Hey !

J'ai enfin fait ma première traduction. Le texte original 'Soaring'' est de ''The Horseman's hunting song'' et je vous invite à allez le lire.

J'ai fait de mon mieux pour transcrire les terme anglais, j'espère ne pas avoir fait trop de faute.

Ma correctrice habituelle à beaucoup de travail mais dans les prochaines semaine je vous posterais la version corrigée.

Disclamer : Les personnage de TUA ne sont pas à moi, ni le texte original, je ne possède que la traduction.

Sur ce Bonne lecture et pensez à mettre un reviews si ça vous à plu.


Comme toujours, les autres veulent partir avant lui.

L'air est électrique, électrique de tant de personnes, de tant de bruit. Klaus s'en délecte. C'est le seul genre de silence qu'il peut avoir. Quand tout est tellement bruyant que les voix ne peuvent pas passer dessus. Mais les autres font les sourds à ce sujet, comme d'habitude.

Vanya n'aime pas le magasin de donut, ça lui rappelle trop Numéro Cinq.

Luther n'aime pas se faufiler à l'extérieur, pourtant Père ne peut pas être au courant.

Diego n'aime pas Luther.

Allison n'aime honnêtement aucun d'entre eux. Pourquoi ne pas rentrer à la maison dès maintenant ? Comme si elle n'était pas déjà entrain de se lever pour prendre le même chemin que Luther.

Et puis ils sont épuisés et diviser, surtout depuis ce qui est arriver à Ben; voir depuis la disparition de Numéro Cinq.

De plus, c'est effroyablement facile de rester en arrière-plan et de ne manquer à personne alors qu'ils ont déjà perdu deux frères.

Il mange quelque donuts de plus, mais ce n'est pas pareil sans l'esprit de compétition. Il bouge la tête au rythme de la musique mais ce n'est pas leur chanson.

Il déteste à quel point c'est silencieux sans les quatre autres de la fratrie. Il peut entendre les voix, juste des murmures pour le moment ; comme de longs doigts fins qui s'approchent de lui, déterminer à la faire suffoquer avec leurs demandes.

Il sort.

Peut-être qu'il va les suivre jusqu'à la maison. Il y a quelque chose d'excitant à sortir sans permission, passer par les fenêtres ouvertes, se faufiler dans les angles morts de Maman et Pogo.

Mais il y a deux hommes qui fument dehors, appuyer contre un coin du magasin de Donut; et soudainement il pense : Pourquoi pas ?

Il n'y a personne pour l'arrêter. Vit un peu.

Il connaît les deux hommes, un des deux pense même qu'il est mignon.

Il arrive à parler à presque tout le monde de presque tout. Ils lui offrent sur un joint.

Une heure plus tard, il est plus haut qu'un cerf-volant.

Non, plus haut que ça.

Plus haut que Luther si Père arrive à achever son plan fou de l'amener sur la lune.

Et tout est assourdissement, glorieusement, silencieux.


Maman est celle qui le trouve le lendemain matin, le réveillant en le soulevant du sol en une sorte de câlin.

« Oh, Klaus, nous étions mort d'inquiétude. »

Ils l'avaient cherchés toute la nuit et Père était furieux. Il savait maintenant qu'ils étaient sorties. Et avec toute la fratrie, il avait dû retracer ses mouvements pour savoir par où commencer.

Klaus s'était endormi défoncé, sans protection et seul dans un égout; mais tellement, tellement heureux d'avoir été seul un jour dans sa vie.

Une fois la punition passée, Klaus était complètement sobre. Et épuiser, et douloureux de la tête aux pieds. Il tombe tête la première sur son lit.

Alors Ben le rejoint. Assis au bord de son lit, vêtu de son uniforme de l'académie; son visage affichant un air contrarié.

'' Tu étais comme les autres. ''

'' Tu ne pouvais pas m'entendre. ''

Son coeur de rate un battement.

Comme les autres : Stupéfait, extatique.

'' Je n'ai pas aimé. ''

La tête enfouie dans son oreiller, Klaus murmure :

'' Moi, oui. ''