Bonjour, manant, bonsoir, donzelle.
Bienvenue dans ce recueil, qui n'a pour seul objectif que de compiler une partie de la masse épistolaire qui se trouve dans la grande armoire bleue, entre un tas de robe et un tableau de la girafe qui faisait le guet à l'entrée de la salle commune de Griffondor, dans le coin arrière droit de la la Salle sur Demande, au septième étage.
Si ces trente-deux étagères de lettres ont été parcourues par quelque polisson à la recherche d'une bonne farce à faire, l'histoire ne nous le dit pas.
Le fait est que ces lettres ont atterri entre nos mains, et qui sommes nous, après tout, pour priver le monde d'un tel joyau.
Ci-gisent les derniers témoins d'un amour, les ficelles d'une domination du monde, disons-le, foireuse, et d'un incident concernant de la litière pour chat. Ces lettres incriminent particulièrement un certain Argus Rusard et une certaine Irma Pince, qui, soyons-en certains, n'ont jamais deviné que leurs épanchements lyriques seraient un jour rendus publics, nous enjoignons donc notre lecteur à l'indulgence, c'est ça un amour pur et sans limites.
Mes amis, dégustez.
Ces lettres ont été écrites durant l'été 2017 en tant qu'échange entre Griseldis ( u/1850010/Griseldis) , présente sur ce site également (allez jeter un tour dans ce qu'elle écrit, c dla balle), et moi-même.
Elle s'est occupée d'Irma, et moi d'Argus. Si quelqu'un est à blâmer pour les fautes et les mauvaises rimes, c'est moi. J'en ai honte, mais je suis prête à en assumer l'entière responsabilité. Elle cependant est responsable des envolées brûlantes de Pince, remerciez la.
A priori, ce recueil est complet et ne comporte que sept lettres (nombre divin? nombre qui jalonne la saga? ou juste coup du sort?), puisqu'à vrai dire, on a arrêté de l'écrire il y a déjà un an et à priori rien d'autre n'en sortira.
Bonne lecture!
