Coucou tout le monde ! Je vous présente ma nouvelle fic « Un avenir à Brooklyn » ! Cette fois, je pense tabler sur des chapitres plus courts mais plus réguliers...parce que j'ai vraiment du mal à être régulière x) Je vais donc me débrouiller pour que vous ayez quelque chose à vous mettre sous la dent assez souvent, faire avancer l'histoire quoi !
Parings : multiples, Hawksilver (je les adore), Stucky (pareil), Pepperony, BruceTasha etc.
(Bien sûr, je n'abandonne pas les Aventures de la famille Maximoff !)
Bonne lecture ! Et n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez ! :)
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« -Papa ! Papa réveille-toi ! On y est !
Clint Barton sursauta, le visage encore appuyé contre la vitre du côté passager, à l'avant de la camionnette rouge. À côté de lui, Natasha Romanov, son amie d'enfance, eut un sourire en coin. Elle rejeta par-dessus son épaule une mèche de cheveux d'un roux flamboyant avant de couper le moteur. Lila babillait à n'en plus finir, excitée comme une puce, et répétait à son père de se dépêcher, qu'ils étaient arrivés dans leur nouvelle maison. Clint se passa une main molle sur le visage, tâchant de rassembler deux pensées cohérentes, inspira un bon coup, et ouvrit sa portière. Par chance, Natasha avait trouvé une place juste devant l'entrée de l'immeuble, un vieil édifice typiquement brooklynien refait à neuf quelques années plus tôt. Le quadragénaire leva la tête vers le bâtiment avec un pincement de regret qu'il réprima tout de suite.
« -Oui Lila...on est arrivés à la maison, murmura-t-il pour lui-même, tout en se demandant s'il pourrait un jour considérer cet endroit tel.
Natasha et Lila s'activaient déjà à sortir les affaires sur le trottoir, tandis que Cooper était allé chercher le concierge, Monsieur Jarvis, pour le prévenir de leur arrivée. Le gros des meubles -ceux qu'ils avaient gardés- était déjà arrivé la veille, gracieusement réceptionnés par un voisin que Monsieur Jarvis avait mis au courant. Malgré cela, la camionnette était bourrée à craquer. Tout le bazar de la famille Clinton consistait en tonnes de sacs en tout genres et de cartons bardés d'inscriptions, « Lila », « Cuisine », « Livres », « Matos Papa », qui envahirent le trottoir en un ensemble hétéroclite. Pendant que les filles tâchait de ranger les affaires pour qu'elles ne gênent pas le passage, Clint ouvrit la portière arrière droite et détacha Nathaniel qui agitait les bras vers lui. À deux ans, le petit garçon gambadait dans tous les sens, ce qui forçait tout le monde à garder en permanence un œil sur lui. Cette fois-là, pour ne pas prendre de risques, Clint prit le petit garçon dans ses bras, ce qui n'était pas chose aisée, car il gigotait en tout sens. A ce moment-là, Cooper revint avec le concierge. C'était un homme propre sur lui, l'air très discret mais très professionnel, en gilet, le cheveu bien peigné, en mocassins de daim. Clint serra la main qu'il lui tendait.
« -Je vous souhaite la bienvenue, Monsieur Barton, dit-il très poliment, à vous et à votre famille. J'espère que vous vous plairez ici !
-Nous l'espérons aussi, répondit Clint sur le même ton, tâchant d'ête le plus aimable possible malgré son manque d'enthousiasme. « Allez Clint, c'est pour tes enfants ».
-Voici les clés ! L'appartement est au troisième étage, je vais vous aider à monter vos affaires. Il faudra sans doute faire plusieurs voyages. Venez, nous allons d'abord tout faire passer dans le hall de l'immeuble, ainsi vous ne risquerez pas de vous faire voler vos affaires. Comme vous le voyez, c'est une porte à code, très sécurisante !
