Voilà une nouvelle fic, surtout basée sur un échange de lettres entre Severus Rogue et Harry Potter... Des lettres remplis de confessions...
Disclaimer: Persos pas à moi, à JK Rowling. Et je me fais pas de tune dessus...
Titre: Confessions
(je sais, le titre est pourri, mais ça veut pas dire que la fic est nulle...
Résumé: Harry Potter et Severus Rogue entamment un échange épistolaire, chargé de confessions, d'un côté et de l'autre, de passé ressurgit et de mission éprouvante...
voilà voilà voilà, bonne lecture...
Severus Rogue était assis à son bureau, une plume à la main. Il avait le parchemin qu'il venait d'écrire davant les yeux mais n'osait l'envoyer. Il devait le faire, il le savait, mais toute sa vie, ou presque, était écrite sur ce bout de papier,et il n'était pas sur de ce que le destinataire en penserait. Il entendit la porte de son bureau grincer, et vit Sirius Black entrer dans son bureau, les joues toujours aussi creusées par sa vie d'évadée, mais un regard déterminé faisait revivre ses yeux ternis par Azkaban.
'Nous devons y aller, Rogue.' chuchota Sirius. Il avait remarqué que son 'ancien' ennemi avait un air triste, et ne voulait pas le brusquer. 'Notre mission nous attend. Et plus vite elle sera faite, mieux ce sera. Les temps sont durs, tu sais.'
'Je sais Black, je sais... Mais s'il te plais, laisse-moi envoyer cette lettre, il le faut.'
C'était décider, il allait envoyer cette lettre, il le devait, et il savait qu'il allait surement mourir bientôt.
Severus Rogue ce leva, appela son hibou, un grand-duc au pelage très foncé. Il lui accrocha la lettre à sa patte et lui chuchota:
'Ne perds pas cette lettre, s'il te plais, Harès, c'est d'une très grand importance.'
L'oiseau s'envola par la fenêtre, et disparu vite parmis les étoiles de cette nuit de juillet. Le professeur vit Sirius Black s'en aller, et le suivit silencieusement parmis les couloirs de Poudlard. Ils sortirent ensuite et se dirigèrent vers Pré-Au-Lard. Ils savaient tout deux où ils allaient, et aucun mot inutile ne brisait le silence de cette nuit magique. Arrivés au village sorcier, tout deux transplanèrent en même temps, tout deux disparurent en même temps, pour arriver au même endroit.
A... beaucoup de km de là, au 4 Privet Drive, Little Surrey...
Harry était assis à son bureau, une pluma à la main. Il avait le parchemin qu'il venait d'écrire sous les yeux mais n'était pas sur de ce qu'il avait écrit. Il n'avait jamais vu un devoir de potion aussi difficile, et il se relut plusieurs fois avant de décider d'abandonner. La nuit était bien avancée, les étoiles brillaient doucement, et Harry se sentit plus fatigué que jamais. Il entendit son oncle se retourner dans son lit, en parlant dans son sommeil. Harry s'alongea sur son lit et ferma les yeux. Il était fatigué, si fatigué, mais chaque fois qu'il dormait, des souvenirs horribles ou des vues de ce que faisait Voldemort le réveillait, et il ne retrouvait pas le sommeil. Le jeune sorcier ne put malgré tout lutter contre le sommeil, et il sombra finalement dans un sommeil agité et superflu.
Toc toc...
Harry se réveilla en sursot. Il était sur d'avoir entendu un bruit. Il regarda par la fenêtre et vit qu'il faisait encore nuit. Il vit aussi qu'un hibou tapait sur sa fenêtre. Le sorcier alla ouvrir et l'oiseau s'engoufra dans la chambre, et s'installa sur le bureau de Harry. C'était un grand-duc au pelage très sombre. Harry prit la lettre de l'oiseau, et ce dernier s'installa dans la cage d'Hedwige, qui était partie à la chasse. Harry ouvrit le parchemin et ne reconnu pas l'écriture soignée de l'expéditeur. Il regarda la signature et fut étonné d'y lire: Severus Rogue. Que voulait lui dire cet être qu'il détestait tant? Il se pencha vers sa lampe de chevet et lut la lettre de son professeur.
