Bonjour à tous, bonsoir ! Tout d'abord, je tiens à vous avertir : ceci est un lemon hardcore. Il n'y a pas vraiment d'histoire, juste un lemon et son contexte. Et c'est un lemon particulier puisqu'il s'agit d'un VIOL.

Alors comme vous l'avez peut-être remarqué (ou pas), j'aime faire souffrir mes persos adorés. Mais là, ça va carrément loin. Me demandez pas pourquoi j'ai écrit ça, moi même je ne le sais pas (l'alcool ? la dépression ? lol). Bref, cet OS peut s'avérer dur à lire, surtout étant du point de vue de la victime. Ainsi si vous ne supportez pas ce genre de scène, je vous conseille vivement de faire demi-tour.

Pour ce qui est du pairing, il s'agit de Draco à 17 ou 18 ans avec un Voldemort qui a retrouvé son apparence de tout diplômé de Poudlard, mais à l'esprit encore très tordu comme vous pourrez le constater.

Je m'excuse dors et déjà pour ce qui va suivre et vous laisse à la lecture si le coeur vous en dit...


Ma respiration était saccadée. J'avais peur, j'étais mal, mais je ne bougeais pas. Alors je le sentis entrer en moi, forçant le passage comme pour une première fois. Excepté que ce n'était pas la première fois. Je le sentis remuer et vibrer en moi, dilatant mon anus pour y faire son chemin, sans se préoccuper de ma douleur. Mais dans mon malheur, je fus chanceux : ce soir-là, il y allait doucement, prenant son temps pour me pénétrer. Alors, pour essayer de ne pas me focaliser sur la douleur qui m'étreignait, je pensais à autre chose.

Je détournai mon regard vers le plafond. Il n'y avait pas grand chose à observer en cette nuit de pleine lune. La pleine lune... Je ne pus m'empêcher de revoir le visage de notre ancien professeur, Remus Lupin, qui s'était avéré être un loup-garou. Il avait l'air gentil, tout de même. À cet instant, je me dis que bien des choses auraient pu être différentes si je n'avais pas essayé de le faire tomber, peut-être même qu'il aurait pu m'aider...

Un coup de butoir me ramena à la réalité et la douleur revint avec plus de force tandis mon amant s'enfonçait en moi sans ménagement. C'était devenu presque courant que Tom se réveille en pleine nuit pour venir assouvir ses besoins sexuels. Au tout début, lorsqu'il avait repris forme humaine mais ô combien laide, seule Bellatrix avait accepté de se plier à ses demandes, amoureuse transite qu'elle était. Mais quand il avait conquis à nouveau sa jeunesse et beauté perdues, tous les Mangemorts s'étaient empressés de s'offrir à lui. Bien sûr, dans son orgueil, il ne s'était pas contenté des vieux croutons que comptaient nos rangs. Il avait d'abord tapé dans le haut du panier avec mon père qui s'était offert pour protéger ma mère. Puis Tom avait dit se sentir trop jeune par rapport à lui : il voulait dominer. C'est naturellement qu'il s'est alors tourné vers moi, jeune adolescent en fleur de l'âge aux cheveux blonds.

« Ah ! » cria-t-il alors que sa verge tapa le fond de mon trou. « Draco putain, t'es tellement serré... » souffla-t-il, remarquant chez moi ce qui lui procurait le plus de plaisir.

Je sentis en effet mes chairs se refermer autour de son sex, par réflexe sans doute. Des larmes perlèrent au coin de mes yeux – elles ne tarderaient pas à couler. Alors Tom enchaîna des coups de butoir, prenant plus de plaisir à chaque fois. Sa respiration saccadée venait emplir mes oreilles, m'empêchant de penser à quoi que ce soit d'autre. Ce soir, si j'avais cru la chance de mon côté au départ, je me rendis rapidement compte que je m'étais trompé : Tom me prenait désormais à un rythme effréné que mon corps peinait à suivre.

Ses mains remontèrent sur moi et caressèrent mon cou du peu de délicatesse que cet être abject pouvait faire preuve. Ses lèvres se collèrent à ma joue. Et je sus alors que c'en était fini de moi pour ce soir. Car en ce moment-même, les yeux fermés, il prenait tant de plaisir qu'il aurait été capable de me tuer si je me refusais à lui. Ce que, de toute façon, j'étais trop apeuré pour faire. J'avais une famille à protéger, et c'est tout ce qui importait.

Son sex me laboura le derrière de longues minutes, à tel point que la douleur laissa un peu de sa place au plaisir. Mon corps finit, comme toujours, par réagir à la stimulation. Mais si je n'avais pas bandé, Tom aurait-il arrêté de me violer presque chaque soir ? Rien n'était moins sûr. Quoi qu'il en soit, j'avais mal et je prenais du plaisir dans le même temps, ce qui s'avérait être encore plus douloureux, surtout une fois la partie finie.