Clint lança un coup d'oeil narquois à Natasha, qui lui répondit par un sourire amusé. Une fois la camionnette vidée et toutes les affaires dans le hall, chacun attrapa des sacs et cartons en fonction de ses capacités, et monta les escaliers -il n'y avait pas d'ascenseur. Lila et Cooper galopaient devant, portant chacun deux sacs, motivés par la hâte de voir l'appartement. Monsieur Jarvis les suivait vaillamment avec deux cartons et un sac sur chaque bras. Clint portait Nathaniel en plus de son lot de sacs, et Natasha fermait la marche, portant plus que ne semblait le permettre sa carrure. Au fur et à mesure de leur ascension, Monsieur Jarvis leur parlait de l'immeuble et de ses occupants. Il y avait trois étages, quatre appartements par étages, et un accès extérieur au toit à chaque étage, par le biais d'un escalier courant sur le mur extérieur de l'ancien immeuble. Au premier étage habitaient un étudiant en sciences avec sa tante et un jeune retraité de l'armée (« Comme vous, c'est bien cela, Monsieur Barton ? »). Au second, un vieil homme un peu bougon mais au fond très gentil, un jeune docteur très discret qui avait reconvertit une partie de son grand quatre pièces en cabinet, et un couple de jeunes mariés. Au troisième étage, un couple de deux hommes très bien « des artistes ! », et des jumeaux qui vivaient en collocation. A l'instant où, un peu essouflés par le poids de leurs charges, ils arrivèrent au troisième étage, une porte s'ouvrit. En sortit un jeune homme blond à la carrure impressionnante contrastant avec le regard très doux qu'ils leur adressa, avant de se fendre d'un grand sourire.
« -Bonjour, Monsieur Jarvis.
-Monsieur Rogers.
-Clinton Barton, c'est bien ça ? Demanda Rogers en s'approchant pour serrer la main de l'ancien militaire.
-Appelez-moi Clint, dit fermement le châtain en lui rendant une virile poignée de main.
-Steven Rogers. Enchanté. Appelez-moi Steve, répliqua le blond avec un sourire éblouissant. Vous êtes le nouveau voisin, déduit-il.
-Et...c'est vous qui avez réceptionné mes meubles, n'est-ce pas ?
-Oui, avec mon compagnon, Bucky. Nous avons essayé de répartir les meubles en fonction des instructions que vous nous avez laissées, j'espère que cela vous conviendra.
-Merci, c'est vraiment très aimable à vous, dit Lila avec un grand sourire.
-Mais de rien jeune fille. Tu es Lila c'est ça ?
-Oui ! Et lui c'est Cooper, et lui Nathaniel, et Tata Natasha !
-Enchanté, fit théâtralement Steve avec un grand geste du bras. Je vais vous donner un coup de main avec les affaires, proposa-t-il.
-Avec plaisir, Steve, fit Natasha.
Avec une paire de bras forts en plus, le reste des affaires fut rapidement monté. Bientôt, on ne vit plus les enfants, trop occupés à découvrir l'appartement, et les adultes se chargèrent du reste. Clint n'était pas encore entré dans leur nouveau logis, retardant plus ou moins consciemment ce moment où il lui faudrait se résigner à faire une croix sur leur ancienne maison -la seule, il le craignait, qu'il pourrait jamais considérer comme la sienne, celle où il avait vécu heureux avec son épouse. Natasha surveillait son ami sur coin de l'oeil, et avait déjà perçu ses états d'âmes. Elle ne dit cependant rien, aidant du mieux qu'elle pouvait. Après tout, il n'était que 10h du matin, ils auraient bien le temps d'en parler dans la journée.
