Bonjour ! Voici le premier chapitre de Comme un gâteau, je ne suis pas encore tout à fait sûr de ce qu'il va se passer, mais je sais que ça seras une fic courte – 4 chapitres au maximum, je pense. Pourquoi cette fic s'appelle comme ça ? Vous aurez la réponse dans les chapitres suivants.

Bon, je vous préviens, cette fic mérite d'être classée R, vous vous en apercevrez dès ce chapitre, et j'espère que vous aimerez ça. Je voudrais vous prévenir aussi que ce chapitre met en scène une relation incestueuse entre Ron et Ginny, mais si cela vous dérange vous pouvez vous plaindre, je me ferais une joie de vous répondre.

Assez de blabla, apprêtez-vous à découvrir un Harry pervers, une Hermione allumeuse, un Ron très très proche de sa sœur et une Ginny exhibitionniste. Mais que viens faire l'amour là-dedans ?

Comme un gâteau.

1. Ca me manque.

Hermione entendit la porte s'ouvrir derrière elle dans le grincement typique des vieilles portes de bois qui n'ont pas été entretenues depuis un bon bout de temps. Elle n'eut pas besoin de se retourner pour deviner qui venait d'entrer dans la pièce. Qui d'autre que ses deux meilleurs amis pouvait pénétrer dans la chambre d'une jeune fille pendant qu'elle se change sans avoir la décence de frapper ?

« Regarde-ça, Harry, on tombe vraiment à pic ! »

Réaction obligatoire pour un membre de la gent masculine. Hermione s'était déjà habituée au caractère vicieux qui s'était développé chez Ron et Harry depuis quelques temps. Après tout, ils étaient des garçons comme les autres et n'avaient donc pas pu échapper à la malédiction de l'adolescence - à cette chose qu'on appelait « grandir » mais qui faisait régresser en âge mental. Enfin bon, ça ne les empêchait pas d'être adorables…

« Continue Hermione, ça ne nous dérange pas » dit Harry en s'asseyant sur le lit d'Hermione.

« Je m'en doute bien » dit Hermione, un sourire au coin des lèvres.

« Pourquoi tu te cache ? » demanda Ron avec un faux air surpris dans voix, « Nous sommes amis non ? Les amis ne doivent rien se cacher. »

Hermione soupira. Décidément rien ne pourrait les faire changer. Oui elle se cachait - au moment où les garçons étaient entrés dans la chambre, elle venait d'enlever son soutien-gorge et se voyait donc contrainte de se cacher la poitrine de son bras droit. Elle se trouvait torse-nu, seule dans une pièce avec deux ados un tantinet portés sur la « chose. » Mais elle ne se sentait pas menacée, ni même gênée - elle savait que Ron et Harry ne feraient jamais rien de mauvais à son égard, ils s'amusaient, et elle aussi. Elle se plaisait à ne leur montrer que de quoi provoquer une légère étincelle d'excitation chez-eux. Libre à eux de le développer pour le transformer en fantasme lors de leurs séances de masturbation qui, elle s'en doutait, devaient être fréquentes.

« Bon » soupira-t-elle, « si vous ne sortez pas je ne pourrais pas mettre mon soutien-gorge ! »

« Vas-y, met-le ! » dit Ron. « Ca ne nous dérange pas que tu le mettes devant nous. N'est-ce pas Harry ? »

« Naaaan, pas le moins du monde » répondit l'interpellé.

« Où alors n'en met pas. » poursuivit Ron.

Bien. Après tout pourquoi pas ? Hermione se dirigea vers sa valise et, bien qu'elle eut du mal à tout faire avec la main gauche, elle réussit à l'ouvrir et à en sortir un T-shirt blanc. Elle aurait pu le mettre en leur tournant le dos, mais elle préférait « s'amuser. » Elle se tourna vers eux et enfila son T-shirt rapidement. Elle avait fait en sorte qu'ils puissent profiter de la vue de sa poitrine durant une petite seconde environ – de quoi provoquer « l'étincelle. »

Ils avaient l'air satisfaits. Ron s'approcha d'elle, la contourna, et la saisit par derrière, lui entourant la taille de ses bras. Elle posa automatiquement ses mains dessus, pour l'empêcher de les « promener » à son aise.

Elle ne voyait aucun signe particulier dans cette étreinte. Ron et Harry l'avaient souvent prise dans leurs bras. Et elle savait que cela ne représentait rien d'autre pour eux qu'une étreinte protectrice – pour lui faire comprendre qu'elle était une sorte de petite sœur. Et c'était très bien comme ça. Ou non ?

