SDK ne m'appartient pas.
Bonjour, Bonsoir à tous! Je reviens avec une nouvelle histoire qui trottait dans ma petite tête depuis plusieurs jours.
Cette fois cela sera différent parce que je le fais seule, sans correctrice ni d'aide venant de l'extérieur. J'espère que vous allez aimer et toi aussi ma petite Béta lectrice, surtout toi, regard les progrès que j'ai fais !
Bye bye !
Et bonne lecture
Chapitre 1 : La sans nom, La renarde et La veuve noire
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Dans la nuit noire au plus profond des ténèbres, une ombre bouge dans un musée, lieu où les œuvres d'arts dorment en paix. Or cette nuit là ils furent réveillés par un voleur ou plutôt par une voleuse, faisant des gestes précis pour pouvoir chaparder un objet de grande valeur. Toujours ces mêmes gestes, les mêmes depuis qu'elle avait commencé sa carrière dans le banditisme. La cambrioleuse vola encore un objet rarissime, encore une fois les gardiens avait faillit à leurs rondes. Encore une fois les policiers étaient impuissants face à se chaos.
C'est sous le bruit assourdissant de l'alarme que cette brillante femme s'enfuit avec son butin.
Un peu plus loin de la scène du crime deux silhouettes s'impatientaient.
La voleuse sortie de l'ombre avec un sac à la main, elle s'avança vers ses complices.
« Tu en a mis tu temps ! » S'énerva l'un d'eux
« M'énerve pas, chacun son domaine. Je viens pas te faire chier quand tu es avec tes contacts » Rétorqua vivement la voleuse qui ria niaisement pour la forme.
« Tu. . » Commençait le compagnon mais qui fut coupé par une douce voix.
« Ca suffit vous deux ! On dirait de vrai gosse ! Dépêchons nous les flics rappliquent » Disait-elle en entrant dans une belle BMW M5 E60 de couleur encre tout comme se résumaient leurs vies, toujours dans les ténèbres.
Une fois que tout le monde fut dans le bolide ce dernier démarra en trombe sous la contrariété de la voleuse.
« Doucement Mahiro ! Tu vas nous faire repérer ! »
« Ouais ! Et d'autant plus que tu n'es pas sur un de tes jeux vidéo à la con » Ajoutait l'autre voix.
« Ne me dites pas que vous avez peur les filles ? » s'amusait Mahiro sous les regards assassins de ses deux compagnes.
Dans un autre lieu
« Monsieur ! » Interpella un jeune policier à son supérieur.
« Quoi ? » Répondit brusquement ce dernier qui semblait de très mauvaise humeur.
« . . Euh. . Nous n'avons rien trouvé pas d'empreinte même pas un cheveu et les caméras de surveillance ont grillé à cause d'une surtension due au générateur qui s'est emballé. . » Bégayait l'apprentis.
« Je vois. . . Il a encore frappé, même procédé, ça ne peut qu'être lui. L'enfoiré un jour je l'aurais ! » S'énervait l'homme.
« Yo ! Tigre Rouge ! » Interpella une voix.
L'homme se retourna et vit avec horreur un acolyte de ce Sanada, un jeune garçon âgé a peine de 16 ans, de petite taille mais il ne faut jamais se fier aux apparences car il manie le sabre comme personne. Il avait un visage d'ange mais sous qui cachait un démon, l'inspecteur se méfiait de lui comme de la peste.
« Qu'est ce que tu veux Sasuke ? Je suis occupé » Demandait Tigre rouge d'un ton impassible.
« J'ai à te parler, j'ai un message de la part de Yukimura, viens suis moi » Affirma le jeune homme qui s'engouffra au fin fond de la nuit suivit de près par Tigre rouge.
« Enfin à la maison ! Je vais prendre un bain, rien ne vaut un bain pour une femme ! » Articula de sa plus belle voix Okuni ou la renarde son nom de code dans le réseau d'information qu'elle avait elle-même crée au sein de Tokyo.
Elle était désirée par tant de mafieux car s'il se passait quelque chose dans la ville-monde elle en serait informait dans les minutes qui suivent. De plus grâce a son charme légendaire elle avait réussit à séduire des policiers d'où des informations plus que fiables. On pouvait toujours compter sur elle. Elle était une grande et belle femme brune avec des lèvres pulpeuses et un regard intense, elle était la plus belle du groupe, c'est ce qu'elle pensait.
« Oui, je suis d'accord avec toi ! Je vais en prendre un aussi » Répondit gaiement Mahiro ou la veuve noire son nom de code dans le monde des pirates informatiques, grâce à elle aucun code ni système de sécurité moderne ne pouvait l'arrêter, la veuve noire trouvait toujours une parade à ses ennemis virtuels. Mahiro aimait deux choses dans la vie les araignées et tout ce qui est en relation avec les jeux vidéo. C'était une petite femme tout mignonne avec ses cheveux bruns frisés qui ondulaient en parfaite harmonie sur ses petites épaules.
« Je vois, je suis bonne pour tout ranger ? » soupira Yuya ou la sans nom, la voleuse du groupe n'aimait pas vraiment être populaire auprès des mafieux alors elle se donna aucun surnom d'où son pseudonyme. Qu'elle paradoxe. Jeune femme blonde avec des yeux d'un vert émeraude à fort caractère qui parfois pouvait en énerver plus d'un ce qui décourageait les prétendants les plus frivoles.