Finalement, Clint ne put plus y couper, il lui fallut entrer dans l'appartement, traîné par Lila et Cooper. C'était un très bel endroit, à la fois sain, neuf, et authentique. C'était un de ces appartements ou maisons avec une âme, des endroits qui dégageaient une aura particulière, vous mettant tout de suite à l'aise. L'ancien militaire se détentit imperceptiblement. On entrait tout de suite dans la pièce à vivre, un grand salon lumineux à peine cindé en deux par une ouverture découpée en forme d'arche. Il s'agissait à la base de deux pièces qui avaient été rassemblées en une seule. Trois hautes fenêtres donnant sur un balcon étaient orientées plein sud. La cuisine était aussi en ouverte, en continuitée avec la pièce à vivre, à gauche de l'entrée, uniquement démarquée par un large comptoir. A gauche de la cuisine commençait un couloir devant mener aux chambres -quatre- et aux salle de bains -deux. Les WC étaient indépendants. Le tout était encombré de cartons et de sacs en tout sens, et Clint constata avec soulagement que les meubles avaient été disposés avec beaucoup de bon sens et de bon goût, ne voyant aucune modification majeure à apporter. Il remercia chaleureusement Steve, qui haussa les épaules avec un sourire.
Soudain, un petit bruit retentit à l'entrée de l'appartement. Le son régulier d'une articulation rencontrant le bois de la porte. On toquait à la porte ouverte. Lila devança Clint et se présenta tout de suite.
« -Bonjour ! Je m'appelle Lila Barton, enchantée !
-Bonjour ma puce, moi c'est Wanda, Wanda Maximoff, fit une voix douce.
Clint aperçu, en arrivant à l'entrée, une très jeune femme d'une vingtaine d'année, au sourire gentil qui se fit un peu timide en le voyant arriver. Le quadragénaire fut tout de suite frappé par le charme serein qui émanait de la jeune brune. Elle était habillée simplement mais élégamment, portant un jean sombre, un haut sans manche noir et un gilet rouge sombre par-dessus. De nombreux bracelets dans les mêmes tons ornaient ses poignets, qui semblaient fasciner Lila. Elle tendit une belle main fine à Clint lorsqu'il arriva à sa hauteur.
« -Vous êtes Clinton ? Dit-elle doucement. Steve m'a dit que nous allions avoir un nouveau voisin.
-Clint. Et vous êtes Wanda ? Enchanté, fit-il en serrant sa main.
-Wanda ! Claironna Steve derrière lui, comment vas-tu, ma belle ? Tu as vu, nos nouveaux voisins sont arrivés !
-Bonjour Steve, sourit Wanda.
-Nous venons d'arriver, éclaircit Natasha en s'approchant à son tour. Natasha, enchantée Wanda.
-De même Natasha. Justement...je me demandais si je pouvais venir aider pour quelque chose… ?
-Tu n'avais pas des examens à travailler ? S'étonna Steve.
-Je les ai bien travaillés hier, dit Wanda avec une moue adorable, et l'appartement me semble vide sans mon frère -il est en voyage avec son copain et rentre demain, précisa-t-elle à Clint et Natasha-, du coup je pensais me changer les idées…
-Eh bien, votre aide sera acceptée et appréciée, décida Clint.
-Pourquoi ne pas passer au tutoiement ? Proposa Steve. Après tout, nous sommes vos voisins du troisième étage !
-Ok, rit Clint, va pour le tutoiement.
Ils se fixèrent comme objectif de finir de ranger toutes les affaires le jour-même, ou au moins, de vraiment bien avancer. Tout le monde mit la main à la patte, même Nathaniel, même si son aide contibuait plus à mettre le bazar qu'autre chose. Enchantés, Lila et Cooper étaient engagés dans un grand débat concernant le choix de leurs chambres respectives. Clint leur avait dit de choisir celles qui leur feraient plaisir, il prendrait la chambre restante. Même Nathaniel aurait sa propre chambre. Dans la cuisine, Wanda déballait la vaisselle et la tendait à Clint, qui la rangeait dans les grands placards de bois vernis en hauteur, ou ceux du comptoir. Ils étaient efficaces, et leur tâche fut achevée en un rien de temps. Steve et Natasha formaient aussi une bonne équipe, rangeant les livres, disposant les bibelos sur la cheminée -qui ne servait plus qu'esthétiquement.
