Oyez Oyez braves gens. Voici un petit moment déjà que le premier chapitre de cette fanfic traîne sur mon pc. C'est encore une school fic, je l'avoue. Mais elle ne sera pas véritablement joyeuse comme celle que j'avais déjà écrite. Elle relate plus de l'univers sombre et incompris de l'adolescence. Le tout dans la peau de nos chers protagonistes de Kingdom Hearts.
Comme vous l'aurez sans doute devinez au résumé, c'est un genderbend. Autrement dit, Axel est une fille. Mais pas n'importe quelle fille.
Allez, j'espère que ça vous plaira. N'hésitez pas à me laisser des reviews ! Bisouilles !
Chapitre 1 :
Fatigué, j'attrapai mon dernier carton sans grande conviction. Hasardant un regard vers ma chambre entièrement vide, je ne pus retenir un soupir. Je pensais sincèrement que tout cela allait me manquer. Tout ce qui me faisait me sentir chez moi. Que ce soit les affiches sur ces murs redevenus bien trop blancs, le matelas à même le sol, ou mes vêtements dans la penderie. Toutes ces petites choses que l'on ne remarque que lorsqu'on ne peut plus les atteindre. Pourquoi avait il fallut que je déménage ? Que je parte ? Pour les études. Pour des études que je n'allais faire que loin. Parce que ma famille voulait partir. Pour le changement. Parce que c'était devenu compliqué depuis quelques temps pour des raisons qui m'échappaient. Alors j'en étais à remballer mes affaires comme des paquets à sortir à Noël.
Poussant ma porte, je baissai les yeux avant de m'engouffrer dans le couloir. Ma maison avait toujours été petite. Petite mais suffisante pour ma petite mais suffisante famille. Je m'y étais toujours sentie à l'aise. Elle était confortable, chaleureuse, bien placée entre quatre grands terrains d'herbe, à la frontière d'un bois et d'un village. Mais rien n'avait le droit d'être simple. J'y avais toujours vécu, ici. Mais je savais aussi que je n'aurais pas pu y rester éternellement. Je m'étais fait à cette idée, mais je ne m'attendais pas à devoir partir avant la vingtaine. Après avoir quitter le lycée, au moins. Là, j'allais juste le quitter pour un autre.
On me disait que la ville était un endroit bien plus merveilleux. Que je me plairais rapidement dans cette capitale bondée de visages. L'odeur, la noirceur des buildings, tout ça ce n'est pas grand chose. Importe uniquement la verdure des parcs publics et les sourires des filles sur les trottoirs. Bien que je ne partage pas vraiment cette opinion, il allait bien falloir m'y résoudre. Paris, c'était bien loin de là. Bien plus froid, également. Je me demandais comment j'allais y vivre l'hiver.
Secouant la tête, je passai ma porte d'entrée pour la dernière fois, mon carton lourd sous les bras. Des livres, me semble-t-il. Dehors, un énorme soleil brillait déjà malgré l'heure matinale. J'avais une journée de voyage pour le voir partir. Elle allait sans doute me paraître bien longue et maussade.
- Viens mettre ça dans le coffre.
Hochant la tête avant d'adresser un regard à ma mère, je portai mon carton jusqu'au coffre de notre voiture. Les dernières choses que nous avions à transporter étaient là, tassées au fond de ce coffre de voiture, à n'attendre que des mains pour les déloger. Absent, je baissai les yeux vers le goudron. Le vieux goudron abîmé de la route de chez moi. Je m'étais toujours amusé à lui donner ce nom là. Et l'autre, comment allais-je le nommer ? A moins que ce ne soit des rails de métro et plus un vieux goudron mal entretenu.
