Je m'abrite de la pluie. Je repartirai quand ce sera fini." Sur ce, il se détourna et se rassit sur les marches. C'est là qu'il remarqua qu'il tremblait de froid et ses pommettes en dehors de l'énorme bleue qu'il abordait sur la gauche étaient plutôt rosés. Aurait-il de la fièvre ?

Maudit soit-il pour ce qu''il allait faire...

"Tu veux venir chez moi ?"

Les mots étaient sortis de sa bouche avant même qu'il n'ait vraiment pu y penser. L'ado se retourna de nouveau et sembla le détailler. Oh non, colère, éloigne toi, je ne te cèderai pas, on a juste l'impression d'être une merde sous sa chaussure mais on se retient et on ne vas pas l'immoler. Non, mes petites mains, on ne s'entoure pas autour de son petit cou d'aristo.

Ce dernier haussa les épaules puis se releva.

"-Pourquoi pas". Sur ce, il monta en un éclair les escaliers et passa devant lui sans aucune gêne. Au moins, il sait parler. Harry resta figé un instant puis en soupirant, rentra lui aussi refermant la porte derrière lui. Si cela se trouvait c'était peut-être un psychopathe qui allait le tuer avec un couteau de sa propre cuisine ? Ouhla, là, il fallait qu'il se détende, après tout que pouvait lui faire une gosse encore mouillé derrière les oreilles ? C'était d'un ridicule...

Son jeune invité se tenait au milieu de son salon et observait les lieux. Il ne devait sûrement pas être habitué à des locaux aussi modestes, bien que son studio soit plus que correct pour le commun des mortels. D'ailleurs, en parlant de mobilier, des flaques d'eau et de boue se formaient petit à petit sur son carrelage, ce qui était loin de le ravir.

Harry passa par la salle de bain et lui tendit une serviette en une invitation muette.

"-Va donc prendre une douche, je te prépare des vêtements, faut que tu te réchauffes où tu vas attraper la crève." Le blond prit la serviette et s'engouffra dans la salle de bain.

Merde mais que faisait-il ? Il ne pouvait pas accueillir un gamin comme ça dans son studio, ce n'était pas un chaton ni un chien errant qu'il venait de faire entrer chez lui. Il soupira une énième fois et s'affala dans le canapé. Là, il enleva la veste de son costume, retira sa cravate et déboutonna les premiers boutons de sa chemise. Ça faisait du bien d'enfin être chez sois.

Il ferma les yeux et songeur, pensa au jeune homme dans sa douche. Oh mon dieu, que c'était étrange de prononcer ces mots, on aurait presque dit qu'ils allaient couchés ensemble. Maintenant qu'il y pensait, il ne connaissait même pas son nom et vis versa. N'apprenons -t- on rien aux enfants de nos jours, notamment de ne jamais suivre les étranger jusque chez eux ? Apparemment non. Mais dans quel merde s'était-il encore fourré ?

Il n'entendit pas la douche s'arrêter, pas plus que la porte de sa salle de bains qui s'ouvrit tout autant que les pas du jeune homme jusque devant lui, ce qui le fit sursauter quand il lui adressa la parole.

"Vous aviez dit que vous alliez me préparer des fringues ?"

Le brun rouvrit les yeux et il fut ébahi face à la vue devant lui. Autant il trouvait qu'il avaient de beaux yeux, mais ses vêtements ainsi que ses cheveux crasseux lui avait caché le reste.

Il ne portait qu'une serviette autour de ses hanches qui montrait le magnifique v qui se dessinait au niveau de son aine mais pas que cela. Ses cheveux blonds terne étaient maintenant d'une couleur platine et lui frôlait la nuque dans un dégradé sophistiqué . Ces derniers n'avaient pas été séché et de fines gouttelettes parcouraient son corps redessinant les muscles fins de son corps. Une gouttelette en particulier attira son attention. Celle ci parti de sa nuque se glissa dans sans clavicule, continua son voyage jusque l'un de ses pectoraux puis se fit taquine au niveau de son ventre avant de le narguer en se glissant sous sa serviette, attirant son regard sur quelque chose qu'il trouvait...intéressant.

Il se reprit et maudit quand il se rendit compte qu'il rougissait. Mais qu'était-il ? Une ado bouffé par les phéromones ?

"-Oui, bien sûre; j'y vais de suite" dit-il en se levant, et se dirigeant vers sa chambre. Il sentit vaguement son invité le suivre.

"-Ce sera sûrement trop court pour toi mais je n'ai que ça alors...

-Vous invitez souvent des hommes comme ça chez vous ? Le coupa le garçon. Harry sentit alors ses bras se nouer autour de sa taille, l'emprisonnant dans une solide étreinte.

-Quoi ?! S'offusqua Harry, essayant en vain de se dégager de sa prise mais le blond était de carrure bien plus importante que lui et il lui était difficile de faire un mouvement. Brusquement, Harry fut jeté sur son lit et son agresseur lui tint les poignets au dessus de sa tête, le fixant de nouveau mais avec un regard langoureux qui ne donnait que peu de doute sur ce qu'il avait prévu de lui faire subir.

Le blond posa ses lèvres sur les siennes. Sa langue dessina sa lèvre inférieur en une invitation muette pour approfondir ce baiser. Harry ne savait quoi faire. Il devait admettre que bien qu'il ait été surpris de cet assaut pour la moins inattendu, la situation l'excitait et il hésitait entre lui rendre son baiser ou lui filer un bon coup de pied entre les jambes, au risque de le rend stérile à tout jamais.

