Bonjour bonjour !Ma première fiction alors s'il vous plait soyez indulgent! toute aide est la bienvenue! Comme il est de coutume à dire, cette fiction met en place des personnages qui ne sont pas ma création
Bonne lecture (j'espère!)
Il était presque 20h dans la petite ville du Maine, par ce temps froid toute les maisons avaient déjà leurs volets fermés, seule la fumée des cheminées s'élevaient dans le ciel étoilé. Les rues étaient calmes, et la Mifflin Street ne dérogeait pas à la règle, mais en s'approchant de la résidence Mill-Swan, on pouvait entendre la voix d'une blonde
« Regina ! Il faut vraiment que tu fasses ça maintenant ? »
Emma trépignait d'impatience en bas des escaliers, les bras posés sur la balustrade. Tout en parlant elle regardait ses chaussures, se maudissant d'avoir eu à courir à travers la plage pour rechercher ce maudit chien.
Sauveuse sauveuse… tu parles.. rien d'autre à faire que de suivre Pongo…
Elle n'avait pas eu le temps de se changer et maintenant elles allaient être en retard.
« Oui, oui, oui Emma ! Pour l'amour de dieu »
chuchota Régina en ne montrant que sa tête en haut des escaliers. Elle attendit que la blonde regarde sans sa direction. Tout en gardant la voix basse, elle arrivait encore à faire preuve d'autorité
« Je te rappelle que si tu n'avais pas fait irruption dans la chambre et réveillé ta fille, je n'aurais pas eu à mettre une demie heure pour la rendormir ! La nounou n'est pas encore arrivée, alors cesses de t'impatienter, j'en ai pour 5 minutes »
Et avec un clin d'œil elle disparut à nouveau hors de portée de vue d'Emma
« Hum hum, Paige est arrivée, elle est dans la cuisine, je lui ai dit qu'elle pouvait se faire un chocolat chaud, alors finis ce que tu as à faire mais j'aimerais que pour TA soirée tu sois au moins là avant la fin »
Tout en sortant de leur chambre où Ambre dormait enfin, Regina ferma doucement la porte, et alors qu'elle apparaissait en haut des escaliers, sa paire de talons dans une main et le babyphone dans l'autre, Emma resta bouche baie, littéralement, en la regardant descendre les premières marches
« QUOI ? Cette tenue ne va pas c'est ça ? » Questionne la brune « Je savais que je... »
« Comment fais-tu ? » la coupa Emma
« Comment je fais quoi ? » ricana Régina
Tout en se rejoignant au milieu des escaliers, Emma vint poser ses mains sur les hanches de sa femme
« Comment fais-tu pour être plus belle de jour en jour ? »
Régina se rapprocha un peu plus pour venir coller son front à celui de la blonde et murmura
« Comment fais-tu pour me rendre meilleure de jour en jour ? »
La question resta en suspend quelques secondes, les deux se regardaient, seules leurs respirations se mélangeaient, avant qu'Emma se penche et murmure à l'oreille de sa femme
« Et si tout compte fait on restait là ? Ou mieux, on profite que la petite soit là pour garder notre fille et on passe la soirée que toutes les deux…»
A ces mots, des frissons parcouru le cou jusqu'en bas des reins de Régina. Mais regagnant son contrôle, elle se recula et fini de descendre les quelques marches et tout en posant ses chaussures au sol et en passant un pied puis l'autre, Emma l'avait rejoint. Elle se retourna et faisait maintenant face à la blonde, la dominant de quelques centimètres.
« Tu oublis que c'est une soirée pour mon anniversaire, et tu l'as organisé je te rappelle »
« Arf, parfois je me hais ! » feint Emma alors qu'elle prenait le manteau de sa femme dans le placard et tout en l'aidant à le mettre, et rajouta
« J'espère que ma mère n'a rien prévu, sinon cette soirée risque de durer une éternité »
Régina attendit que la blonde enfile sa veste en cuire noir, pour s'approchait d'elle et attraper avec ses deux mains le col en cuir
« J'espere pour vous… Miss Swan.. Quel dommage de se faire priver de dessert par sa propre mére… »
Et tout un picorant les lèvres de sa femme, elle ouvrit la porte du manoir. Emma, figée par la soudaine chaleur qui emplissait ses sens, resta sur place.
« Miss Swan, je crois qu'on nous attend ! » lui rappela depuis l'extérieur la belle brune, sourire aux lèvres, regard charmeur
« Femme, tu vas me tuer ! »
.