« Hermione » murmura Ron à son oreille, « on t'a déjà dit qu'on te trouvait superbe, moi et Harry ? »

« Vous me l'avez déjà laissé entendre plusieurs fois. » répondit-elle en souriant malicieusement à Harry, qui était encore assis sur son lit.

Elle se dégagea des bras de Ron, se tourna vers lui, puis ajouta :

« En fait, vous me le laissez entendre chaque fois que vous entrez dans ma chambre pour profiter de ma nudité. »

« Nous ? On n'a jamais fait ça. C'est un hasard si à chaque fois que moi et Harry on rentre dans ta chambre tu es à moitié nue. »

Hermione lui déposa un baiser entre les lèvres et la joue. Puis elle se tourna vers Harry et lui tendis la main.

« Allez, viens ! » dit-elle, « on va prendre notre p'tit-dèj ! »

« On voit tes tétons, Hermione » répondit Harry.

Hermione soupira et sortit de la chambre. Non, rien ne les changerait.

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Ginny entendit des bruits de pas dans l'escalier. Il était temps ! Cela faisait plusieurs minutes qu'elle avait envoyé Ron et Harry chercher Hermione le temps qu'elle finisse de préparer le petit-déjeuner. Elle se retourna pour faire face à Hermione, qui affichait une mine satisfaite.

« Ca va ? » lui demanda Hermione.

« Oui » répondit Ginny, « Assieds-toi je te sers dans une minute. Où sont Ron et Harry ? »

« Ils arrivent. Ils se remettent de leurs émotions… »

Ginny sourit. Cette Hermione ! Elle ne pouvait s'empêcher de rendre fous les garçons. Enfin, pas tous les garçons, juste Ron et Harry. Elle lui avait d'ailleurs transmis cette manie – Ginny considérait Hermione comme un « modèle », en plus d'amie. Mais elle ne se contentait pas de l'imiter, elle aimait la surpasser – elle n'avait jamais réussi sur le plan des études, et ce n'était pas faute d'avoir essayé -, aussi, depuis le début des vacances, elle avait pris un malin plaisir à se balader dans des tenues plus que légères. Elle se souvenait de cette fois où elle était même sortie de la salle de bain entièrement nue pour se rendre dans sa chambre. Le chemin à parcourir n'était pas long, il n'y avait pratiquement aucune chance pour qu'elle tombe sur quelqu'un, mais le hasard avait voulu que Ron sorte de sa chambre à ce moment là. Elle se demandait ce qu'il avait pensé en voyant ainsi sa « petite soeur adorée », mais elle se souvenait bien d'avoir sentit son regard se perdre dans la fine toison rousse entre ses jambes.

Elle prit la poêle dans laquelle elle avait fait cuire ses oeufs et s'approcha de la table pour servir Hermione. Celle-ci sembla soudainement émerger de profondes pensées.

« Excuses-moi, Ginny ! » s'exclama-t-elle, « je te laisse travailler et je ne te proposes même pas de l'aide ! »

« C'est bon, Hermione. Mes parents m'ont confié la maison, je m'en occupe. Toi et Harry, vous êtes nos invités, à moi et Ron, et il n'est pas question qu'on vous laisse vous occuper des tâches ménagères ! Je te l'ai déjà dit en plus. »

« Oui mais- »

« Y'a pas de « mais » ! C'est comme ça. Et puis tu aurais du mettre un soutien-gorge, on voit tes tétons. »

« Je sais » dit Hermione en rigolant, « mais ce n'est pas de ma faute. Tu savais que ton frère était un vrai pervers ? »

« Oh, oui, tu ne peux pas savoir à quel point ! »

En effet, elle était la mieux placée pour pouvoir affirmer que Ronald Weasley avait été doté d'un caractère vicieux. Elle avait grandit avec lui. Et qui dit « grandir » dit « découvrir. » Chacun d'eux avait fait la découverte du sexe opposé par l'intermédiaire de l'autre. L'année où Fred et Georges étaient entrés à Poudlard, ils avaient passé la plupart de leurs après-midi à jouer ensemble. Elle se rappelait de toutes les fois où, alors qu'ils jouaient aux Médicomages, il lui avait demandé de se déshabiller – il parcourait ensuite son jeune corps de ses petites mains, en diagnostiquant toutes sortes de maladies imaginaires. Et elle, elle s'amusait souvent à jouer à la méchante géante qui cuisinait son prisonnier. Prisonnier nu, bien évidemment.