Apparemment, il avait pris trop de temps pour répondre à son invitation puisqu'il lui mordit violemment la lèvre lui faisait ouvrir la bouche afin de laisser passer un gémissement de douleur qui devint sourd quand la bouche du blond prit une nouvelle fois possession de la sienne et sa langue s'engouffra dans sa bouche. Cette dernière domina complètement sa semblable, jouant un ballet des plus érotiques avec elle, la faisant valser selon ses envies. Harry sentit une chaleur se réveiller dans son bas ventre et son esprit s'embrumer alors qu'un doux plaisir prenait forme en lui. Le goût du sang qui se mélangeait à ce baiser ne le rendait plus que bestial. Cela faisait bien longtemps que l'on ne l'avait pas embrassé comme ça, de manière aussi passionné. Plus depuis sa dernière visite.

L'air leur manqua au bout d'une longue minute et ils furent obligés de se détacher l'un de l'autre. Harry ignorait qu'il offrait à son amant (?) une vue tout à fait bandante. Il avait les joues rouges, le regard émeraude brillant de larmes de plaisir et la respiration haletante. Ce dernier était l'image même de la luxure.

"-Putain, t'es trop sexy..." lui murmura le blond, sa langue venant mordiller son oreille droite, ayant pour résultat un long gémissement. La vilaine continua ensuite sa torture jusque son cou qu'elle lécha. Le blond mordilla et suça avec acharnement sa peau bronzé, et Harry songea vaguement que ça allait laisser des traces. Il poussait de temps en temps de petits miaulements à chaque fois que son jeune amant trouvait un point sensible de son anatomie. Il lui lâcha les poignets pour ouvrir complètement sa chemise déjà entrouverte et le brun agrippa instinctivement les draps. Ses dents mordillaient maintenant son téton, lui envoyant de petites décharges jusque son aine et directement dans ses parties intimes.

Le blond léchait maintenant son téton gauche et commença à le sucer alors que qu'il pinçait le droit être ses doigts qui lui semblèrent bien expérimenté. Il stoppa ses caresses sur le haut de son corps et vint embrasser son ventre et arriva bientôt à son pantalon. Alors que ses mains s'attaquaient à la boucle de sa ceinture, Harry eut un retour de conscience. Allait-il vraiment coucher avec un inconnu qu'il venait juste de rencontrer et qu'il avait abriter le temps d'une averse ? La voix de sa conscience lui dit que cela ne se faisait pas tandis que la voix de sa...bah de son pénis lui disait que de toute manière ce n'était pas la première fois, qu'il pouvait bien s'accorder du bon temps de temps en temps et puis ça faisait tellement longtemps...Après tout, il n'y avait rien de mal à se faire du bien entre adultes consentants.

Ses questionnements prirent fin quand une main vint se glisser dans son caleçon et il se sentit de nouveau partir au pays des petits oiseaux. Cela faisait vraiment longtemps qu'il n'avait pas senti le toucher d'un autre être humain et c'était merveilleux. Soudainement, une pensée qu'il avait eu lui revint en tête comme un mantra.

Il n'y avait rien de mal à se faire du bien entre adultes consentants. Adultes...merde ! Adultes !

Harry lui sortit la main de son pantalon à la grande surprise de son partenaire qui devait penser qu'il était parfaitement consentant. La main crispé sur son poignet, il lui demanda la question qui lui trottait maintenant dans la tête.

"-Ton âge ?" lui demanda le brun. A ces mots, le blond haussa simplement les épaules et lui répondit d'un air taquin.

"-Dix huit ?

-C'est une question ou un affirmation ? Dégage, je ne couche pas avec les gamins, lui ordonna Harry, essayant de se relever mais le blond l'en empêcha en relevant une nouvelle fois ses mains au dessus de sa tête.

"Non." Et sur ce, il continua ce qu'il avait commencé, embrassant son torse, une de ses mains continuant l'exploration de ses parties intimes et plus particulièrement son derrière qu'il malaxait. Merde, le gamin était doué, c'était difficile de résister mais s'il ne voulait pas finir en prison pour abus sur mineur, il fallait absolument qu'il réagisse. Cette seule pensée ajouté à l'âge de son prétendant le refroidirent et il réussit à retrouver ses esprits.

"Lâche moi immédiatement, je ne compte sûrement pas faire de la prison pour toi.

-Je ne dirai rien à personne, allez détends toi un peu. Essaya -y-il de le convaincre, continuant à malaxer son cul. Harry prit une grande inspiration et le regarda, plus du tout joueur.

-Écoute moi bien gamin, tu vas me lâcher ou je te promet que...

-Quoi ? Tu vas me frapper ? Et comment ? Je fais peut-être deux fois ton poids et tu as les mains entravés...

-Non, mais je peux faire ça, répliqua -t-il alors qu'il lui enfonçait le genou dans l'entrejambe. Le blond se plia en deux et Harry en profita pour se redresser et reprendre ses esprits. Il remit en place son pantalon et se leva. Qu'est ce qui l'empêchait de lui foutre son poing dans la gueule et le jeter dehors.

"-Mais putain, t'es pas bien ? Lui cria dessus le gamin se tenant ses bijoux de famille dans les mains. Qu'est ce que je fais si je peux plus avoir de gosses plus tard ?

-Je m'en fous. C'est comme ça que tu remercie quelqu'un qui t'abrite et t'accueille. Les mômes d'aujourd'hui sont vraiment pas croyable, se parla -t-il à lui même alors qu'il prenait des vêtements de son armoire. Tiens, enfiles ça et arrête de te promener tout nu dans ma chambre. Après, viens dans le salon, faut traiter tes blessures. Ensuite, dès que la pluie s'arrête tu t'en vas.