Salut ! Cela fait loooooooongtemps que je n'ai pas posté ! ^^' Mais je suis là et je vous poste le premier chapitre de la fiction dont je vous avais parlé ! J'espère qu'elle vous plaira ! Enjoie !


Titre : Ténèbres blanches

Disclaimer : J'aurais bien aimé avoir un tel génie mais non, Harry Potter est et restera à J. K Rowling

Rating : M pour la suite je préfère être prudente

Paring : Harry/Voldemort (en mode Tom Marvolo Riddle, je suis pas zoophile...)

Note : Notez la formidable oxymore du titre !


/!\ Je change quelque peu l'histoire. Dans ma fiction, Harry est intervenu et a sauvé Dumbledore de Snape. Donc le vieux fou n'est pas mort ! Deuxième chose, je change pratiquement tout sur l'Amortentia (sauf le fait que ce soit le plus puissant filtre d'amour)/!\


Bonjour. Je me présente, je suis Ti Cathy. Je suis une écrivaine née de moldu. Si je prends la plume, en ce froid hiver des années deux-milles, c'est pour vous conter une histoire : celle d'Harry Potter. Non ! Ne partez pas en vous disant "On la connaît, c'est bon !" ! Je vais vous narrer la véritable histoire. Ce qui s'est réellement passé. Vous méritez de savoir. Ils méritent que leur histoire soit sue de tous. C'est pourquoi je publie cet écrit. Pour que la légende perdure, à travers les âges...


Tout a commencé le jour de la rentrée de notre héros en septième année. Notre Golden Boy retrouvait ses amis, tout en marchant pour aller en potion.

- Qu'est-ce que vous avez fait, pendant l'été ? demanda Seamus.

- Je suis allé en Espagne avec mes parents ! répondit Dean, qui était en effet bien bronzé. Et toi Harry ?

- Et bien, j'ai passé un mois chez les Dursley puis l'autre avec Ron et Hermione.

- Au fait Harry, tant que j'y pense ! s'exclama Dean en fouillant dans son sac puis en lui tendant un paquet cadeau, c'est pour toi de la part de la maison Gryffondor. Si ça te plaît pas, c'est Seamus qu'il faut frapper !

Le brun rigola puis déchira le papier en leur répétant que ce n'était pas la peine. Il découvrit une fine chaîne en argent où pendait un anneau.

- Regarde, l'informa Seamus, il y a des runes gravées dessus. On l'a faite ensorceler pour qu'elle te protège.

- Fallait pas les amis...

- Elle te plaît ?

- Beaucoup. Merci infiniment !

Et il s'empressa de l'accrocher à son cou. Cependant, en levant les bras pour parvenir à attacher le collier, il fit lever son tee-shirt, révélant deux petites boules à son aine. S'apercevant du silence, il leva le regard vers les têtes éberluées de ses camarades.

- Quoi ?

- Qu... Qu'est-ce que c'est que ça Harry ? demanda Seamus.

Ce fut Hermione qui répondit, son mode je-sais-tout activé :

- En fait, un matin, on s'est réveillés avant Harry et on l'a vu qui dormait torse nu.

- Il faisait chaud !

- Du coup, quand il a vu ça, Ron a eu une illumination et il s'est mis à sourire d'un air diabolique. Dans l'après-midi, on se promenait côté moldu quand il est rentré soudainement dans une échoppe de pierceur on nous tenant chacun par une main. Et là, il a poussé Harry en avant il a dit qu'on venait pour lui faire faire un piercing. Le pauvre Harry était tétanisé et il a dit non directement. Mais Ron lui a dit qu'il était un trouillard et qu'il crevait de peur en réalité. Alors là, Harry s'est fâché et il a dit au pierceur qu'il voulait un piercing surface aine.

- Refais voir ! demanda directement Dean.

Harry leva alors son tee-shirt, gêné d'être le centre de l'attention. Étant donné qu'il était fin et qu'il avait des hanches plutôt larges, féminines et prononcées, le piercing lui allait parfaitement.

- Vous êtes des dingues !

- Monsieur Potter ! retentit la voix glaciale du professeur Snape. Quand vous aurez fini de vous déshabiller, peut-être nous feriez-vous l'honneur de rentrer en classe !

Le brun rabaissa directement son haut, rouge de honte sous les rires moqueurs des serpentards. Avec tout ça, il n'avait pas remarqué qu'ils étaient arrivés.

- Bah alors Potty, on devient dévergondé ? lui susurra Malfoy à l'oreille. J'espère pour toi que ton piercing va s'infecter et que tu vas garder une grosse pustule pleine de pus pour le restant de ta vie.

- Attention la fouine, tu confonds mon cas avec tes propres expériences ! Peut-être est-ce un premier symptôme de vieillesse ?

