Assassin

Titre original : "Assassin"

de Brwneyedgrl

traduit par The-misery

Note de l'auteur : A lire, s'il vous plait - Je n'ai pas l'intention de préciser tout ça avant chaque chapitre, donc je vais le faire pour celui-là. Ces personnages ne m'appartiennent pas, ils appartiennent à Stephenie Meyer car elle est la seule à avoir écrit Fascination et Tentation.

Note de la traductrice : Me revoilà comme promis avec une nouvelle traduction de fic de Brwneyedgrl. J'espère que cette fic sera autant à votre goût que la précédente du même auteur (Amnesie). Bonne lecture. Ah, au fait, je tiens à préciser que l'auteur n'écrit pas vraiment régulièrement, donc ne vous attendez pas à une édition trop rapide. Pour le moment, il y a 10 chapitres dans cette fic.

Je n'arrivais pas à croire ce qu'il était en train de se passer, ils étaient arrivés trop tôt, nous avions pensé avoir plus de temps. Mais ils étaient là à présent, le jour de mon bac et je n'étais toujours pas transformée.

"Non s'il te plait, laisse les tranquille, ne les blesse pas, c'est ma faute, pas la leur." Edward me soutenait avec sa poigne de fer, je ne pouvais plus bouger, mais je continuai de lutter. Je ne laisserai pas les Cullen mourir par ma faute.

"Bella, chuut, s'il te plait, tais-toi" chuchota Edward dans mon oreille. La peur était audible dans sa voix. Nous ne nous étions pas séparés pour ça. Alice avait eu une vision seulement vingt minutes avant leur arrivée.

"A présent, ma chère Bella, ne t'en veux pas, tu ne peux pas te transformer toi-même" dit Aro d'une voix qu'il voulait paternelle.

"Je ne les ai pas laissé me transformer, ils le voulaient, mais je leur en ai empêché !" Je faisais mon possible pour mentir, mais je n'étais pas douée pour ça.

"Tu mens vraiment très mal, ma chère ; à présent, laisse moi m'entretenir avec les adultes" dit Aro en conservant cette horrible impression paternelle. "Carlisle, nous sommes amis depuis bien longtemps et je suis vraiment désolé d'avoir à faire ça, mais votre cher fils Edward ici présent m'avait donné sa parole."

"Oui, vous avez raison Aro, Edward vous avait donné sa parole et nous avions prévu de la transformer ce soir. Donc vous voyez, il n'y a aucune raison pour que quelqu'un meure. Si vous voulez, vous pouvez rester regarder la transformation." dit Carlisle d'un voix calme.

Edward grogna derrière moi ; Jasper tenta de calmer la situation en diffusant une atmosphère détendue, et Emmett faisait craquer ses articulations.

"Oh j'espère que ce soit aussi simple, mais après, qu'en penserons les autres ? Jane, Felix, Caius, j'aurais vraiment besoin de votre aide maintenant." dit Aro en se tournant vers ses gardes avec un sourire.

Jane porta son attention sur Emmett et il s'écroula par terre, hurlant de douleur. Rosalie sauta vers lui, mais Caius l'attrappa et la défenestra, j'entendis un arbre craquer et je ne vis pas réapparaître Rosalie. Felix courait après Alice, mais Jasper l'attrappa et l'entraîna hors de la trajectoire de Felix. Pendant ce temps, Caius avait commencé un combat avec Carlisle et Esmée, et Alice et Jasper débutaient un combat avec Felix.

Je sentis ensuite mon ange se séparer de moi. Aro l'avait attrappé et commençait à le mettre en morceaux. Même si Aro paraissait plus faible qu'Edward, il était en train de réduire mon amour en pièces.

"Non ! S'il vous plait stop !" criai-je en sanglottant. J'essayai de frapper Aro et de l'éloigner d'Edward, mais évidemment j'étais comme un moustique essayant de nuire à un singe. "Si vous les laissez tranquille, je partirai avec vous et ferai tout ce que vous voudrez, laissez-les juste tranquille !" Je ne pourrai pas laisser mon amour et sa famille mourir pour moi, je ferai n'importe quoi pour stopper ce massacre.

"Absolument tout, ma chère ?" dit Aro, stoppant son assaut sur Edward.

"Non, Bella !" murmura Edward. Je voyais qu'il luttait pour parler et il ne pouvait pas bouger. J'eus alors une fraîche vague de larmes. Je devais arrêter de le regarder pour éviter son regard.

"Tout ce que vous voudrez, laissez-les juste tranquille. N'essayez pas de revenir les tuer et je ferai ce que vous voudrez."

"Bella, tu es vraiment l'humaine la plus stupéfiante que j'ai jamais rencontré. Tu as un marché ; je serai même raisonable et te laisserai dire au revoir."

Je m'élançai vers Edward, posai sa tête sur mes genoux et caressai ses cheveux. "Bella, qu'est-ce que tu es en train de faire ?"

"Je vous sauve, toi et ta famille."

"Non, Bella, ça n'en vaut pas la peine."

"Crois-tu que je pourrai vivre si tu meurs à cause de moi ?" Il m'entraîna vers le sol et m'enlaça dans sa poitrine. Je levai la tête vers ses yeux topazes et y vis beaucoup de tristesse.

"Je suis désolé ; je trouverai un moyen de te ramener. Je n'arrêterai jamais avant de t'avoir arrachée à eux."

"Non Edward, tu ne peux pas. Il a promis de ne pas vous combattre de nouveau ; je ne peux pas les emêcher de vous chasser si vous les poursuivez. S'il te plaît, ne fais pas en sorte que je me sacrifie en vain."

"Je trouverai un moyen, même si ça prend une éternité, je t'aime Bella, tu es mon ange."

"Je t'aime, Edward et je t'aimerai toujours. S'il te plait, promets moi de ne rien faire de stupide."

"Ma chère Bella, il est temps de partir. Caius, Jane, Felix, fini de jouer, il est temps de partir." dit Aro avec un sourire. Je donnai à Edward un dernier baiser passioné qui pourrait bien être le dernier avant une éternité et me dégageai de ses bras frais.

Je regardai autour de moi la destruction que j'avais causé. Emmett soutenait Rosalie. Jasper retenait Alice qui voulait se ruer sur moi et Esmée et Emmett étaient étendus par terre et essayaient de se relever. Cette famille avait été bonne envers moi et m'avait aimée, même Rosalie à sa façon et je leur avais causé ça, parce que j'avais trouvé géniale l'idée de sauter de la falaise. Je jetai un dernier regard sur mon Edward. Je savais qu'il aurait voulu se ruer vers moi et continuer à se battre s'il avait eu la force de se lever. "Je suis désolée, je vous aime tous, je t'aime Edward." dis-je avant que Caius me prennent sur son dos et commence à courir.

Note de l'auteur : Alors, qu'en avez-vous pensé ? Je ne sais pas quoi en penser moi-même ; j'étais d'une humeur étrange aujourd'hui et j'ai commencé à écrire ceci. S'il vous plait, dites-moi ce que vous en pensez.

Note de la traductrice : Ma foi, c'est un excellent début, vous ne trouvez pas ?