Tournant enfin les talons, je jetai un coup d'oeil à mes parents. Je ne pouvais pas partir sans avoir dit au revoir. Cela aurait été bien mal poli de ma part. Et cela m'aurait fait grand mal. De toute façon, il n'était pas nécessaire que je marche beaucoup. La porte de la maison d'en face s'ouvrit bien vite, laissant s'échapper une tornade blonde. Tristement, je souris à sa vue. La jeune fille gravit lentement les marches de sa porte avant de se poser devant moi. Depuis des mois, elle savait que je partais aujourd'hui. Alors depuis des mois, elle devait se préparer à ne pas pleurer.
- Je suppose qu'on ne se verra pas avant un long moment, toi et moi ?se hasarda-t-elle après avoir lentement relever les yeux vers moi.
- Il semblerait, Naminé, soupirai-je en fourrant mes mains dans mes poches.
La petite blonde esquissa un semblant de sourire avant de croiser les mains dans son dos. Pour la première fois depuis dix sept ans, je n'allais pas me coucher en la voyant depuis ma fenêtre de chambre tirer son grand rideau.
- Alors préviens moi dès que tu reviens, murmura-t-elle doucement.
Je hochai la tête, et plus aucun de nous deux ne parla. Ça, c'était l'avantage avec Naminé. Elle ne s'attardait pas. Elle était en tout point l'image de la jolie blonde en robe légère des vieux films, armée d'un sourire si doux qu'il en était enfantin. Elle m'était réellement chère, et me confondre en au revoir devant elle aurait été carrément absurde. Je la connaissais depuis tellement d'année que je la savais comme moi. Tellement calme et honnête qu'il n'était pas utile de parler pour la comprendre. La petite sœur que je n'avais jamais eu. C'est à elle que j'ai tout de suite penser quand j'ai su que j'allais quitter le Sud. A la petite et adorable Naminé.
- Roxas !
L'interpellation de mon père me fit tourner la tête. Expirant bruyamment, je relevai vers Naminé des yeux résignés. Voilà, je partais. Point. La saisissant à bout de bras, je fis trembler ses frêles épaules pour lui plaquer deux baisers sur les joues. La voyant sourire, je pus me retourner sans trop de peine. Je voulais simplement qu'elle ne soit pas trop triste.
- N'oublies pas que...tu peux m'appeler, m'interpella Naminé une dernière fois, la main serrée près du visage.
Un sourire naquit sur mes lèvres alors que je me tournais de nouveau vers elle.
- Bien sûr, promis-je.
J'oubliais rarement ce que je promettais, pour ainsi dire jamais. Et il y avait encore moins de chance pour que cela arrive quand il s'agissait de Naminé.
Me tournant définitivement, je rejoignis en quelques pas la voiture de mes parents, pleine à craquer et fin prête pour le voyage. Un trop long voyage à mon goût. Je n'avais jamais vraiment aimé les transports, sauf quand il s'agissait de train. Enfin, je n'avais pas trop le choix. Ma mère m'accueillit avec un bref sourire timide, avant de m'ouvrir la portière pour la claquer ensuite. Ma mère était un peu comme moi, calme et discrète. Elle ne parlait que lorsqu'elle le devait, et ne s'attardait que très rarement sur des détails inutiles. Bien blonde, elle me ressemblait en tout point.
Entre ouvrant ma fenêtre, je ne pus retenir un dernier regard vers mon ancienne demeure. Et celle de mon amie. De ma meilleur amie. Elle était toujours sur le seuil de sa porte, à me regarder la regarder s'éloigner au fur et à mesure que nous commencions à avancer. Allumant mon téléphone, je souris à la vue de mon fond d'écran. Naminé, le visage caché derrière l'appareil photo dont elle se servait pour me photographier au moment même où je la prenais en photo. De beaux souvenirs, ici comme toujours. Et ensembles.
