THE LAST WEAPON :
The Dark Wizard
Auteur : Koni-chan
Genre : Romance, ténèbres, folie, étincelle,…Tout ce que vous voulez quoi !
Disclaimer : Le célèbre Harry Potter, sa bande d'amis courageux, son école fabuleuse, ses professeurs des plus drôles, ainsi que tous ses méchants petits bonshommes (vise Vous-savez-qui) appartient légalement à J.K. Rowling. Mais le personnage de Thaddée ainsi que son histoire et ces liens avec les personnages m'appartient tout comme Albertine Miken, Pierre Placide, Daisy Tinkeldown, Zacharie et d'autres encore qui feront leur apparition.
Note : Bien le bonjour !
Vous tenez ici, sur votre écran, ma première fic d'Harry Potter. (jubilation discrète) Depuis le temps que j'en rêvais ! Mais avec tout ce que me prenais mes autres fics et les devoirs…Ce fut dur de trouver le temps d'écrire cette histoire, qui n'en n'ait pas vraiment une. Car en fait, la seule que j'ai réalisé, c'est d'ajouter un personnage dans le scénario afin de compliquer encore plus les choses.
L'histoire commence donc en cinquième année à Poudlard et j'essaierais, (notez que j'ai dit essayer) de raccourcir quand même cette histoire. Parce que j'ai pas vraiment envie d'écrire 100 chapitres…Alors voilà, j'ai rajouté un petit prologue histoire que vous soyez bien plongez dans le bain de mon écriture fastidieuse…
Note Bis : Ceci est une fiction vieille de six ans que j'ai corrigé et réécrite. Je le fais à la demande de ma petite sœur. On verra si vous aimez. Le but est surtout de faire plaisir à ma sœur, donc je n'espère pas grand chose. Anyway, enjoy !
Prologue :
Les gouttes de sang coulaient doucement le long du visage aussi blanc que la mort. Au dehors, la pluie continuait de tomber, résonnant dans un bruit macabre. La pièce ravagée faisait penser à un grand capharnaüm, mais on reconnaissait distinctement des signes de combat. Chaises, meubles, objets de décorations avaient étés renversé sans scrupule sur le sol et fracassés. D'étranges taches sombres s'étalaient sur le mur, ressemblant à du sang coagulé, frappant de contraste avec la couleur paille du papier peint. Sur le sol, deux corps étaient étendus. L'un était une femme qui avait la bouche ouverte, comme en un grand cri et les yeux exorbités. Sa chemise d'une blancheur étincelante était recouverte d'un rouge profond et sombre qui n'avait rien avoir avec le tissu. L'autre cadavre était un homme, étalé les bras en croix, les yeux clos, sa gorge était ouverte et beaucoup de sang s'en échappait encore. Il avait également perdu une main…
Au beau milieu de la pièce se tenait une ombre informe. Elle n'avait aucune arme en main, juste ses mains longues et blanches, ressemblant à de grandes araignées. Le visage recouvert par ses longs cheveux d'un noir de jais, on ne distinguait pas ses traits, juste ce sourire terrifiant, comme imprimé sur ces lèvres. Il s'agissait d'une fille, sans aucun doute, car son corps, vêtu d'un long manteau noir pendant jusqu'au sol laissait entrevoir ses jambes et une jupe blanche arrivant à hauteur des genoux, pleine de dentelles.
Soudain, elle rejeta la tête en arrière et partit d'un rire démentiel, d'une cruauté sans faille. Lorsque son rire s'arrêta, elle gardait toujours ce sourire malveillant, et ses yeux brillaient d'une lueur rouge, dévastatrice.
Brusquement, une autre silhouette apparut derrière elle. La jeune fille se retourna vivement, prête à l'attaque, mais lorsqu'elle vit la personne, elle s'arrêta nette, comme médusée. En face d'elle, un homme d'une pâleur égale à la sienne la surplombait et lui souriait. Ses yeux rouges coupés par une pupille verticale semblaient, non pas la fixer, mais la disséquer. Ses narines n'étaient que deux fentes, à la manière des serpents, et il avait des mains identiques à la meurtrière.
Ils se regardèrent longuement sans échanger un mot, puis l'homme, vêtu d'une longue robe noire lui tendit la main. La fille l'a pris résolument, sans quitter l'homme des yeux. Et celui-ci demanda :
-Ton nom ?
-Thaddée, répondit la fille d'une voix âpre.
Le sourire de l'homme s'élargit encore :
-J'aurais dû m'en douter…
Il regarda les alentours et parut satisfait. Sa voix aiguë et cruelle s'éleva à nouveau dans l'air glacial de la pièce sans lumière :
-Sans baguette qui plus est…
La jeune fille sourit sadiquement. L'homme lui rendit son effroyable sourire.
Et ils disparurent brusquement…
Voilà un prologue très sombre. Tout a fait mon genre. Bien, on se retrouve dans le chapitre premier du nom ! )