Mais tout ceci n'était que des jeux de gamins, des jeux auxquels tous les enfants de cet âge jouaient, en toute innocence. Puis vint le début de l'adolescence. Les premiers grands changements dans leurs corps n'avaient fait qu'attiser leur curiosité. Ils s'étaient souvent adonnés au jeu du « J'te montre ça et tu me montre ça », s'émerveillant du léger duvet qui commençait à recouvrir leur région pubienne, des formes rebondies que prenaient la poitrine de Ginny, des réactions bizarres du sexe de Ron…

Mais depuis l'entrée de Ron à Poudlard, tout ceci avait changé. Il avait rencontré Harry, et Hermione. Son coeur était pris maintenant, elle le savait. Elle regrettait parfois tous ces moments passés avec Ron, mais elle était consciente qu'ils avaient grandi, qu'ils avaient évolués… L'inceste n'était pas aussi mal vu chez les sorciers que chez les moldus, mais ce n'était quand même pas quelque chose de courant – elle n'était pas amoureuse de Ron, elle était juste nostalgique, elle n'allait pas s'empêtrer dans une histoire compliquée pour ça…

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Ron était allongé sur son lit. Il ne savait pas quoi faire. Ils venaient de prendre leur petit-déjeuner, maintenant Hermione prenait sa douche et Harry s'entraînait au Quidditch dans le jardin – il lui avait proposé de se joindre à lui, mais Ron avait refusé. Son balai ne faisait pas le poids contre un Eclair de Feu, ça n'aurait pas été marrant.

Il se pencha sous son lit et en sorti un magazine. Un des magazines qu'il avait trouvés avec Ginny en fouillant dans les affaires de Fred et Georges. Sorscex. Il le feuilleta rapidement, mais cela suffit à provoquer une érection. Il se souvint du moment où il l'avait ouvert pour la première fois. Ginny s'était moqué des positions bizarres que faisaient les sorciers sur les photos. Ils étaient jeunes. Ils avaient grandi. Et bien grandit – il n'avait pas oublié Ginny sortant de sa douche, l'autre soir, ruisselante d'eau, entièrement nue. Elle était devenue une jolie jeune fille.

La porte de sa chambre s'ouvrit brusquement. La tête de Ginny se faufila par l'entrebâillement.

« Je peux rentrer ? »

« Bien sûr. »

Elle referma la porte derrière elle, puis s'approcha de Ron, en le regardant dans les yeux. Il avala bruyamment sa salive. Elle avait fait fort niveau provocation. Pas de doute, elle était belle et bien devenue une jeune femme – les garçons n'avaient plus qu'à bien se tenir !

Ron ne put s'empêcher de scruter ses cuisses fermes et ses fesses rebondies avant qu'elle ne s'asseye sur le lit. Elle ne portait rien d'autre qu'une fine culotte blanche et un débardeur – dur de résister à la tentation, d'autant plus qu'elle les avait enfilés tellement rapidement qu'ils laissaient paraître la moitié de ce qu'ils étaient sensés cacher.

« Je te dérange peut être ? » demanda Ginny en souriant.

« Comment ça ? »

Elle se pencha et saisit le magazine Sorscex, puis l'agita devant le nez de son frère.

« Tu allais te masturber ? »

« Hein ? » Les oreilles de Ron devinrent instantanément rouges. « Mais, non, je- »

Ginny ne lui laissa pas le temps de continuer, elle se jeta sur lui et il tomba à la renverse, sous l'effet de la surprise. Elle passa sa jambe par-dessus les siennes pour se retrouver à quatre pattes au-dessus de lui. Elle posa sa main sur le sexe de Ron, et l'empoigna, pouvant en sentir toute la rigidité à travers le tissu de son pantalon.

« Tu vois, tu bandes déjà. Tu allais te branler. »

Ron ne savait pas quoi répondre. Il ne savait pas comment réagir. Sa soeur se trouvait au-dessus de lui, il pouvait sentir son souffle sur son visage. Il pouvait aussi voir ce sein qui avait quitté son débardeur, et qui pendouillait de manière provocante juste au-dessus de sa tête. Et, plus que tout, il pouvait sentir sa main. Cette main qui lui emprisonnait la virilité il en sentait la chaleur, la douceur. Il se força à ne pas se laisser aller à ressentir du plaisir, ne voulant pas se lâcher dans cette situation.