Le blond lui jeta un regard noir avant de rentrer en classe, suivi de près par ses deux «gardes du corps» qui grognèrent après lui avant de suivre Draco. Fier de sa réplique, Harry entra à son tour et vint s'asseoir entre ses deux meilleurs amis.

- Aujourd'hui, commença le professeur, nous allons travailler sur l'Amortentia. Potter, peut-être pouvez-vous me dire les effets de cette potion ?

Aussitôt, Hermione leva la main.

- Je ne sais pas professeur, avoua le brun.

- Affligeant. Cela fera quinze points en moins pour Gryffondor. Alors... Monsieur Weasley ?

- Je ne sais pas professeur.

- Monsieur Finnigan ?

- Je ne sais pas professeur.

- Par Merlin ! s'exclama-t-il comme s'il était un acteur de tragédie. Existe-t-il seulement un Gryffondor auquel il reste un tant soit peu de cervelle ? Draco, expliquez-nous.

Celui-ci fit un petit sourire satisfait en direction du survivant puis recracha son cours :

- L'Amortentia est le plus puissant filtre d'amour. C'est le plus dangereux étant donné qu'il fait seulement ressortir de façon extrême nos propres désirs.

- Exact. Ce n'est pas une potion que l'on boit puisqu'elle est extrêmement nocive une fois ingurgitée. Elle dégage des vapeurs qui nous font tomber sous son effet. Ces vapeurs prennent l'odeur de la personne désirée au fond de nous. Vingt points pour Serpentard.

Hermione leva la main. Snape soupira un grand coup puis demanda :

- Oui miss Granger ?

- Le professeur Slughorn m'en a fait respirer pourtant je n'ai eu.

- Il faut un certain temps avant que la potion ne fasse effet. Vous n'avez pas dû en respirer assez. Bon, les instructions sont au tableau et les ingrédients dans le placard. Allez !

Tous les élèves se précipitèrent en même temps vers l'armoire et le cours put réellement commencer. Harry venait juste d'ajouter les épines de porc-épique et attendait que sa potion prenne la couleur bordeaux qu'elle devait arborer. Cependant, elle se mit à fumer dangereusement et à prendre une teinte grisâtre. Par instinct de survie, il s'éloigna de la marmite et eut raison car celle-ci explosa.

- Potter ! siffla le maître de potion. Est-ce qu'en plus de vous trouer la peau on vous a aussi percé la cervelle ? N'êtes-vous pas capable de simplement suivre un protocole ?

- J'ai oublié de tourner ma potion...

- Incapable ! grogna-t-il dans sa barbe. Vous viendrez ce soir en retenue pour réparer vos bêtises !

La potion de Neville éclata à son tour.

- Et celles de vos camarades ! ajouta alors l'homme sinistre avant de retourner vaquer à ses occupations en faisant voler sa cape comme il savait si bien le faire.


Après le dîner, Harry se dirigea vers les cachots pour rejoindre le professeur de potion. Il traîna des pieds afin d'arriver le moins vite possible, observant les mouvements des personnes dans les tableaux et regardant des fois devant lui pour ne heurter personne. Il finit malheureusement devant l'antre de Snape. Il prit une profonde inspiration pour se donner du courage et toqua à la porte. À peine l'eut-il fait que la celle-ci s'ouvrit sur les cheveux noirs gras du tyran.

- Entrez Potter, dit-il froidement en se décalant.

Quand Harry pénétra dans la salle de classe vide, il frissonna en sentant le regard glacial du maître de potion sur lui.

- J'ai autre chose à faire que de surveiller des incapables. Alors vous allez nettoyer tous ces chaudrons en silence. Je reviendrai dans deux heures.

Et il quitta la pièce. Mais dans son entrain à s'en aller, il oublia de donner à son élève le masque de protection obligatoire quand on manipule l'Amortentia...


Harry avait en ce moment la tête dans un chaudron. Les manches retroussées, il avait dans ses mains une éponge et frottait les parois de la marmite. Bien sûr, il avait interdiction d'utiliser la magie... Le reste des mixtures lui tombait sur les cheveux, le faisant grimacer de dégoût. Il avait chaud, il transpirait. Soudain, il s'arrêta. Il rêvait où il y avait une odeur de... de sang dans l'air ? Il inspira quelques fois. Mais oui ! Il ne rêvait pas ! Ça sentait bien l'hémoglobine ! Il regarda partout autour de lui, puis, ne voyant rien, haussa les épaules et retourna à son travail. Tant pis !