Qu'allais-je bien pouvoir trouver dans ma nouvelle ville ? Et mon nouveau lycée ? Une bande de jeune auto proclamés leaders d'une classe de pétasses sur maquillées et décolorées à l'eau de Javel, un intello maltraité et quelques rares personnes normales parmi les cancres traînant des pieds jusqu'à leur salle de classe. J'espérais fortement ne pas tomber sur ce genre d'établissement. Jusque là, j'étais toujours à peu près bien tombé, dans des classes à peu près normales. Et je m'étais toujours tenu à l'écart de manière à éviter les ennuis. J'étais comme ça, je me suffisais à moi même.
ooo
- Alors c'est là que l'on va vivre ?
Ma question était plus une affirmation qu'autre chose. La tête relevée, mon carton de livre dans les mains, je détaillais chaque recoin de l'appartement que j'avais sous les yeux. Perché au huitième étage d'un grand immeuble, à plusieurs kilomètres de mon futur lycée, et à quelques pas d'une bouche de métro. Il était plutôt bien placé, et pas si mal que ça vu de l'extérieur, finalement. Soupirant, je m'approchai du hall du bâtiment. Passant la clé magnétique remise par le propriétaire sur la poignée, je pus finalement pousser la large porte en verre et accéder aux ascenseurs. Je ne pus m'empêcher de me demander comment tout nos meubles avaient été montés. Déboulant sur un palier recouvert de moquette moyennement abîmée, je me permis d'avancer jusqu'à notre porte sans attendre. Tout me semblait lointain, étranger. Je n'étais pas chez moi. Pas encore.
Mes parents parurent à mes côtés quelques instants plus tard, et se firent un plaisir de m'ouvrir la porte, visiblement fiers d'inaugurer leur nouvel appartement. Je ne parvenais pas pour autant à partager leur enthousiasme. Je restais donc assez silencieux, me contentant de marcher jusqu'à la pièce qui devait être ma chambre. Poussant la porte, je fus soulagé d'y voir tous les cartons et meubles que j'avais avant. Un instant, j'avais eu peur que tout s'envole avec le reste.
- Roxas, il est tard, on va dîner rapidement, me cria ma mère depuis ce qui semblait être la cuisine.
- D'accord, répondis-je simplement en posant mon carton.
Dès demain, je devais me lever tôt. Je reprenais les cours. Mes parents avaient choisi un week end pour déménager. Ainsi, j'arrivais dans une nouvelle classe en plein milieu du mois d'octobre. Chez moi, je ne m'étais pas rendu compte que nous étions si avancés dans l'année. Il y faisait si doux. Là, le temps derrière la fenêtre était gris et nuageux. Déprimant. Froid. Rien que de voir le rideau de nuages me faisait frissonner.
Me relevant, je partis rejoindre mes parents pour manger rapidement. Je n'avais pas envie de m'attarder avec eux, ou de parler de ce nouvel environnement. Je ne m'y sentais pas encore assez bien. J'avais simplement besoin de repos pour réfléchir. Alors je ne restais que quelques minutes, avant de retourner dans ma chambre. Mes parents ne s'en offusquèrent pas. Ils me connaissaient, Roxas le réservé. J'eus juste le temps de sortir mon sac de cours et mes quelques cahiers que la nuit tomba déjà sur cette si grande ville. Ainsi, je me couchais d'humeur maussade. Cet endroit était bien trop grand pour moi. J'allais m'y perdre ou y perdre ma tête.
Le lendemain, mon réveil sonna bruyamment alors qu'il faisait encore nuit. Enfonçant plus encore la tête dans mon oreiller, je maugréai quelques mots incompréhensibles. J'avais assez mal dormi, ce qui n'était pas étonnant. Et vraiment pas assez. Pourtant, je me levai sans trop rechigner. Je devais le faire, de toute façon. Alors autant y aller. Attrapant mes vêtements, je m'habillai à la hâte avant de quitter ma chambre. Je décidai de m'enfermer dans la salle de bain le reste du temps. Je n'avais ni faim, ni envie de voir mes parents. Ils n'y étaient pour rien, et j'en avais parfaitement conscience. Je savais aussi que mon humeur allait sans doute s'améliorer après cette première semaine. Alors je ne les verrais que très peu ce matin. De toute façon, je n'avais pas besoin d'eux pour m'emmener. Le lycée était au bout de ma ligne de métro. Au moins une chose positive. Certes, avec une valise, cela n'allait pas être évident, mais j'allais me débrouiller. C'était une chose que je savais faire.