Harry Potter,
Les temps sont durs, tu le sais, et comme je suis parti en mission, je sais que la mort me guette.
De plus, Voldemort veut se venger d'avoir eu un traitre dans ses rangs, et tente à tout pris de m'éliminer.
Comme je ne sais même pas si je te reverrais, j'ai décidé de t'expliquer tout.
Enfin, presque... Tout ce qui te concerne, toi ou tes parents, en tout cas...
Ca va être dur, très dur.
Tu te demande surement pourquoi quelqu'un qui déteste tant et que tu déteste tant t'écris.
Il faut que tu comprenne ton passé, et j'y suis lié, en parti.
Tout d'abord, pourquoi je détestait ton père. Ce n'était pas à cause de cette stupide blague, comme te l'avait dit Dumbledore, c'est pour bien plus.
Et bien voilà, il m'a volé mon seul amour, Lily. Lily Evans, ta mère.
Il m'a volé ma seule raison de vivre, ma bien aimée, mon amour secret. Oui, elle n'était même pas au courant, mais je l'aimait tant.
Ses cheveux roux, ces yeux verts, si verts... J'aimais tout en elle, et un Griffondor me l'a volé.
Un Griffondor courageux et souriant, drôle et blagueur.
J'admirait ton père, c'est pour cela aussi que je le détestait tant.
Il avait tout: Lily, un sourire qui en faisait tomber plus d'une, un courage sans bornes, un humour décapant, un goût pour les blagues en tout genre.
Et c'était le chef des Maraudeurs, la bande la plus côtée de tout Poudlard!
C'est vrai, je ne faisait pas le poids, moi, un simple Serpentard, froid et timide, studieux et méchant.
Jamais ta mère ne m'a regardé.
Je n'ai jamais vu dans ses yeux si verts de l'amour...
J'ai même rejoint les rangs du Seigneur des Ténèbres parce que ces yeux ne m'ont jamais regardés avec amour.
J'ai fait la plus grosse erreur de ma vie à cause de ces yeux verts...
Maintenant, pourquoi j'ai (ou j'avais...) une attitude audieuse avec toi.
Car quand je te vois de loin, je vois la silhouette de mon pire ennemi, et quand tu t'approche, je vois ses yeux verts, si verts...
Tu es le résultat d'une union parfaite, et je n'arrête pas de penser que ses yeux si verts auraient pus appartenir à l'un de mes enfants...
Quand je te vois, je vois ce qui m'a mené à me perte, ce qui m'a emmené vers Voldemort.
Chaque fois que je te vois, toutes mes erreurs, tous mes regrets reviennent en moi, je ne peux que faire semblant de te détester.
Pourtant je t'admire, tout comme ton père.
Je t'admire pour le courage avec lequel tu t'es battu contre Voldemort, il n'y a pas longtemps.
J'admire ton assurance, ton ambition, tes insouciances alors que tu a tout pour être désespéré.
Tout le monde magique compte sur toi, tu es comme un symbole, et tu survis, malgré tout.
Tu survis malgré tout les problèmes qui t'accablent, tout ces gens qui te voient seulement comme un héros, et non pour ce que tu es.
Et oui, je t'admire, Harry, mais si je pense bien que tu ne me crois pas.
Je dois y aller, Harry, ma mission m'attend. J'espère avoir la chance de te revoir, mais je pense que le destin ne sera pas si clément.
Au revoir Harry.
Sincèrement, Severus Rogue
Harry était bouche-bé. Il n'en revanait pas. Toutes ces confessions, toutes ces révélations, tout ce récit conté par Severus Rogue. Il le croyait, il savait que c'était lui. Il prit un parchemin, une plume, et, plus réveillé que jamais, il commença à répondre à son professeur, à lui aussi confesser ses sentiments...
Voili voilà voilou, premier chapitre...
Reviewez svp, si j'en ai pas assez, je serais pas motivé pour le deuxième chapitre...
Non, c'est pas du chantage (hum hum...), c'est une demande...
Et vous savez, reviewer, ça prend pas longtemps pis ça fait toujours plaisir...
