Salut à tous
Avant toute chose : rien n'est à moi.
Les personnages principaux sont à Madame Rowling.
La trame de l'histoire est quand à elle à ERTIS, bon j'avoue l'avoir quelque peu modifier..
J'espère que vous prendrais autant de plaisir que j'en ai eut à l'écrire.
HPHPHPHPHPHPHPHPHPHPHPHChapitre 1 : révélations
Dans la rue tout était calme, seul le bruit caractéristique du transplanage vient perturber cette paisible soirée. Un homme plutôt grand avec de cheveux noirs habillé d'une étrange façon avançât en direction du 4 Privet Drive. Il ne cessait de grommeler sur ce « stupide Black » et ses « inquiétudes débiles » a propos de son filleul. Il se demandait quelle folie l'avait pris quand il avait accepté de jeter un coup d'œil rapide pour rassurer ce sale cabot.
Severus était certain que Potter devait être tranquillement installé dans sa chambre luxueuse à jouer à un de ses jeux moldus ou qui sait par un miracle inattendue il lisait peut être un livre.
Il soupira agacé, et accéléras le pas. Soudain il s'arrêta comme foudroyé , cela empestait le sang !
Il enfonça violemment le portique de la maison, l'odeur était de plus en plus forte, elle venait de la maison. Il reconnut une essence qu'il n'avait pas sentie depuis de nombreuses années : celle de James.
Sa peur augmenta d'un cran, il ouvrit la porte de la maison d'un sort. En entrant, il prit de plein fouet les effluves et perdit totalement son calme.
Une femme à l'apparence de cheval le regarda quelque secondes choquées et se mit à l'insulter.
Il la regarda dans les yeux et d'une voix polaire, il lui demanda :
- Ou est Harry Potter ?
- Il n'est plus là. lui répondit-elle en cachant tant bien que mal un sourire
- Alors dites-moi pourquoi son odeur est partout et que ... crachat-il
Il allait continuer sa phrase lorsqu'il vit un gros bonhomme descendre des escaliers. Il fut stupéfait de voir que cet homme avait un regard fou et qu'il tenait un couteau de boucher maculé de sang. Sa chemise auparavant blanche était a présent rouge.
Pas plus de deux secondes plus tard, le professeur monta les escaliers aussi rapidement qu'il le pouvait et se concentra sur son odorat pour trouver Harry. Il était au delà de l'inquiétude et ne souhait qu'une chose retrouver le gamin.
Il défonçât la porte d'un coup de pied, l'odeur était insoutenable, même pour lui. D'un seul regard, il vit la scène. Sous le choc, il chancela et se retint au chambranle, il eut un violent haut de cœur et vomit plusieurs fois.
Il reprit ses esprit assez rapidement tout de même. Comme il s'en voulait ! Le fils de son James était allongé sur un lit, dans une chambre minable, les lèvres bleues, un teint cadavérique et les tripes à l'air.
Le sang coulait à flots de la plaie béante de son abdomen. Il s'approcha doucement du lit, pris le pouls du jeune homme et s'écria :
- Potter, je sais que vous êtes un putain de survivant, vous êtes aussi résistant que votre père, je vous interdis de me crever dans les bras !
Vous allez vivre…
Soudain, il sortit un couteau de sa poche, s'entailla le poignet et fit couler son sang dans la bouche du jeune.
Harry avait depuis longtemps perdu pied, il se retrouvait dans un endroit brumeux, il était enfin libéré de la douleur et se sentait extrêmement calme.
Petit à petit le brouillard qui l'entourait s'éclaircit, et la vision qu'il eut le réjouit d'autant plus. Il avait en face de lui James Potter et au autre homme.
- Papa ?
- Oui répondit James
Il courut vers lui pour l'enlacer, après une courte embrassade, il se détacha de lui et demanda :
- Ou est maman ?
- C'est une bonne question. Viens, nous devons discuter.
Harry se rendit compte de l'air grave qu'avait James, et il commença à se poser des questions.
Dans la chambre de Harry, Severus avait retirer son poignet de la bouche de son élève. Un cri s'éleva de la gorge du jeune homme, se yeux commencèrent à devenir vitreux, son souffle déjà faible devint presque imperceptible. Le maître en potions paniqua sérieusement, ce n'était pas du tout la réaction qui devait se passer. Il ne voyait qu'une seule personne capable de le soigner, et hélas c'était la seule qui voulait le voir mort. Mais il n'avait plus le choix.
Il transplana en direction du manoir Jedusor. Il entra sans plus de cérémonie dans la grande salle de réunion. Il n'y avait heureusement personne. Son maître était assis et travaillait. Lorsqu'il le vit entrer de la sorte, il allait lui lancer un doloris bien sentit mais se retint au dernier moment. Son plus fidèle mangemort portait quelqu'un dans ses bras ,apparemment en très mauvais état.
- Qui…
Sa question resta en suspend quand il vit de plus près le jeune homme. Il se retourna alors brusquement et prit la direction de sa propre chambre.
- Qui lui a fait ça ?
- Les moldus chez qui il habite. J'ai dans l'idée que Dumbledore était au courant depuis le début.
Il allongea Harry sur le lit.
- Je ne comprend pas Maître, j'ai essayé de le changer, mais il semblerait qu'il fasse un rejet.
Voldemort regarda attentivement le jeune homme et se concentra quelque seconde sur lui.
- oh merde ! Tu ne peut rien faire pour lui pour l'instant.