Bientôt, les parties communes ressemblèrent vraiment à quelque chose, et Clint se sentit un peu mieux, plus ancré peut-être dans la réalité de ce qu'allait être sa vie dans cet appartement. Il s'en rendait mieux à mesure qu'un intérieur douillet prenait la place des piles de cartons. Commença alors un autre grand débat -pas le dernier d'une longue liste qui se déroula tout au long de l'installation- entre Wanda et Steve, pour savoir si le canapé était vraiment à sa place à l'endroit où il était, près de la fenêtre. Ne fallait-il pas plutôt le mettre tout contre le mur afin de ne pas barrer l'accès ? L'ancien militaire les écoutait d'une oreille distraite et amusée, se fichant éperdument de là où il retrouverait le canapé au final, leur faisant totalement confiance pour cela. À la place, il commença à amener les cartons portant le nom des enfants dans les chambres qu'ils avaient -enfin !- fini par choisir. Lila avait choisi une chambre petite mais douillette, avec une grande fenêtre rond et un angle de mur arrondi. Clint ne put s'empêcher de se dire qu'en effet, cette chambre avait du chien, que Laura l'aurait appréciée. Un éclair de mélancholie le traversa à cet instant, qu'il regretta tout de suite, car sa fille, en prenant le carton qu'il lui tendait, lui lança un regard soupçonneux. « Tu penses encore à Maman », lui reprocha-t-elle silencieusement, d'un éclat des yeux qu'il connaissait bien. Se sentant coupable, Clint lui fit un petit sourire et repartit chercher d'autres cartons. Une fois toutes les affaires rendues à leurs propriétaires, le salon était quasiment impeccable. Wanda et Steve travaillaient simplement à réaranger l'espace autour du canapé qu'ils avaient finalement décidé de changer de place.
Natasha installait une belle horloge dans un coin de la cuisine, une horloge qui donna à Clint un pincement de coeur. Cette très belle horloge avait été un cadeau de mariage pour son union avec son épouse. Le souvenir lui revint en un éclair, aussi vif qu'il y avait maintenant une quinzaine d'années. C'était le frère de Laura, Math, qui la leur avait offerte. Sa femme, toujours vêtue de sa superbe robe de dentelle blanche, et ses belles boucles brunes répandues sur ses épaules, avait ouvert délicatement une grande boîte en carton gris perle, pour en sortir cette superbe pièce. Math était restaurateur de meubles. Il avait dégoté cette horloge chez un antiquaire, lui trouvant du potentiel. Il l'avait nettoyée, polie, vernie, avait nettoyé, avec l'aide d'un ami horloger, le vieux mécanisme avant de tout remonter. Il avait changé le verre fêlé du cadrant. De tous les cadeaux que les jeunes mariés avaient reçu ce jour-là, cette horloge était celui qui avait le plus touché Laura, Clint le savait, et n'avait pu se résoudre à s'en débarasser, lorsque le temps était venu de quitter la ferme familiale. Il se convainquait irrationnellement, que peut-être dans ce bel objet subsistait quelque chose de l'âme de sa femme défunte. Tout à coup, comme pour lui donner raison, l'horloge commença à chanter douze coups. Clint écouta ce son à la foix profond et aérien qui résonna en lui avec force, sans même saisir ce qu'il signifiait.
« -Ah ! Fit Steve, brisant l'instant magique, c'est l'heure de faire une pause…
-Tu as raison Steve, dit Natasha, nous avons déjà bien avancé ! Allons chercher de quoi manger…
-Si je puis me permettre, ce ne sera pas nécessaire, fit une nouvelle voix à l'entrée, dont la porte était restée ouverte tout ce temps.
-Bucky ! S'exclama Steve.
Un jeune homme un peu pataud entra dans la pièce après avoir reçu l'autorisation de Clint, et s'avança vers lui pour se présenter. Clint eut l'impression qu'il avait passé sa matinée à serrer des mains. C'était un homme assez grand, un peu moins que son compagnon, portant longs ses cheveux brun, avec un sourire d'ange. Il portait deux sacs portant les inscriptions du restaurant chinois que Clint avait aperçu au coin de la rue.
