Once upon a time a few mistakes ago
Note =
Hello hello les gens! Je reviens après plusieurs mois (années) d'absence.
Après avoir écrit que des fanfic sur House MD, je me lance dans l'écriture sur mon nouveau couple favori: Robin/Regina. Depuis quelques semaines déjà je suis dessus mais violent quoi! Et puis je me suis dit que j'allais tester!
Alors pour le moment je ne sais pas trop où je vais, je teste. Là c'est un petit prologue pour inaugurer le truc. Rien de bien méchant!
Personnages pas à moi, malheureusement parce que j'aurai bien changé la fin de la saison. Justement, SPOILER FIN DE SAISON 3!
Prologue =
Regina se retourna, ébahie. Son bonheur de quelques semaines venait de s'effondrer sous ses yeux. Elle venait de tout perdre, ou presque puisqu'Henri lui avait annoncé qu'il voulait rester à Storybrooke. Mais son amour, son Vrai Amour venait de s'arracher à elle. La respiration haletante, les yeux piquants, elle se recula jusqu'à la porte, et butta dedans avec son pieds. Puis elle entendit un « Ho non Regina » venant de Robin. Cela ne fit que lui donner encore plus envie de sortir en courant de ce Dinner de malheur. Elle s'agrippa à la poignée et tenta de se rappeler de comment ouvrir une porte. Et en plus elle sentait des pas se rapprocher d'elle. Par bonheur, elle y arriva et sortit en trombe. Elle tenta de s'éloigner de plus en plus de cet homme qui l'ensorcelait et duquel elle n'arriverait pas à se défaire s'il la rattrapait, elle en était sûre mais son talon haut glissa sur une plaque de verglas. Elle hoqueta mais fut rattrapée de justesse pas deux mains qui la tenaient par le bras.
« Qu'est-ce que… » Murmura-t-elle. Elle tourna la tête et vit une trainée de neige mélangée à de la glace qui suivait la route. La bouche ouverte et toujours à terre, elle avait du mal à penser, tout se mélangeait dans son esprit avec les évènements qui venaient de se dérouler.
« Regina, qu'est-ce que c'est que ça ? » Lui demanda Robin qui l'aida à se relever. Elle continua à fixer le froid tout en s'agrippant à lui pour reprendre ses esprits, oubliant alors totalement l'existence même de Marianne. « Je n'en n'ai aucune idée » Répondit-elle abasourdie.