Finalement, Ginny éclata de rire. Elle s'assit à côté de son frère, qui poussa un soupir de soulagement.

« Tu aurais vu ta tête ! Hilarant ! Tu pensais que j'allais te violer ou quoi ? »

« Presque, oui » répondit Ron, en se redressant pour s'appuyer contre le mur.

Ginny vint se placer entre ses jambes, dos contre son ventre, et appuya sa tête contre son torse. Elle saisit la main de Ron et la posa sur son propre ventre, la faisant se balader entre l'élastique de sa culotte et le bas de son débardeur.

Ron ne pouvait pas s'empêcher de penser à l'érotisme de la situation. Il savait bien que Ginny sentait parfaitement son érection dans son dos. Et ces caresses… le ventre de sa soeur était si doux, si agréable à toucher…

« Ron ? »

« Oui ? »

« Tu es amoureux d'Hermione n'est-ce pas ? »

Alors c'était si voyant que ça ? Il pensait qu'il arrivait à le cacher parfaitement, mais apparemment il se trompait. Bien sûr qu'il aimait Hermione. Depuis longtemps, trop longtemps. Il n'avait jamais eu le courage de le lui dire, peut être par peur de gâcher leur amitié – avec elle, mais aussi avec Harry. Il soupçonnait Harry d'être lui-aussi tombé sous le charme de la belle Gryffondor. Il avait préféré se taire, enfouir son amour au plus profond de lui, le cacher… Mais sa soeur avait deviné. Elle n'était pas sa soeur pour rien.

« Oui » finit-il par répondre.

Oui, il aimait Hermione, mais il ne lui disait pas tout. Il y avait autre chose. Quelque qu'il n'arrivait pas encore à accepter, où même à réaliser.

« Ron ? »

« Hmm ? »

« Tu te souviens ce qu'on faisait quand on étaient petits ? »

« On a fait tellement de choses… »

Bien sûr, il savait de quoi elle voulait parler. Comment oublier ?

« Tu sais très bien de quoi je veux parler. »

Ron ne répondit pas mais Ginny sut qu'il avait très bien compris : son sexe semblait avoir encore augmenté de taille et de volume.

Ginny fit glisser la main de Ron sous l'élastique de sa culotte.

« Ca me manque… » souffla-t-elle.

Ron sentit ses doigts se glisser dans cet endroit interdit, tout d'abord poussé par la main de Ginny, puis de sa propre volonté. Il fit glisser sa main sur les boucles rousses qui se déployaient à l'entrée de l'intimité de sa soeur, comme une barrière protectrice, comme un champ de mines que tout intrus devrait traverser avant de pouvoir accéder au trésor caché. Ses doigts atteignirent ce trésor – la chair humide palpitait sous sa peau. Ginny gémit. Les caresses de son frère se centrèrent sur ses lèvres intimes, ouvertes d'excitation, invitant à l'effraction.

« Ron, vas-y » souffla-t-elle.

Il n'attendit pas plus longtemps. Il franchit les portes de l'intimité de sa soeur, entrant dans un univers humide et chaud. Il remua ses doigts pour s'habituer à cette nouvelle sensation – tout était si serré à l'intérieur. Plus il s'enfonçait profondément, plus les soupirs de sa soeur se faisaient bruyants. Ses allers-retours semblaient lui procurer de plus en plus de plaisir au fur et à mesure qu'ils s'amplifiaient en intensité. Elle tremblait légèrement, et de grosses gouttes de transpiration perlaient à la surface de sa peau. Ron fit monter ses doigts pour rencontrer une fine boule de chair qu'il saisit délicatement entre ses doigts pour jouer, comme un petit chaton avec une pelote de laine. Ginny poussa lors un gémissement plus fort que les autres, et les doigts de Ron se virent submergés par un liquide glissant. Quelques secondes de masturbations suffirent alors pour que Ginny atteigne l'orgasme, pendant lequel elle gémit le nom de son frère si sensuellement que celui-ci crut qu'il ne pourrait pas se retenir d'éjaculer.

Ginny se dégagea de l'étreinte de son frère. Après avoir repris une respiration normale, elle se tourna vers lui. Leurs yeux se rencontrèrent, et Ron ne put distinguer ce qu'exprimaient ceux de sa soeur.

Elle approcha son visage du sien et, sans aucun mot, elle déposa un léger baiser sur ses lèvres. Puis elle quitta la pièce, sans faire attention au visage surpris de Ron.