Je me trouve sur le ponton du Grave, alanguie sur le dos, je porte un bikini Valentino rouge a pois blanc qui a couté presque 500 dollars, une folie pour si peu de tissu, alors que couvrant mon visage mon chapeau de paille lui ne m'a couté que 5 dollars sur l'étale d'un marché. Je suis dans cette position de statut depuis près d'une heure. Je n'ai pas fait bouger un seul musque de mon corps, de sorte qu'il est impossible de distinguer si je dors ou non. Si je m'évertue tant à ne pas bouger, c'est parce que je veux espionner en toute tranquillité. Je veux pouvoir me régale le plus possible du spectacle délicieux qu'est Christian Grey, sans qu'il puisse me distraite de son regard perçant qui me fait perdre la tête a chaque fois.
Et quel spectacle. Mon Mari est assis a la barre du bateau notre petit garçon dans les bras, ce dernier n'arrête pas de lui poser de questions sur tout ce qui l'entoure, il est d'une curiosité extrême comme son papa est entend obtenir les réponses a ces questions. Christian a une patience et une douceur d'ange avec lui, il prend le temps de tout lui explique en des termes simple de manière a ce qu'il comprenne, car après tout Teddy n'a que 5 ans. C'est incroyable a quel point ils peuvent ce ressembleraient tout les deux, même yeux, même couleur de cheveux, et cette été même coupe aussi, je pense en souriant. Je me remémore hier après midi quand je leurs est couper les cheveux a tout les deux. Ce fut un plus facile pour Christian que pour Teddy. Il n'a pas arrêté pas de gigoter dans tout les sens jusqu'à ce que je trouve la parade pour le faire rester tranquille. Oui, la promesse d'une sucrerie a toujours eux de bons résultats avec Teddy, sur Christian aussi d'ailleurs même s'il ne s'agit pas vraiment des même genres de gourmandises.
Mon regard ce concentre à nouveau sur lui, mon adorable mari, comme je l'aime, et de plus en plus avec les années qui passe, je pense. Cette réflexion fait bondir mon cœur dans ma poitrine et je songe un instant a ce que deviendrait ma vie si il devait m'être arraché prématurément, mon sang ce glace et tout le bien-être que j'éprouvais il y a encore 30 seconde me quitte instantanément, car malgré ces 6 dernières années de bonheur sans nuage je ne peux m'empêcher de repenser régulièrement a tout ce que nous avons du endurer pour en arriver là, et a quel point tout ceci peux être fragile si on ni prend pas garde. Ma conscience lève la tête de son livre du moment « Les Hauts du hurle vent » d'Emily Brontë, elle ôte lentement ses lunettes en demi lune, plisse les yeux et m'observe attentivement avant de lever son index et de m'adresse un « non » sévère qui ressemble a une aiguille de métronome. Est-ce que tu vas arrêter avec ses idées noire, qu'est-ce qui te prend enfin, tu vas vraiment finir par t'attirer des ennuies à force de les craindre. Cesse de t'inquiéter et profite de ton bonheur, zut. Elle a raison, je sais, mais… Tout a coup des gazouillis mêlé a des débuts de pleurent résonne dans le combiné du baby phone posé a coté de moi, m'arrachant a mon conflit intérieur et a mes pensées morose, est c'est tant mieux car je refuse de m'attarder plus longtemps sur ces idées qui s'empare de moi de plus en plus souvent ces derniers temps sans que ne n'arrive à m'expliquer pourquoi d'ailleurs. A croire que le bonheur a une date de péremption et que j'arrive bientôt à la date limite.
- Maman, je crois que notre fille réclame un de ces parents. Tu y vas, ou veux-tu que je m'en charge ?, me demande Christian sans me regarder, me ramenant définitivement à la réalité.
- Comment sais-tu que je suis réveiller ?, je glousse, sans pour autant bouger.
- Je l'sais, ricane-t-il.
- Mais comment ?
- A votre respiration Mme Grey. Je connais le corps de ma femme par cœur dois-je vous le rappeler.
- Non, Mr Grey, je le sais très bien, vous m'en faite souvent la démonstration.
- Et puis je sais bien que de temps en temps tu aime te rincer l'œil, alors je te laisse faire. D'ailleurs j'en fais tout autant de mon coté, alors je ne vais pas te le reprocher.
- Pourtant tu ne m'as pas regardé une seul fois depuis que je suis allongé, dis-je faussement vexé.
- Tu crois ?
- Oui, j'en suis sur Mr Grey, j'affirme.
- Si tu le pense, loin de moi l'idée de tant dissuadé, mais mon regard n'ai jamais loin de toi sache-le, bébé.
- Mmm.
- Et puis, qui pourrait décemment s'empêcher de regarder un corps aussi bien foutu que le tien ?
- Pervers.
- J'assume, rigole-t-il.
Je révèle alors mon visage recouvert de mon chapeau de paille et me retrouve légèrement éblouie par les rayons d'un soleil déclinant de fin de journée, ce qui me fait plisser les yeux.