D'un coup, Tom ralentit son rythme afin de reprendre son souffle. Voyant que je bandais et mouillais, il descendit sa main afin d'attraper mon sex.

« Ça t'excite d'être ma chose ? »

Je n'eus pas la force de répondre. Alors il pressa sur ma queue et commença de petits mouvements de va et vient, sans cesser de me pénétrer le derrière. Malgré moi, un gémissement s'échappa de ma bouche. Il était doué de ses mains, ça, je ne pouvais le nier. Il continua son manège de longues secondes, appréciant que mon plaisir fasse se contracter mon cul : il prenait son pied par la même occasion. Il allait au ralenti afin de bien sentir les mouvements de mes chairs sur sa propre verge.

Puis, lassé de ce petit jeu, Tom lâcha mon sex et reprit son travail de pénétration avec plus d'intensité encore. Il me pilonna jusqu'à la garde sans me laisser un instant de répit. Je sentais sa verge taper le fond de mon trou à chaque fois, déclenchant un minuscule éclair de plaisir pour un maximum de douleur. Alors je ne pus plus me retenir et commençai à gémir à chaque coup, les larmes coulant déjà sur mes joues rosies.

De longues minutes passèrent encore dans cette brutale chevauchée. Il me laboura le derrière une bonne heure avant d'accélérer son rythme pour le dernier assaut. Il arrêta un instant pour se remettre bien sur ses genoux, se mit bien entre mes jambes relevées et reprit sa montée pour la dernière fois. Ses coups étaient brutaux et profonds, me faisant crier presque à chaque fois. Il semblait prendre plaisir à m'entendre pleurer. Les coups s'enchaînèrent, puissants. Puis, soudain, la libération. Son sex gonfla en moi, à tel point que je pus le sentir déchirer un peu mes chairs. Un coup, et il se déversa. Son sperme chaud se répandit dans mon cul, et il donna un autre coup. Le liquide poisseux continua d'arriver en moi un peu plus à chaque coup.

Puis, libéré de tout son plaisir, Tom s'étala sur moi comme il était. Son corps écrasa le mien de tout son poids. Sa respiration vint chatouiller mon oreille. Je le sentis donner quelques léger coups supplémentaires afin de prolonger le plaisir. Quelques longues secondes passèrent, puis Tom reprit assez de force pour se relever. Sa verge glissa jusqu'à la sortie de mon anus et je le sentis quitter définitivement mon trou. Mais en se relevant, il garda mes jambes levées afin de voir le liquide gluant s'échapper de mon trou. D'une main, il en remit quelques gouttes à l'intérieur, en profitant pour pénétrer, de ses doigts cette fois, mon trou une dernière fois. Je gémis pour son plus grand plaisir. J'étais épuisé. Alors il sortit ses doigts pleins de sperme et les porta à ma bouche. Trop fatigué pour refuser, j'ouvris la bouche et il me fit lécher son propre sperme, jouant avec ma langue.

Alors que je crus que c'en était fini, il prit en main mon sex et me branla. Il ne lui fallut que quelques secondes pour me faire jouir, tant le plaisir était décuplé par l'absence de douleur. Mais, alors que mon sperme était désormais répandu sur mon ventre, il continua à me masturber quelques secondes. C'était là le signe que ce n'était pas terminé.

« Ça ne te gêne pas si Fenrir vient aussi prendre son pied un peu ? Je suis d'humeur généreuse ce soir, je partage mes jouets. »

Avais-je seulement le choix ? Alors que Tom quittait ma couche, je le vis ouvrir la porte à un homme-loup. L'avantage de Fenrir était que, comme il ne se contenait jamais, il n'était pas incontrôlable les nuits de pleine lune. Aussi pouvait-il répondre à quelques ordres simples de Tom, comme celui de ne pas manger d'humains. Mais les loups-garous n'avaient pas qu'un appétit anthropophage : ils avaient aussi un appétit sexuel. Et Fenrir allait combler le sien avec moi, comme le lui avait sûrement promis Tom.

Dans une vision assez trouble, je vis le loup-garou s'avancer vers moi. Et alors que ses mains griffues me retournaient, je me sentis perdre connaissance. La dernière sensation que j'eus fut celle du sex démesuré de Fenrir me pénétrer sans ménagement.


Je sais même pas si je veux des commentaires en fait x) mais si vous le souhaitez allez-y, lâchez-vous, insultez-moi, je le mérite... mdr

Bref, j'espère que ce bon gros angst vous a quand même plu !

A la prochaine avec de nouveaux écrits sans lemon !