Coucou ! Ici c'est encore moi Iktsuarpok. Je reviens avec une fic chapitre ! Elle va retracer la légende du Roi Minos. (Whoa tellement d'originalité ! Bravoooo). J'espère que vous aimerez !
Gros bisous !
Disclamer : La mythologie et Saint Seiya ne sont pas à moi. En revanche cette fanfiction est à moi
C'est une légende racontée depuis plusieurs siècles. Les gens se la transmettaient par bouche à oreille avant de la coucher par écrit. Une légende vieille de plusieurs siècles encore racontée de nos jours à titre historique. Tous les mythes ont une part de vérité. Tous les mythes ont une origine. Les anciens racontaient autrefois qu'une jeune princesse phénicienne dotée d'une grande beauté se baladait comme à son habitude. Ô oui qu'elle aimait se balader cette jeune princesse, cette fille d'Agénor. Belle comme le jour, douce comme une brise, Europe était la définition de la beauté. Sa beauté était telle qu'elle était allée jusqu'à toucher le cœur du Dieu des Dieux.
Europe aimait se balader dans les plaines aux abords de sa ville. Elle aimait passer du temps avec les princesses de Tyr et c'est lors d'une de ces balades plus qu'innocente que le regard du Dieu s'ancra sur elle pour ne plus en bouger. Qu'elle était belle Europe à composer ces bouquets, qu'il était doux le rire d'Europe alors qu'elle s'amusait avec ses compagnes, qu'elle était magnifique Europe lorsqu'elle se pencha pour couper cette tige pour l'ajouter au bouquet qu'elle offrirait aux Dieux. En la voyant faire le cœur de Zeus fut poignardé d'une vague de désir intense envers cette jeune princesse. Il voulait la jeune femme pour lui. Mais Héra ne l'accepterait hélas pas. Zeus fut alors attiré pas le troupeau de vaches. Sans hésitation il se transforma en majestueux taureau blanc pour se mêler aux bovidés.
Le regard d'Europe fut attiré par cet animal. Il dégageait quelque chose de différent. Un elle ne savait quoi qui la mettait en confiance. Aussi quand l'élégant animal s'étendit à ses pieds la jeune femme en fut flattée et avec un doux sourire elle lui caressa les flancs. Elle était ébahi par le calme de l'animal qui la mettait de plus en plus en confiance et rassurée elle para les cornes de guirlandes de fleurs qu'elle avait elle-même faite. Zeus alors touché par cette gentillesse innée en cette jeune humaine l'invita à le chevaucher. Il se mit dans une telle position qu'on eut dit qu'il faisait une révérence à la jeune princesse. Et Europe accepta en pensant que c'était un jeu et monta sur le dos de l'animal.
La jeune et innocente Europe laissait ses pieds nus courir le long du torse du puissant être qui la portait. Elle rayonnait la joie et le bonheur de vivre alors que sans qu'elle ne s'en aperçoive Zeus l'emmenait loin du lieu de repos de ses amies. Et le Dieu des Dieux après s'être assuré que la jeune phénicienne se tenait bien à lui parti au galop, il fendit vents et marées. Europe avait peur, elle se cramponnait à l'animal les yeux fermés de peur de voir un danger l'assaillir. Elle ne revit jamais ses amis. Elle ne revit pas non plus son illustre père qu'elle aimait tant. Lorsque Zeus arriva sur une plage alors inconnue pour la jeune femme il étendit le corps fatigué aux délicates courbes sur le sable chaud.
Et Zeus aima sa jeune princesse. Il lui fit goûter son amour avant de la donner comme reine à Astérion roi de Crète. De leur union naquit Minos, Radamanthe et Sarpédon. Europe aima ses fils. Elle les aima du plus profond de son cœur...
Vient ensuite la légende du Roi Minos. Le juste et sage Minos qui pourtant à fauté envers Poséidon...
Le livre vola à travers la pièce perdant des pages avant de se prendre le mur et de tomber au sol ouvert à un quelconque mythe déformé par les humains. Combien de foi les humains allaient-ils encore déformer la vie de leurs ancêtres ? Trop. Beaucoup trop. Les yeux dorés brillaient d'une lueur rageuse en fixant le livre. Les longs fils blancs satinés glissèrent de l'épaule du jeune homme pour retomber contre sa poitrine alors qu'il se levait du fauteuil pour aller ramasser le ramassis de connerie qu'il venait de balancer au travers de la pièce.
L'autre regard doré avait sursauté lorsque le livre avait fusé avant de rapidement reprendre un air impassible. L'un comme l'autre se tenaient compagnie de temps à autre parlant de tout et rien. Et aujourd'hui ils profitaient simplement de la présence de l'un comme de l'autre. Le premier n'avait aucune confiance dans le second. Et le second avait le cœur gonflé de rancœur envers le premier. Pourtant ils se cherchaient et se trouvaient. Ils savaient qu'ils ne pouvaient fuir leur passer. Le lien de sang qu'ils avaient jadis eu. Ils ne l'avaient jamais nié. Mais ils ne l'avaient jamais affirmé. Le second avait été là lorsque le premier fut couronné. Le second avait été là lorsque que le premier avait eu une famille. Et le premier avait été là pour exiler le second. Beaucoup trop de non-dits avait pourris leur relation jusqu'à la moelle. Mais ils avaient quand même besoin l'un de l'autre.
« Pourrais-tu éviter de ruiner les livres s'il te plaît ? »
Le ton neutre avait claqué dans la pièce silencieuse alors que l'aîné se penchait pour ramasser le livre. Il ne répondit pas. Cette chose n'était pas un livre mais un tas de mensonge. D'un mouvement aérien il se tourna pour faire face au corps massif enfoncé dans le fauteuil et s'en avança avant de le contourner dédaigneusement pour reposer le torchon à sa place dans la bibliothèque.
« C'est un tissu de connerie. »
La voix glaciale de la réincarnation Norvégienne retentit dans le salon. Il y eut un blanc avant que l'anglo-saxon ne relève une seconde fois la tête de son livre. Il pinça les lèvres en servant un verre de Whisky distraitement qui disparut rapidement de sa place pour se retrouver dans les mains laiteuse de son homologue.
« Tu n'aimes juste pas que ton nom soit assimilé à un mythe que tu n'aimes pas.
-Foutaises ! »
L'ancien Roi foudroya le juge et reposa le verre d'alcool vide avec force sur la table. Il claqua des talons et se dirigea vers la sortie.
« Souviens-toi Radamanthe. Tu sais que ce qui est relaté est un tissu de connerie.
-Je le sais Minos. Mais nous n'y pouvons rien. »
La porte claqua et le blond retourna lire son livre après s'être passé une main lasse sur le visage.
A une prochaine fois ! N'hésitez pas à laisser un petit mot pour me dire votre avis ! On se retrouve pour la suite une prochaine fois. Bisous
