Je croit que j'ai enfin réussi à créer un monde qui me ressemble...C'est pas énorme sorry... Alors bienvenu et bonne lecture.

Ah oui, tout ai à la vénérable J.K Rowling sauf l'histoire. Encore heureux !


Je n'ai jamais sût si tu étais encore vivant... Je me souvient juste de la pâleur de ton corps sur le sol, le sang sur les murs, et l'odeur nauséabonde de mort qu'il régnai. J'ai juste voulut oublier, tout effacer comme si rien ne c'était passé. Mais ça a eu lieu, et ça je ne pourrai jamais te le pardonner.
Au fond c'était juste une destruction mutuel... Et tu as gagné


Une jeune fille était là sur le bitume, assise sur le trottoir regardant les voitures défiler, ses longs cheveux bruns s'entremêlaient avec le vent. Elle inspira une grande bouffé de sa cigarette presque consumé, et la jeta en se leva avec désinvolture. Son sac à la main elle marche sans faire vraiment attention à ce qui l'entoure. Elle suit une ligne imaginaire, ne levant pas la tête trop avide de la contempler.

Ses escarpins claquaient sur la route goudronnée, elle appelle un taxi, s'engouffre dans la voiture. Elle posa sa tête sur l'accoudoir, et ferme les yeux. Mais le chauffeur lui demanda sa destination. Sans lui prêter attention elle murmura. "Le chaudron Baveur." Le conducteur la regarda surpris, et se lança dans sa course. Elle voyait les paysages défilés: les rue de Londres et leurs passants idiots. Elle perdit le fil et sans s'en rendre compte elle arriva, paya et descendit.

La jeune fille pris une grande bouffé d'air avant de poussé la porte. Elle entra réticente. Tout le monde la regarda surpris comme si il avaient vu un fantôme ce qui était un peu le cas. Un client s'étouffa avec son Whisky-pur-Feu. Des murmures sourds prirent la salle. La belle brune salua le barman, et se dirigea vers le chemin de traverse. La rue était bondée, des rires, des cris, des voix, le chemin n'était plus comme pendant les années noires, il était vivant. Elle trottinait ne voulant pas attirer l'attention.

Elle arriva devant une boutique immense avec une plaque où il était écrit: "Weasley, Farces pour sorciers facétieux". La brunette poussa tremblotante la porte. Et s'avança d'un pas peu assuré vers la caisse. Elle enleva ses lunettes. Le roux qui était en face d'elle devient blême. il eu un hoquet de surprise. Elle le regarda dans le blanc des yeux. Il crût apercevoir une larme couler sur ses joues. Il lui caressa tendrement ses pommettes de la main enlevant par la même occasion toute trace de pleur.

"Fred, est ce que tu..."

Le jeune homme qui venait d'entrer coupa sa phrase en plein milieu par la surprise. il n'en croyais pas ses yeux. Non, elle n'était donc pas morte. La jeune fille se tourna vers le garçon est se blottis dans ses bras, bientôt rejoint par le deuxième jumeau. Personne ne sais combien de temps il sont resté là, enlacé. George regarda la jeune fille d'un air sévère et enfin lui demanda la question qui leurs brulait les lèvres:

"Qu'est ce qui t'es arrivée ? Tout le monde te croit morte... Et Harry tu devrais le voir...»

La jeune femme pris d'un sursaut et en un mouvement de recule, lassa la colère l'emporté avec ses larmes muette depuis bien trop longtemps.

"Ne me parle pas de ce connard ! Va lui demandé à lui ce qui m'a prit "

Son corps encore secoué par les sanglots, elle sécha ses larmes d'un geste colérique. Pourquoi était-elle si désarçonné d'entendre ce nom qu'elle avait si longtemps côtoyé? Ses jambes fléchirent elle s'écroula au milieu des clients aveuglent. Fred la pris dans ses bras, la portant vers leur appartement situé en haut de la boutique. La brunette se cramponna a lui comme si elle avait peur qu'il lui échappe, l'abandonne. Mais trop tard pour que cela ne soit jamais arrivé, oui elle avait peur, une peur sourde qui l'a déjà détruite.

George les suivit de peu, après avoir dit à un employé de s'occuper de la boutique. Il voulait savoir pourquoi celle qu'il admirait pour son talent et son courage avait disparus de la circulation pendant six ans. Mais il se doutait que la raison ne serait pas douce pour lui et les autres que cela les détruirait. Mais ce qu'il ne se doutait pas c'était à quel point il avait raison...

La jeune fille pleurait encore dans les bras de Fred, voulant exorciser cette souffrance qu'elle avait en elle depuis bien trop longtemps. Peu à peu elle s'endormit bercé par les battements du cœur du jumeau, dans un sommeille sans rêve, paisible et toujours aussi magnifique.

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Vous voulez le nom de cette enfant brisé par des douleurs enfouies ? Bien sur que vous le voulez pousser par ce sadisme malsain. Et bien répétez-vous de ses maux, elle s'appelle Hermione Granger et ses démons ne sont au fond que les vôtres...