- J'ai posé tes lunettes de soleil et ton paré-haut sur la banquette juste là, m'indique Christian d'un signe de tête.
- Merci, Mr Grey, vous êtes toujours au petit soin pour moi.
- Toujours Mme Grey, mais dit moi j'espère que tu n'as pas pris de coup de soleil, au quel cas je serais dans l'obligation de te passer des glaçons sur tout le corps cette nuit, sourit-il malicieux.
Je me fige. Mon corps réagis instantanément à ces mots plein de sous entendu, est un vague de plaisir m'emplis entièrement. Je décide de saisir la balle au bond.
- On verra bien, mais c'est vrai que j'ai très chaud tout à coup, Christian.
Il inspire profondément, et me sourit avec un regard plein de promesse futur. Qui c'est quels idées peuvent bien lui passé par la tête en cette instant. Je lui souris en retour sachant que je les découvriraient bien assez tôt, même si pendant ces vacances en famille Christian se montre plus sage que d'habitude, la présente a bord du Grace, de ces parents et de mon père l'y obligeant un peu, hélas pour moi. Cette pensé, me fait faire une moue de remord.
- Oh, ne vous inquiété pas Mme Grey, je peux m'occuper de vous comme vous le méritée, même de manière très silencieuse.
Et voilà, comme toujours il devine mes pensées de manière si claire, que je vais vraiment finir par croire qu'il est doté de cette faculté.
- Je l'espère bien Mr Grey, je le taquine.
- N'aillez aucune inquiétude a ce sujet, Mme Grey.
Je suis alors tirer des mes joutes verbale, par les pleures de ma fille qui ne gazouille plus du tout à présent, ah encore une autre impatiente. Je suis cernée par trois caractères autoritaires. J'attrape au vol mon paré-haut assortie a mon maillot de bain que je ceins a ma taille et mes lunettes de soleil puis me dirige a l'intérieur du bateau ou ma Phoebe Grace Ella Grey et debout dans son parc. Elle me tend ces bras, désespérait, mais je sais que la seule raison pour laquelle elle pleure sais parce que quand elle c'est réveillée elle était seul dans la pièce. Ma petite fille qui adore être le centre de toutes les attentions ne supporte pas d'être négliger. Et avec Christian qui cède à tous ces caprices, ça promet. Je m'attends à voir grandir une mini Mia.
- Alors ma chérie, c'est quoi ce gros chagrin.
- Maman, maman, m'appelle-t-elle, ses bras tendu vers moi pour que je la délivre de sa prison.
A l'instant même, ou je la prends dans mes bras ces sanglots ce calme et elle me sourit. Mon cœur fond. Je succombe à ce sourire bien familier et irrésistible, celui de mon mari adorer. Phoebe a mes yeux et mes cheveux mais le sourire c'est la copie conforme de celui de son père, et une chose est sur, tout comme lui, elle c'est parfaitement bien en joué malgré son jeune âge.
- Maman, maman, m'appelle aussi Teddy, qui a surgit dans la cabine et tire impatiemment sur mon paré-haut pour obtenir toute mon attention.
- Hé toi, je lui souris, dit moi ou est passé papa ?
- Il est au téléphone avec papi, on lève l'encre maman, me répond-t-il, le plus sérieusement et le plus naturellement du monde.
- On lève l'encre ?, je le questionne, et pourquoi ?
- Ben, parce que papi veux qu'on aille le chercher, me répond-t-il de manière évidente comme si ma question était idiote.
- Ah, d'accord, d'accord, je ris. Excuse moi, mais je n'étais pas au courant je le taquine. Bon alors je crois que tu vas échapper au bain pour heures de plus, mon petit pois.
Il rit en secouant la tête, il est ravi. Car il sait ce qui suit généralement après le bain, et mon petit homme refuse toujours d'aller ce couché tôt.
- Tu a de la chance que ce soit les vacances, canaille.
- Oui, j'sais.
Puis il me tourne le dos pour partir rejoindre Christian en courant.
- Et Teddy, ne cour pas et attends moi s'il te plait.
Je me tourne rapidement et attrape le tout petit gilet de sauvetage rouge pour le mettre a ma fille, celui que Teddy porte est jaune et bleu tout comme son maillot de bain. Ils sont si drôle avec, surtout Teddy qui a toujours ces deux mains agrippé de chaque coté du gilet. Je ne sais pas pourquoi mais quand il le porte il me fait pensée un peu a cette façon pompeuse de ce tenir, qu'avait les personnes importante a l'époque, la cage thoracique gonflé la tête haute, les mains enserrer sur les revers de leurs veste de costumes, prés a dégainé a tout moment leurs montre a gousset de la petit poche de leurs gilet prévue a cette effet. Les poche du gilet de sauvetage de mon fils eux servent surtout a caché les bonbons que Ray lui donne en cachète, enfin c'est ce qu'ils pensent tous les deux.