- Pardon ? répliquat Severus interloqué
- Quelqu'un lui a fait boire une potion d'identité à sa naissance. Va dans mon laboratoire, il y a dans l'armoire du fond, à gauche une petite fiole rouge… apporte la !
Severus sortit en courant et revint quelques secondes plus tard avec la fiole. Voldemort lui versa le contenu dans la bouche. Il se recula et observa les effets de la potion.
Harry quand a lui, venait de discuter avec son père, enfin un de ses pères. Il n'en croyait pas ses oreilles. Son père, enfin James, avait eut une histoire d'amour avec son détesté professeur de potion, et il était le résultat de cet amour ! Comment Dumbledore l'avait manipuler en lui disant que Rogue était passer du mauvais coté et qu'il représentait une menace pour son bébé. Il avait dut alors épouser Lili pour justifier sa naissance. Il en avait énormément souffert et regretté amèrement de ne pas avoir vu plus clair dans le jeu de son ancien directeur.
James avertit son fils de se méfier de lui.
Soudain une lumière vive entoura Harry. James eut un hoquet de stupeur, et des larmes vinrent perler au coins de ses yeux.
- ohh mon fils… comme tu es beau ! Tu lui ressemble énormément. Tu as les même yeux que le mère de Severus, et tu as ses cheveux. Comme je suis heureux d'avoir put te revoir ainsi sans l'effet de la potion.
Il le prit dans ses bras. Soudain l'homme qui avait assister à tout l'entretien se fit remarquer.
Dans la chambre de Voldemort, un cri d'épouvante résonnat. Harry hurla jusqu'à s'en déchirer les cordes vocales. Il commença à convulser, perdant encore plus de sang. Voldemort et Sevérus se figèrent en voyant la scène. Les traits d'Harry était défigurés par la douleur, il criait et tentait à la fois de reprendre un souffle qu'il n'avait pas.
Une vive lueur noire entoura le corps toujours tordu par la douleur, ses mains s'allongèrent et se pourvurent de griffes acérées. Elles coupaient, déchiraient tous ce qui passait par là, que ce soit les draps ou même ses propres membres.
Les deux hommes ne voyaient plus rien, mais ils entendaient toujours les plaintes de plus en plus atroces du garçon, c'était presque insoutenables pour des oreilles humaines. Puis une onde de magie déferla, puissante et obscure, elle les propulsa contre le mur. Le château entier en fut ébranler. Le corps de Harry fut soulever dans les airs, deux énormes aile noires de chauve-souris firent leur apparition dans un craquement de peau sinistre.
Des lambeaux de chair furent projeté à travers la pièce.
Harry hurla à nouveau et tomba brusquement sur le lit, l'aura noire qui l'entourait se résorba progressivement et fut absorbé par Harry dans un dernier gémissement.
Les deux hommes s'approchèrent du lit et furent très surpris de voir que ce n'était plus Harry Potter qui s'y trouvait.
Le jeune homme allongé était plus grand, il avait grandis d'une dizaine de centimètres, ses cheveux s'étaient allongés, il n'était plus brun, mais noir et lisse. Ses mains était plus fine et son visage n'était plus le même. Sa cicatrice quand a elle n'avait pas bouger et elle seule attestait l'identité de l'adolescent .
La plaie béante de son abdomen s'était partiellement refermé, mais nécessité encore des soins tous comme les nombreuses griffures qu'il avait.
La voix de l'inconnu retentit brusquement.
- Il est très rare que j'interfère dans les affaires des vivants… mais c'est un cas assez particulier. Une copie de ton ancien toi a été envoyé à Privet Drive. Ta … famille est morte dans un accident, une conduite de gaz qui a explosé. Harry Potter est mort. Définitivement.
Aucun tests ne pourras attester du contraire, c'est bel et bien toi qui est mort ce soir et ils le prouveront. Une nouvelle vie t'attend… a toi de choisir quoi en faire.
Je voudrait t'avertir avant… Albus Dumbledore est un grand sorcier, mais sa soif de pouvoir lui a fait perdre de vue l'essentiel. Ses manigances ont causé trop de mal, il a gâché trop de vies… il est tant qu'il cède sa place.
- Mais répondit Harry, je n'ait ni le pouvoir ni les connaissances pour le discréditer…
Oohh… il faudra faire bien plus que cela…, mais bon… je te laisse seul juge en ce qui concerne son cas. En ce qui concerne tes pouvoirs, ils se développeront progressivement. Tu as ta nouvelle apparence et avec elle viendra tes pouvoirs. Pour tes connaissances…
Il s'approcha de Harry place la paume de sa main sur son front, il sentit celui-ci chauffé intensément alors qu'il voyait défiler devant ses yeux des milliers d'informations.
- Il te suffira de les pratiquer pour ne pas tous perdre. Tu es prêt a présent.
L'homme le lâcha et parti
- Papa… je … je fait comment avec le professeur Rogue ? et avec Voldemort ?
- Tu fait comme il te semble… je ne veut pas t'influencer… tu as trop subit de chose. A toi de voir mon fils, tu as toutes les cartes en main à présent pour choisir.
Harry hocha la tête.
- ahh j'oubliai, tu t'appelles Alexis Angelus Potter Rogue.
- … J'aime bien. Te reverrais-je ?
- oui, parfois dans tes rêves. Peut-tu dire à Sev que je suis sincèrement désolé et qu'il me manque énormément.
- Ne t'inquiète pas je lui dirai répondit Alexis avant de disparaître progressivement.