Alors que je quittai enfin la salle de bain, ma mère m'attrapa devant la porte d'entrée.
- Roxas, tu es sûr que tu ne veux pas que je vienne ?me demanda-t-elle, visiblement soucieuse.
- Tout va bien se passer, lui assurai-je en laçant mes chaussures. Et puis, j'ai besoin de le faire seul, je pense.
Toute petite qu'elle était, ma mère dû se hisser sur la pointe des pieds pour m'embrasser sur le front alors que je quittais l'appartement. Pourtant, je n'étais pas bien grand.
Je me retrouvais bien vite seul dans la rue, avec pour seul guide un plan de métro et ma tête encore ensommeillée. Malgré tout, je me dirigeai d'un bon pas vers la bouche de métro pour prendre le mien à temps. Le bruit des transports en commun allait finir de me réveiller. Malgré le poids de ma valise, je parvins à faire le voyage sans trop d'encombres. Pourquoi avait il fallut que je sois interne, déjà ? A cause de la distance. Comme si je n'étais pas déjà parti assez loin de chez moi tiens.
Maintenu par seulement deux doigts à la barre métallique devant moi, je manquais de trébucher lorsque le métro s'arrêta à son terminus. Mon arrêt, en somme. Respirant un grand coup, je regardai mon téléphone. 7H30, et aucun message si ce n'est de mon opérateur. Génial. Je descendis du wagon avant de gravir les marches menant à l'extérieur de ce souterrain. Dehors, l'air était encore plus froid que la veille, et je fus un moment surpris par la violence du vent. Je n'y étais pas du tout habitué.
Regardant au loin, je finis par repérer les grilles de mon lycée, devant lesquelles se massaient plusieurs élèves avec des valises. Naturellement, peu d'internes rentraient chez eux le week end, mais il y en avait néanmoins certains qui le faisaient de temps à autre. Je m'approchai afin de passer les grilles, et fus soulager de voir que personne ne me regardait. J'avais horreur d'être le centre d'attention des regards curieux. Passant à la hâte le hall de l'accueil, je me dirigeai vers l'internat afin d'y poser ma valise. Je fus accueillis par un charmant regard de la part de ce qui semblait être la surveillante ou je ne sais quoi, dont le maquillage n'avait rien à envier à celui d'un cirque.
Une fois mon enclume déposée, et quelques papiers signés, je finis par me résigner à marcher vers ma classe. Il allait de toute façon falloir que je l'affronte.
Beaucoup d'élèves étaient déjà rentrés bien que cela n'ait pas encore sonné. Il régnait, et il fallait le dire, un joyeux bordel au milieu de la classe. Un groupe de quelques filles babillaient joyeusement dans un coin, et l'une d'elle, aux cheveux presque rouges, m'osa un regard amicale, alors que je restais sur le seuil de la porte. Son sourire doux me rassura quelque peu, bien que tout cela me laisse encore sceptique et surpris. Assise sur une table, les deux mains reposées en arrière, une fille aux cheveux bleus et au regard déterminé rigolait à gorge déployée devant un grand brun souriant. Une petite brune semblait se tasser sur la chaise d'à côté pour fuir le bruit, un livre à la main. Plusieurs garçons jouaient avec la trousse de je ne savais quelle personne, vu le grand nombre de glapissements de rages s'échappant de trois jeune filles visiblement ennuyées. Tournant un peu plus la tête, je finis par croiser le regard d'un petit brun accoudé à une table derrière une armoire, dans ce que j'appellerais l'angle mort de la salle. Bonne place pour ne rien faire, en somme. A sa droite, une tignasse grise et une autre blonde. Debout dans un coin de la salle, le regard plutôt mauvais, une blonde aux cheveux assez courts me dévisageaient avec animosité. Haussant les sourcils, j'osai un pas en avant.