Plus les minutes passaient, et plus Harry se sentait fiévreux. Il haletait, les joues rouges. L'odeur de sang était encore plus forte. Le brun lança un «tempus», et vit qu'il était là depuis une heure et demi. Il avait fait les trois-quarts, alors il redoubla d'ardeur. Le problème était que plus il se dépêchait, plus sa respiration devenait hachée et erratique, et plus ses inhalations se faisaient fortes et rapides. L'odeur lui montait donc à la tête. Le pire étant qu'elle n'était pas si désagréable que ça. Au contraire.

Quand Snape revint, Harry venait juste de finir.

- J'ai fini professeur. J'y vais, dit-il rapidement avant de s'enfuir.

Il rentra au dortoir, et ignora les appels des autres qui lui demandaient comment ça c'était passé. Il fila plutôt à la douche et fit couler sur lui l'eau la plus glacée possible. Puis il se laissa glisser contre la paroi. Il ne savait pas pourquoi, il se sentait bizarre. Il n'avait pas encore décidé si c'était bon ou mauvais, agréable ou désagréable. Tout son corps était en feu et malgré l'eau froide, rien ne changeait. Il arrêta donc l'eau et se mit à réfléchir. Il ferma les yeux et bizarrement, un visage se dessina dans son esprit. Une tête, fine mais pas trop. Puis des cheveux ébènes. Des yeux sombres et charmeurs, qui devinrent par la suite d'un rouge écarlate. Harry fronça les sourcils. Qui était-ce ? Une étrange chaleur se répandit en lui à cette vue. Quand enfin il reconnut le visage, il ouvrit brusquement les yeux. Voldemort ! L'homme était Tom Marvolo Riddle ! Étrangement, cette découverte ne le dégoûta pas. Au contraire. Il se sentait... excité ? Il referma les yeux. Aussitôt, Tom réapparut et il se mit à parler. Sa voix était suave et mystérieuse, totalement différente de celle sifflante qu'il avait l'habitude d'entendre et elle le fit frissonner.

- Viens, Harry. Je t'attends.

Le reste du corps de sa némésis apparut, nu comme au premier jour. Il était finement musclé et d'une pâleur aristocratique. Harry se vit avancer. Il découvrit qu'il était aussi dénudé. Il se blottit comme le Dark Lord, et celui-ci passa ses bras autour de lui. Avec deux doigts, il prit le menton d'Harry et le força à le regarder. Puis ses lèvres charnues se posèrent sur les siennes. Le baiser devint sauvage, puis un lit apparut.

Ce fut à ce moment-là que le vrai Harry refit surface. Il chassa ces pensées malsaines de son esprit et frissonna. Qu'est-ce que c'était que ça ? Depuis quand Voldemort avait cette apparence ? Cette voix ? Ce regard ? Depuis quand avait-il ce genre de rêve ? Depuis quand avec lui ?! Encore, un autre homme, il aurait compris, cela faisait longtemps qu'il avait passé le stade du questionnement à propos de son orientation sexuelle. Remarque, dans son rêve, Tom n'était pas mal du tout. Non, encore mieux que ça. Rha ! Non ! Pas encore ! Et puis d'abord, depuis quand l'appelait-il Tom ? La voix de celui-ci retentit alors à nouveau, toujours aussi tentatrice :

- Viens Harry. Je t'attends.

Le petit brun secoua la tête, sortit de la douche, et se coucha sans un mot.

Les jours qui suivirent furent abominables pour le pauvre Golden Boy. Plus les jours passaient, et plus il était présent dans son esprit. Il avait même commencé à envahir ses rêves ! Harry se réveillait donc le lendemain, avec un léger problème à régler. Et quand on dort dans un dortoir, c'est pas génial génial... Il espérait juste ne pas avoir fait de bruit pendant qu'il dormait... Le brun s'éloigna donc des ses amis, de peur qu'ils ne découvrent son secret. L'Élu finit pourtant par succomber totalement, ne pensant même plus que c'était sale, ou dégoûtant. Il entendait sa voix de plus en plus souvent, l'écoutant répéter son «Viens Harry. Je t'attends». Harry aimait quand Tom prononçait son prénom. Comme dans un murmure : «Harry... Harry...».

Alors qu'il sortait d'un rêve particulièrement érotique, Harry trouva enfin la solution. Tout encore émoustillé de par son songe, tremblant d'excitation, les joues rouges et la respiration hachée, il pensa :

- Je vais aller le rejoindre. Tu m'attendais ? Me voilà.


Et voilà ! Vous avez envie de me tuer ? Si oui c'est que j'ai réussi mon coup ! Ma cousine va me harceler jusqu'à la fin de mes jours si je ne mets pas que l'idée du piercing vient d'elle alors voilà, je le dis officiellement : l'idée à l'origine ne vient pas de moi !

Ca vous plaît ? C'est nul ? Dites-le moi par review je ne mords pas ! ^^