je ne suis que l'humble traducteur de la fiction de 4theluvofMary, voici le lien de la fic en VO .net/s/4400984/20/Private_Tutor.

soyez indulgents ceci n'est que ma première traduction ! j'attends vos reviews avec impatience ! n'hésitez pas à faire des remarques !!


« je peux le faire… je peux le faire… je peux le faire.. »Mes murmures absurdes commençaient à sonner de plus en plus comme un moteur ces derniers jours.

« je peux le faire…je peux le faire » A qui essayais-je de faire croire ça ? je ne peux pas le faire. Qu'est-ce qui m'avais poussé à postuler pour l'université de Northwestern de toute manière ? Et à quoi pensaient-ils quand ils m'avaient acceptée ? Je veux dire, c'est sure que j'avais des notes décentes, mais rien de spectaculaire. Je n'ai même jamais fait d'activités extrascolaires pendant le lycée. Peut-être que c'était l'essai. Etait-il si bon ?

J'ai vraiment besoin d'arrêter ça. Pas une seconde de plus à m'interroger. Je me l'étais promis. Une nouvelle année, une nouvelle école, un nouveau départ. Ce qui me ramenait à ce pourquoi j'avais postulé à Northwestern en premier lieu. J'avais besoin de ça. Alors que je fixais mon reflet dans le miroir, je me récitais mentalement les raisons pour lesquelles j'allais à Northestern.

- C'était une université reconnu avec un master émergeant en écriture créative.

- J'avais de la famille dans le coin au cas où la maison me manquait.

- C'était loin de Phoenix. Partir loin de cet endroit signifierait, je l'espère, partir loin d emes « connaissances ». Personne ici à part ma mère ne me manquerait vraiment.

- Northestern a un campus à Chicago et Evanston. Et ainsi j'avais choisi ce dernier. Chicago ne serait pas si loin. J'étais excitée à l'idée d'être si près d'une si grande ville.

Je sais que c'est ridicule, mais peut-être que je correspondrais mieux à Chicago. Je ne correspondais absolument pas au type de la fille de Phoenix. J'étais pâle, blafarde selon moi. Même si j'étais exposée au soleil, je ne bronzais pas. De plus, mes cheveux marron ternes indisciplinée étaient ennuyeux. Ni tout à fait raides, ni tout à fait bouclés. Je les attachais la plupart du temps en un chignon informe par facilité. J'avais même des yeux marrons ternes pour aller avec les cheveux. Ensuite il y avait le style. Je ne pourrais juste jamais envisager de dépenser de l'argent dans des vêtements, et je ne pouvais pas me le permettre. Il n'y avait que Renée et moi après tout.

Renée, ma mère, c'était une autre histoire. Nous partagions quelques traits communs, mais elle était tellement plus vibrante et désireuse d'expérimenter la vie, qu'elle était toujours plus attractive que moi. Depuis qu'elle avait commencé à sortir avec Phil, son enthousiasme avait même augmenté, décuplé. Je suposse que sortir avec un homme plus jeune rend comme ça.

« Bella ! tu as bientôt fini ? Charlie sera là dans une minute. On ne veut pas le faire attendre, non ? Renée me criait quelque chose de l'autre bout de la maison, chose que je ne supportais pas.

Le sens des responsabilités de renée ne me trompait pas. Je savais que son anxiété était due au sentiment qu'elle avait de me perdre. Depuis qu'elle avait quitté Charlie alors que j'était encore un bébé, nous avions toujours été ensembles. Nous étions plus sœurs que mère et fille, and j'était très certainement la grande sœur dans cette relation.

« Bella, tu m'as entendu ? »

Oups. J'ai oublié à quel point mes monologues intérieurs pouvaient enlever tout sens aux conversations normales.

« oui maman, j'ai fini. Je vais commencer à emmener mes affaires devant la maison ». Je déteste crier à travers la maison.

Si il n'y avait pas pour Phil, j'aurais probablement échoué dans une université locale, souffrant intérieurement, et ainsi de suite. Parce ma mère avait besoin de moi, ou au moins de quelqu'un pour l'aider à s'occuper des tâches courante dans la vie. Vous savez celles-ci, ces choses triviales comme payer les factures, nettoyer la maisons, aller faire les courses. Mais Phil a été super pour elle. Il l'aime et s'occupe d'elle, ce qui m'a aidé à me sentir libre de déménager à l'autre bout du pays. De plus, ils allaient emménager ensembles et je ne ressentais pas du tout le besoin d'être dans les alentours pour la pseudo séquence lune de miel de leur romance.

« bien, je suppose que c'est le dernier. »Au moment où je parlai, Charlie s'engageait dans l'allée. « maman ! Je croyais que tu lui avais fait promettre de ne pas emmener la voiture de patrouille ! » Ma tête se tinta d'un rouge peu subtil alors que j'imaginai la route d'ici à Evanston dans une voiture de patrouille.

Charlie, le chef de la police de Forks, dans l'Etat de de Washington, avait insisté pour m'emmener lui-même à Evanston, plaidant le besoin d'un moment père/fille avant que sa « petite fille devienne une femme ». Quand j'avais protesté en déclarant que j'avais à peine assez de bagages pour avoir besoin d'aide (j'aurais aisément pu prendre l'avion), ma mère m'avait surprise avec toutes les nouvelles fournitures et accessoire dont j'aurais besoin pour vivre à l'université. Je détestai qu'on dépense de l'argent pour moi, même mes parents. De plus, Charlie ressentait plus qu'un besoin de m'emmener à l'université.

« bien chérie, » elle semblait plutôt énervée maintenant, « il n'a probablement pas pu trouver une autre voiture pour t'emmener… et… bien » Elle inspira rapidement après avaoir lâché cela.

Je ne pouvais tout simplement pas me battre avec elle sachant que je ne la verrai pas jusqu'à Noël.

« ok maman. Je comprends. Mais peut-être que la prochaine fois, un petit avertissement ? »

« oui chérie »

J'entendis un « toc, toc » et vis Charlie ouvrir doucement la porte d'entrée. Il pencha se tête et cria, « je suis ici » comme pour nous alerter de sa présence.

« Nous sommes ici Charlie » Renée répondit de notre petit living room.

Un léger sourire commença à se former sur mes lèvres. Même si je n'avais pas vu Charlie aussi souvent que je l'aurais voulut, je l'aimais. Nous étions des âmes sœurs. J'avais définitivement hérité de sa réserve, ses yeux, et de cette stupide masse de cheveux. Nous n'avions pas besoin de parler beaucoup pour exprimer nos sentiments. Donc, quand il me donna ce regard, je savais ce qu'il avait prévu de dire.

« c'est bon, papa. Je sais que toi et maman avez décidé d'utiliser cette voiture de patrouille pour mon bénéfice. Pourquoi ne pas se mettre en chemin au lieu de trainer plus ? »

« bien sure Bella, ce serait bien. »

« Oh Bella, ma chérie, tu vas tellement me manquer. Je t'appellerai tous les jours et t'enverrai un mail tous les soirs et. .. » Avec cela, elle se jeta dans mes bras, m'entrainant dans un câlin. Je savais mieux que personne quoi attendre ce ses mails et ses appels tous les jours. Elle était tellement accaparée par Phil, qu'elle avait difficilement du temps pour quoi que ce soit d'autre. De plus, je n'avais pas besoin qu'elle fasse cela. J'essayais de recommencer à zéro. C'est très dur de faire cela avec une mère surprotectrice.

15 minutes plus tard et nous étions sur la route. Juste moi, Charlie et assez de silence pour être perdue dans les possibilités que cette année apporterait.