- Non mais regardez ce qui s'amène !
La voix railleuse me fit immédiatement tourner la tête vers le bureau du professeur toujours absent. Je m'étais clairement senti visé par ces paroles relativement moqueuses. Là se tenait une fille à l'apparence des plus rebelle et détachée, assise comme si c'était sa place sur le bureau du patron. Des cheveux roux défiants toute gravité, deux tatouages sur les joues, blouson de cuir et mains fourrées dans les poches d'un jean noir, elle me dévisageait de ses deux grands yeux verts.
- T'as perdu ton chemin blondinette ?reprit la fille en sautant du bureau.
Légèrement éberlué, je ne pus m'empêcher de la jauger avec peut être trop d'intérêt. A un tel point qu'elle se sentit obligée de venir se planter devant moi, l'air menaçante et moyennement satisfaite.
- Je t'ai posé une question, grogna-t-elle en fronçant ses sourcils roux.
Elle faisait ma taille. J'eus même l'impression qu'elle aurait pu me frapper en plein milieu de cette salle. Son ton carnassier me bousculait.
- Je suis nouveau dans cette classe, finis-je par répondre en reprenant contenance.
La rouquine en face de moi leva un sourcil avant d'éclater d'un rire assez inquiétant. Autour de nous, le silence s'était fait pour une raison que j'ignorais. Tournant la tête de droite à gauche, je pus remarquer que tous les regards étaient braqués sur nous. Mais ce n'était en aucun cas des regards intrigués ou amusés comme ceux que l'on voit dans les bagarres de rues. Non, ils semblaient tous inquiets.
- Le nouveau, reprit finalement la rousse. Depuis quand devions nous en avoir un ?
Elle sembla réfléchir un instant à sa propre question, avant de la chasser d'un geste nonchalant de la main.
- Bah, rien à foutre, finit-elle par lâcher. T'as juste intérêt à pas trop m'approcher Blondie. Ta tête me revient pas.
Et elle me planta là, tournant les talons pour aller s'écrouler sur une chaise à quelques pas, sans aucune grâce. Alors que je ne revenais pas de ce qu'il venait de se passer, la classe sembla reprendre ses activités comme si de rien n'était. A par moi. Moi, je ne comprenais pas. Pourquoi cette fille s'en prenait elle de la sorte à moi ? Et puis, qui était elle ? Clignant plusieurs fois des paupières, je finis par m'approcher d'une table qui semblait inoccupée. Alors que j'allais m'asseoir, la grande fille aux cheveux bleus bondit de sa table pour venir se planter près de moi. Surpris, je tournai la tête vers elle.
- Salut, me lança-t-elle en souriant.
- Ah..euh, bonjour, lui répondis-je, mal assuré.
Pour tout avouer, la rouquine m'avait douché de mon envie de rapidement me faire accepter. J'avais la drôle d'impression que cela n'allait pas être réellement facile.
- Je m'appelle Aqua, et tu dois être Roxas, non ?reprit finalement mon vis à vis.
Fronçant les sourcils, je l'interrogeai du regard.
- Ah, tout le monde te connais maintenant dans ce lycée, m'expliqua la dénommée Aqua. De nom, tout du moins. Kairi ne parle que de ça depuis des semaines. Elle arrive toujours à tout savoir avant tout le monde.
- Ah...euh, enchanté alors, finis-je par dire.
Aqua m'adressa un sourire chaleureux et amical qui me redonna un brin d'assurance. Au moins, cette fille là ne semblait pas vouloir me cracher à la figure. Pas comme l'autre, que je ne pus m'empêcher de fixer quelques instants.
Un soupir à ma droite me fit tourner la tête.
- Bienvenu en enfer, marmonna Aqua, suivant mon regard.
