Bonjour/ Bonsoir, alors voila ma premiére fiction, j'espére qu'elle vous plaira et désolé pour les éventuelles fautes. Laissez des reviews si vous aimez ^^
Bonne lecture.
Le secret c'est de prendre son temps. Un pas après l'autre sans se précipiter. De bien repartir son poids sur ses deux pieds pour éviter tous craquement. Même si là, le carrelage sur lequel je suis ne risque pas de grincer. Mais surtout, le plus important, c'est de faire attention à tous les meubles, tapis, chaussures, jouets et autres objets non identifié que l'on peut trouver sur son chemin et ne surtout, SURTOUT, pas shooté dedans. Pas comme je viens de le faire par exemple. Le jouet pour chiens en forme d'os que mon pied vient de rencontrer, décolle du sol et vient s'écraser contre le mur en face de moi dans un "OUIIIIN" qui résonne horriblement dans le silence de la nuit. A l'étage une lumière s'allume et des voix se font entendre. Ça y es je suis morte. Je cherche une cachette du regard quand j'aperçois le responsable de ma situation. Il me regarde avec ses grands yeux ronds de teckel. Je lui lance un regard noir : je déteste les chiens. Enfin surtout les petits. Comme celui qui s'approche de moi en remuant la queue. C'est pas vrai !
- Je ne suis pas là pour jouer, je murmure.
Et maintenant je parle à un chien ! Qui pour toute réponse pousse un jappement pathétique. Déjà que les habitants m'avait repérée il a fallu que se sale capot abois! (Enfin essaie) Attendez. Je suis repérée ? Pourtant personne n'est encore descendu. Je m'immobilise complétement et ralentit même ma respiration pour écouter les voix qui vienne de l'étage.
- Quiqui vient voir môman !
Un sourire éclaire mes lèvres. Ils m'ont pris pour le chien je ne suis pas repéré ! Je vais pouvoir continuer. Mais d'abord se débarrassé du chien. Mais celui-ci n'a pas l'air de vouloir aller voir « môman ». Il me regarde toujours avec ses grands yeux d'idiots. Mais qu'es qu'il veut à la fin ! Il pourrait pas me laissez tranquille ? Bon aux grands mots, les grands remèdes ! Je prends un de ses nombreux jouets -une balle de tennis, cette fois pas question que ça fasse trop de bruit- et le lance en haut de l'escalier. Le teckel ce précipite à sa poursuite et l'attrape avant même qu'elle ne touche le sol. Pff comme c'est stupide un chien, ça ne pense que faire mumuse. Je pris pour qu'il n'ait pas l'idée stupide de rapporter la balle –ce qui serait bien capable de faire- . Mais apparemment sa « môman » à dut l'intercepter car j'entends un « Ah tu es là mon Quiqui, aller viens dans le lit de môman » suivit de couinement et du bruit caractéristique d'une porte qui se ferme. Je retiens un soupir de soulagement -il ne faudrait pas que « môman » se relève en m'entendant- ma mission va pouvoir continuer. J'attends quelques minutes dans l'immobilité la plus total puis, en entendant de lourds ronflements en provenance de l'étage, je reprends mon chemin.
En fessant cette fois bien attention aux objets éparpillés sur le sol, je me faufile juste qu'à l'autre bout du salon et me glisse dans le couloir qui en part. Je le suis, passe dans deux ou trois pièces différentes pour finalement m'arrêter devant une immense porte de métal. Elle est verrouiller, je le sais pas la peine d'essais de l'ouvrir. Je regarde autour de moi et repère bien vite le digicode. Il est camouflé dans une peinture de mauvais gout. Invisible pour des yeux non exercés. Pas pour les miens.
Je m'approche de la petite boite et tape la combinaison que j'ai apprise par cœur aux cours des deux jours pendant lequel j'ai préparé mon infiltration. La porte s'ouvre dans un feutrement léger dévoilant une pièce d'une dizaine de mètres carrés dont les murs et le sol sont entièrement fait d'acier. J'entre dans la pièce, après avoir vérifié que les systèmes de sécurité étaient bien éteins –pas question d'échoué si près du but !- et m'approche de l'unique meuble qui prône au milieu de la salle. Je souris. Il est là ! Il n'a pas bougé depuis la dernière fois que je l'ai vu, comme s'il avait attendu que je vienne. Enfin bon, je soulève la gangue de verre qui le protège de l'usure du temps –et des voleurs- et le prends entre mes doigts. Je ne peux m'empêcher de l'admiré. Le collier est fait d'une double chaîne, l'une en or pur et l'autre en argent, qui sont étroitement entremêlé. Tandis que le pendentif, taillé en poire, est un diamant rose de la taille d'une pièce de deux euros. Je suis émerveillée. Peu de gens le savent mais les diamants de couleurs valent encore plus chère que les simples diamants blancs. Ce collier doit valoir une petite –et même une très grosse- fortune. Je vais enfin avoir assez d'argent pour ma sœur et les autres ! Après tout ce temps j'y suis enfin arrivé ! Je me reprends rapidement. Je dois me concentrer, je ne suis pas encore sortit de là.
Je glisse le collier dans une poche prés de mon cœur et sort de la salle. Je referme la porte de métal derrière moi et effectue le trajet du retour sans laissé un seule indice. Je retrouve rapidement la fenêtre par laquelle je suis entrée. Me glisser à l'extérieur est un jeu d'enfant. Je la referme et me retourne pour...
- Les mains en l'air !
Quoi ?! Non mais ce n'est pas possible ! Comment la police a su que j'étais là ?! Qui les a prévenus ?! Je n'ai pourtant laissez aucunes traces ! Je n'ai pas été repéré ! A moins que... Le chien ! Peut-être que finalement les habitants m'avaient vu ! Mais pourquoi avoir attendu aussi longtemps ?
Mon cerveau tourne à fond, des centaines de questions se bousculent dans ma tête mais je n'arrive pas à répondre à une seule d'entre elle. Ce n'est pas possible, comment je vais faire ?
- Les mains en l'air la féline !répète le policier.
Comment savent-ils qui je suis ? Personne n'a jamais vu mon visage, la seule chose que le monde sait de moi c'est le surnom –assez flatteur je dois dire- que la police m'a attribuer quand mes excursions ont commençaient à se faire plus nombreuse. « La chatte voleuse » dit « la féline ». Une douzaine d'agents braquent leurs armes sur moi. Une petite part de mon être est flattée qu'ils soient autant pour appréhendait une petite voleuse dans mon genre. Enfin petite, je vol depuis l'année de mes 8 ans et mon butins total s'élève maintenant à plus de 50 millions de Berrys ! Mais maintenant tout ce que j'ai fait n'aura servi à rien...
Je me vois levé les mains au ralentis, comme si c'était un rêve. Je n'arrive pas à réalise que maintenant tous est fini. Les policiers me menottes et me force à monter dans un de leur véhicule.
Nojiko je suis désolé, j'ai échoué. Je ne serais pas parvenue à récolter assez d'argent pour vous sauver le village et toi. J'espère que tu pourras réussir à me pardonner...