« -Je rentrais à la maison tout à l'heure, vers 11h30, et je vous ai tous vu en plein rangement, s'expliqua Bucky, je me suis dit qu'après tout ces efforts, vous auriez peut-être faim. Il y a un peu de tout…
-Wow...merci Bucky, fit Clint, de plus en plus surpris par la serviabilité de ses nouveaux voisins.
-Installons-nous alors, proposa Natasha. Steve, aide-moi, veux-tu ? Cette table peut encore s'allonger.
Pendant que Clint, Bucky, Natasha et Steve s'appliquaient à mettre en place leur déjeuner, Wanda appela les enfants. Ce repas fut un des plus amusants auxquels Clint avait participé. On parlait de tout et de rien, on faisait des plaisanteries, on sortait les pires âneries qui faisaient hurler de rire Clint et Steve et, tous deux ayant un rire communicatif, la tablée finissait hilare. Clint profita de ce repas pour en apprendre plus sur ses nouveaux voisins. Il apprit que Steve et Bucky avaient été les premiers à débarquer à cet étage. Ils avaient longtemps vécu à Washington D.C., mais avaient depuis longtemps ressenti le besoin de rentrer dans leur quartier natal. Un jour, ils avaient finalement sauté le pas, et avaient trouvé ce bel immeuble refait à neuf, qui n'attendait plus qu'eux. Cela faisait deux ans qu'ils étaient là.
« -Quel âge as-tu, Wanda ? Demanda Natasha.
-23 ans, répondit la jeune femme entre deux bouchées de nouilles.
-Tu es à l'université ?
-Oui...je fais des études de psychanalyse, sourit Wanda.
-Elle est brillante ! Renchérit fièrement Steve.
-Tu exagères Steve, rit Wanda, je suis intéressée et du coup j'y mets du mien, c'est tout. J'avais commencé dans mon pays natal, poursuivit-elle à l'intention de Natasha, mais Pietro -mon frère- et moi sommes venus aux Etats-Unis, j'ai du arrêter, et j'ai finis par reprendre, il y a un peu moins d'un an. Depuis que nous sommes arrivés ici, en fait.
-D'où venez-vous ?
-De Sokovie. C'est un tout petit pays à la frontière de la Russie, que Poutine menace d'envahir. N'y allez pas, vous n'y veriez rien d'intéressant. C'est un pays triste et pauvre.
-Je me disais bien que tu avais un accent, dit Clint avec un sourire. À peine détectable, mais bien présent.
-Si tu entendais mon frère, rit Wanda, lui a vraiment un accent slave très prononcé.
-C'est vrai, renchérit Bucky.
-Et ton frère, justement, que fait-il ?
-Il s'entraîne afin de devenir sportif professionnel. Il cherche un coach, mais personne ne veut le prendre pour l'instant.
-Pourquoi ça ?
-Il doit d'abord valider une sorte de diplôme sportif à l'université avant de s'engager comme professionnel.
-On lui a expliqué des centaines de fois, soupira Steve, mais ce gosse est une tête de pioche.
-Il est...disons qu'il ne tient pas en place...s'il pouvait ne faire que courir, il le ferait…
-Il refuse de s'inscrire à l'université ?
-Non non, il y est inscrit, mais il y va un peu comme ça lui chante...il n'est pas très sérieux…
-Bah, fit Clint, il faut bien que jeunesse se passe.
Natasha sourit. Elle sentait Clint se détendre de minute en minute en présence de Steve, Bucky et Wanda. L'ancien militaire semblait se faire tout doucement à l'idée que la vie à Brooklyn ne serait peut-être pas si terrible. En outre, elle-même était rassurée de voir Clint aussi bien entouré. Elle savait que, si son ami avait besoin de la moindre aide, il y aurait du monde pour le soutenir, et cela lui faisait vraiment plaisir. Bien sûr, le chemin était encore long pour adopter cette nouvelle maison comme la sienne, mais elle avait bon espoir que le temps fasse son œuvre.