Nous ressortons de la cabine juste au moment ou Christian allume les moteurs du bateau, ce qui fait sursautais Phoebe qui ce blotti dans mes bras en serrant mon cou des toute ces forces. Je lui passe une main dans les cheveux et l'embrasse ce qui la rassure aussitôt.
- Là, là, ce n'ai rien ma chérie, papa va faire bouger le bateau, tu veux ?
Elle hoche la tête pour dire oui timidement, puis me sourit. Elle ce détend et desserre un peu son étreinte, mais reste malgré tout blotti contre moi.
- Christian, qu'est-ce qui ce passe ?, je croyais que tes parents nous rejoignaient ici, et qu'on ne levé l'ancre que demain matin.
- Oui, c'est ce qui était prévu, mais ils son coincé au port, le moteur du bateau pneumatique ne veux pas démarrer, et ils ne peuvent pas en louer un autre il est trop tard, alors on va passer la nuit amarrer, et puis comme ça je pourrais faire réparer le moteur tôt demain matin afin qu'on ne soit pas trop retarder pour notre départ.
- Je vois, mais on devrait attendre Ray avant de bougé, il ne va pas nous retrouver sinon.
- Ne t'inquiète pas je l'ai eu au téléphone, il est plus près du port que de nous alors il nous attend là-bas.
- Super, en route alors.
Christian commence à faire bouger le bateau.
- A tribord toute moussaillon, dit-il d'une grosse voix à l'attention de Teddy en lui tendant les bras pour qui grimpe sur ses genoux.
- Oui, papa, s'écrit Teddy en ce précipitant dans sa direction, a tribord toute.
- Alors, Teddy, pour aller a tribord on tourne la barre de quel coté moussaillon, l'interroge Christian.
- A droite Papa, à droite.
- Tu es sur moussaillon ?
- Oui papa.
- Bravo, mon fils, dit-il fièrement en lui ébouriffant les cheveux, alors c'est parti on tourne la barre à droite ensemble à un, deux, trois.
Les sourcilles de teddy ce fronce, mon petit homme est sérieux et très concentré sur ce qu'il fait. A le voir on croirait vraiment que c'est lui qui dirige le bateau, d'ailleurs je suis sur qu'il en est persuadé. Je m'assoie sur la banquette au coté de Christian, nos regards ce croisent et s'accrochent en un instant, il se penche alors vers moi, me chuchote dans le cou un « je t'aime », puis m'embrasse la gorge. Je glousse, chatouiller.
- Regarde un peu devant toi tu veux, je le taquine en tentent de le repousser d'un geste affectueux avec mon coude.
Il ne ce recule pas pour autant et toujours contre mon cou m'averti affectueusement, « aille, vous ne perdez rien pour attendre, Mme Grey », avant de ce redresser et d'ajouter d'une haute voix rieuse.
- Ce n'est pas a moi qu'il faut dire ça, mais à Teddy, c'est lui qui pilote, m'est-ce pas mon fils.
- Oui, papa, lui répond ce dernier fièrement.
- Tu voix, me sourit-il en m'adressant un clin d'œil.
Je rentre dans son jeu.
- C'est vrai Teddy, c'est bien toi qui conduit ce gros bateau, c'est très impressionnant dit donc.
- Oui, j'sais, ce contente-t-il de répondre en osant les épaules. Mais papa m'a bien apprit, pas vrai papa ?
- Absolument moussaillon, est je compte sur toi pour nous amenais a bon port, d'accord.
- Mmm, ce contente de dire Teddy.
- C'est bien ton fils, s'esclaffe Christian en l'entendant répondre du bout des lèvres.
- Notre fils, je le corrige, je ne crois pas qu'il tienne une telle assurance de sa mère.
- Je te trouve très sur de toi, mon amour.
- Oui, si tu le dit, ris-je.
- Je le dit, affirme-t-il, tu es aussi très intelligente, très douce, très attentionné, très belle…, la liste et interminable Mme Grey.
C'est à ce moment là, que Phoebe donne un petit coup sur le bras de son père, afin de se rappeler a son bon plaisir.
- Papa, papa, braille-t-elle vexé.
- Oui, ma chérie, dit Christian en reportant toute son attention sur sa fille, toi aussi tu es déjà très belle, ma petit princesse et je sais d'avance que tu as hérité de toute les qualités de maman. Tu feras de grande chose ma fille.
Pour réponse Phoebe lui sourit et je ris.
- Armé du caractère de son père je n'en doute pas une seule seconde.
Christian sourit, embrasse affectueusement sa fille sur le front, et moi a pleine bouche, me laissant complètement hors d'haleine. Une fois sont étreinte relâcher je ne peux que soupirer d'aise. Christian exquise un sourire face à ma réaction béate puis reporte son attention sur le tableau de bord et corriger légèrement la direction en mettant la main sur celle de Teddy pour tourner légèrement la barre. Je laisse tomber ma tête sur son épaule et plonge mon regard sur l'océan qui s'étant a perte de vue devant moi.