« Bien sûr Yuya n'oublie pas que tu es une femme de terrain » ironisait Mahiro qui trouva vite le soutien de Okuni.
Yuya soupira pour la forme et commença à ranger les gadgets qu'elle avait utilisés quelques heures auparavant.
Pendant se temps Mahiro et Okuni allèrent prendre un bain dans le Onsen privé qu'elles possédaient.
En faite toutes les trois vivaient dans un immense immeuble où elles exploitaient un Onsen, leur couverture.
Chacune des trois femmes occupaient leur propre étage, Le bain public étant au rez-de-chaussée Okuni occupait le second, Mahiro le troisième et le dernier était celui de Yuya qui était séparé par deux étages dont l'un était inoccupé.
Même si elles étaient amies et collègues de longue date elles avaient besoin de leur intimité surtout Okuni qui ramenait sans cesse ses amants malgré les reproches de Yuya.
Après avoir tout rangé Yuya repartis vers ses appartements, elle trouva sur le pallier de sa porte une enveloppe. Elle ouvrit malgré l'envie de se coucher épuisés par l'effort du cambriolage et déchiffra les quelques mots qui étaient inscrits.
« Va dormir Princesse du crime, car nous avons une nouvelle cible ! L'acheteur peut nous en donner un bon prix et comme je sais que tu aimes l'argent . Bonne nuit
Okuni »
« Mouais on verra ça demain ! Et arrête avec ce surnom débile !» Dit-elle d'une petite voix avant de refermer sa porte et de s'écrouler dans son immense lit, ce soir encore elle dormirait sans lui.
Une chambre, un immense lit et une jeune femme blonde endormit tel est la scène que voyait Mahiro. Cette dernière s'approcha doucement de son amie qui n'était vêtu que d'une chemise d'homme, sûrement « ça » chemise. Elle continua son approche furtive et approcha lentement ses mains du visage de la belle endormit. Au moment où ses douces mains allèrent rentrer au contact de la peau lisse de la blonde celle-ci pointa un 9 millimètres sur la tempe de la brune et lui murmura.
« Tu es trop bruyante ! ».
Mahiro reculât en soupirant.
« Tu auras pu me tuer !. . . » Mais sa bonne humeur reprit vite le dessus « Bon je te pardonne parce que je suis de bonne humeur je dois aller voir mon inspecteur préféré. Okuni te cherche elle à quelque chose d'important à te dire. Sur ce, Salut » Puis elle disparut derrière la porte de la chambre.
Yuya regarda son réveil qui affichait midi passé. Après plusieurs minutes de réflexion elle se leva prit une douche et s'habilla simplement, d'un jean moulant, d'un débardeur rouge avec « son » médaillon et « sa » chemise qui portait encore son odeur. Il lui manquait. Son absence causait un grand vide dans sa vie, que la jeune femme comblait tant bien que mal avec le maniement d'armes à feu et le vol d'œuvres d'art.
Puis elle descendit en direction du Onsen plus particulièrement d'une pièce qui faisait office de cuisine et de salle à manger réservée aux habitantes de l'immeuble.
« Vous aviez vraiment soif ! Pauvres fleurs ! . . . Je. . » Dit une voix mais qui fut coupé par l'entré de Yuya plutôt par le bruit de son estomac qui criait famine.
« Bonjour Yuya, bien dormit ? Je vais préparer quelque chose à te mettre sous la dent, installe toi ! » Répondit une belle demoiselle blonde dont les cheveux s'arrêtèrent à mi chemin entre ses jambe et ses petites fesses. Elle était d'une beauté renversante, mais ce qui était gâché par ses habits un peu trop masculins.
« Merci Tokito. Tu sais où se trouve Okuni ? » Demandait Yuya en se posant sur une chaise devant une table sale qui traduisait le passage de ses compagnes.
« Je crois qu'elle est sortie, je pense qu'elle a de nouveaux renseignements sur votre prochain employeur » Rétorqua la jeune femme tout en préparant le repas de l'affamé.
« Je t'ai déjà répété que tu devais rester en dehors de nos activité nocturnes ! Chacun doit rester à sa place ! » S'énerva la voleuse qui semblait d'un coup épuisée par le comportement de Tokito.
« Je suis désolée » Murmura la cuisinière qui espérait qu'un simple désolé était suffisant pour sa patronne.
« Ecoute, ce n'est pas parce que tu es au courant de notre double vie que tu peux t'immiscer comme ça ! Nous pouvons à tout moment être tué ou aller en prison et je ne pense pas que ton frère soit heureux d'apprendre que j'ai faillit à ça requête. Tu nous es utile au Onsen, tu es notre couverture ne l'oublie pas ! Sans toi nous serions vulnérable au moindre danger. » Termina la voleuse, qui but une longue gorgé d'eau, épuisé par des paroles qu'elle avait répété maintes et maintes fois.
A ces mots Tokito sourie car elle se sentait utile. Encore une fois Yuya l'avait encouragé. Même si elle était dans l'ombre des autres femmes elle était un point très important au bon fonctionnement des opérations.
Après être repue, Yuya se leva en remerciant brièvement la jeune fille blonde.
« Où va-tu ? » Interpella cette dernière avant que la silhouette de Yuya disparaisse.
« A ton avis ? » Répondit une voix qui résonnait dans la tête de Tokito qui soupira en pensant qu'un jour elle finirait par se tuer.
A suivre. . .
