Petit texte inspiré d'une chanson magnifique "Exil" de Kaponz et Spinosa, les paroles sont en italiques.
Disclamer : Tout est à JKR, Kaponz et Spinosa.
Et chaque matin que je me lève
Et me penche sur toi
Une goutte de rosée à tes lèvres
Un rayon au bout de tes doigts
J'arrive à lire dans tes rêves
Et tu penses pareil que moi.
.
Mon plus grand bonheur au réveil, découvrir ton visage endormi,
Ta bouche esquissant un sourire.
Heureuse inconscience de ma présence près de toi.
Ta peau dorée par le soleil imprégnant la chambre,
Mes mains faisant frissonner ton corps,
Tes yeux papillonnants qui cherchent les miens.
.
Un exil
Un exil
Loin ... loin de là.
.
Je voudrais partir, te kidnapper,
Loin de cette guerre
Mais tu ne voudrais jamais.
.
Et je le jure sur le soleil
Qui se lève au dessus des toits
Qu'on s'en ira ...
Qu'on s'en ira, loin de là, oui crois moi.
.
Fuir par lâcheté
Mais ne pas fuir sans toi.
Je voudrais te tenir dans mes bras,
Ailleurs ou là-bas.
.
Oooh mon égérie
Quittons ce bitume
Qui nous rend gris
Nous abrutis et salit nos plumes.
.
Toi, la plus incroyable des sorcières,
Je veux te voir épanouie.
Libérée de cette noirceur,
Qui te brise et te consume.
.
Oooh toutes ces prairies
Si près d'où je viens, si loin d'où je suis
Si loin d'où je suis, si près d'où je viens.
.
Fermes les yeux,
Tiens ma main,
Fais moi confiance et suis moi.
.
Et chaque soir que je m'endors
Et te serre contre moi
J'observe les courbes de ton corps
Me rappelant les dunes d'autrefois
Peu à petit le songe s'évapore
Et tu penses pareil que moi.
.
M'endormir à tes côtés,
T'admirer à en crever.
Embrasser ta peau,
Rêver un peu encore.
Mais ce n'est que ça,
L'irréalité.
.
Un exil
Un exil
Loin ... loin de là.
.
Je voudrais partir, te kidnapper,
Loin de cette guerre,
Mais tu ne voudrais jamais.
.
Et je le jure sur les étoiles
Qui brillent au dessus des toits
Qu'on s'en ira ...
Qu'on s'en ira, loin de là, oui crois moi.
.
Fuir par lâcheté
Mais ne pas fuir sans toi.
Je voudrais te tenir dans mes bras,
Ailleurs ou là-bas.
.
Oooh mon égérie
Quittons ce bitume
Qui nous rend gris
Nous abrutis et salit nos plumes.
.
Toi, la plus incroyable des sorcières,
Je veux te voir épanouie.
Libérée de cette noirceur,
Qui te brise et te consume.
.
Oooh toutes ces prairies
Si près d'où je viens, si loin d'où je suis
Si loin d'où je suis, si près d'où je viens.
.
Fermes les yeux,
Tiens ma main,
Fais moi confiance et suis moi.
.
Et chaque matin que je me lève
Et me penche sur toi
Une goutte de rosée à tes lèvres
Un rayon au bout de tes doigts
J'arrive à lire dans tes rêves
Et tu penses pareil que moi.
.
Chaque jour, chaque nuit,
Je pense et j'espère,
Je te regarde et je te désire.
Je nous vois ensemble,
Jeunes, adultes, vieux,
Amants, Amoureux et Parents.
.
" Drago, il n'est jamais bon de regarder trop longtemps le miroir du Risèd, certains s'y sont perdus."
