Une nouvelle vie grâce à un entraînement spécial
Depuis son retour à Privet Drive, Harry se tourmentait. Il se reprochait toujours la mort de son parrain Sirius et chaque nuit, il rêvait de lui. Et à chaque fois, Sirius l'accusait de sa mort le maudissait et lui disait que tout était de sa faute. Cela faisait moins d'une semaine qu'il était là et il avait déjà perdu une dizaine de kilos, il ne pouvait plus manger que de l'eau sucrée ou un liquide nutritif, car tout le reste, son estomac le recrachait. Le seul point positif de ce début de vacances est que les Dursley ne lui donnaient que très peu de taches à faire et comme sa tante s'inquiétait de sa santé, quand son mari et son fils n'étaient pas là, elle lui faisait des bouillons car elle s'inquiétait de son état puisque depuis qu'il était revenu, il était encore plus renfermer et il ne mangeait plus, ne dormait plus, il se laissait aller.
Ces tâches au plus grand mécontentement d'Harry n'étaient pas assez pour qu'il ne puisse ne plus penser à rien. A chaque moment de repos, des images lui revenaient en tête et on ne pouvait pas dire que ces flash-back étaient plaisants car revoir la mort de Sirius, de Cédric et de ses parents n'avaient rien de bien joyeux. Il décida de se plonger dans ces études pour oublier, il commença à revoir les livres de premières années. Il remarqua que le programme de chaque année n'était jamais fait en entier. Et c'est comme ça qu'il découvrit un grand nombre de sorts, de potions, de formules très utiles.
Il passa le début de la semaine sans problème mais le jeudi arriva et il n'avait plus rien à lire, il connaissait ces livres par cœur et même ceux de potions. Pendant se court temps, il comprit qu'il avait développé une passion pour la lecture des potion comme de DFCM. Si ces amis le savaient, Hermione serrait sûrement folle de joie et Ron lui aurait sûrement fait une attaque cardiaque. En parlant d'eux, Harry leurs avait écrit plusieurs lettres mais attendait toujours leurs réponses. Il avait mal au cœur en y pensant car eux, ces amis lui avaient promis de rester en contact avec lui mais ne le faisaient pas. Harry savait bien que Dumby était encore derrière tout cela. Mais lui, contrairement à eux leurs envoyaient toujours une lettre tous les 3 jours à l'ordre comme prévu. Mais l'ordre ne lui répondait jamais, c'est seulement grâce à sa chouette qu'il savait que les messages étaient bien rendus à destination.
Il avait lu ses livres pendant une bonne partie de la nuit et ne dormait que par tranches de 30 minutes car c'était le seul moyen qui avait trouvé pour arrêter ses cauchemars. Mais n'ayant toujours pas eu le résultat de ces buses, il ne pouvait toujours pas être considéré comme un sorcier de deuxième cycle et la magie lui était donc interdite et il ne voulait plus rien avoir avec Albus Dumbledore, celui qu'il considérait comme son mentor, un peu comme un grand-père mais depuis que celui ci l'avait trahis, il ne voulait plus le voir, plutôt pas temps qui pouvait l'ignorer et voulait rien lui devoir donc ne voulait pas lui demander une dérogation. Et il ne pouvait donc pas s'entraîner à lancer les sorts et n'ayant plus d'ingrédients, il pouvait pas non plus pratiquer les potions. Il avait fini ces devoirs de vacances, en faisant un dossier plus que complet et donc il ne lui restait plus rien à faire et c'est sur cette pensée qui s'endormit.
Il se sentait si seul, et il savait que s'il y n'avait pas la prophétie, il se serrait déjà suicider depuis longtemps. Pourquoi existe-t-elle ? Pourquoi lui, était-il maudit ? Pourquoi ce vieil imbécile de Dumbledore ne lui avait rien dit plutôt ? Pourquoi ?
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Le lundi matin, Harry se réveilla car il entendait un miaulement, intriqué par le bruit, il ouvrit brusquement ces yeux et ce qui aperçu le laissa baba. Un chat noir, ou plutôt une mini panthère avec de grandes ailes de la même couleur dans son dos était assise au sol et le regardait. En un mouvement, il avait pris sa baguette qui était dessus son oreiller et pointait la chose avec. Quand soudain, il entendit une voix lui parler, mais personne d'autre que lui et la panthère était dans cette chambre et cette dernière n'avait pas bougé. Se posant des questions quand il réentendit cette voix en se concentrant, il comprit que quelqu'un lui parlait mais dans sa tête. La voix lui disait :
- Calmes toi, si j'avais voulue t'attaquer, j'aurais pu le faire pendant que tu dormais.
- « C'est toi la panthère qui me parles.» demanda ébahi Harry à voix haute.
- Oui, c'est moi mais pourrais-tu parler dans ton esprit ? Car je comprendrais mieux ce que tu veux me dire. Je ne comprends pas tous les rudiments de ta langue et nos cerveaux nous traduiront à chacun les paroles de l'autre. Et deuxième point, je ne suis pas qu'une vulgaire panthère, ma race s'appelle Anganp.
-« Désolé si je t'ais blessé, mais comment fait-on pour parler dans notre tête ? »
- Tu ne le sais pas mais qu'est-ce qu'on apprend dans les écoles de sorcellerie? Bon, je vais de l'expliquer, suis bien mes consignes. Tu dois faire le vide dans ta tête, ne plus penser à rien puis tu m'imagine et enfin tu penses ce que tu veux me dire. C'est aussi simple que ça.
Harry se mit en méditation et une dizaine de minute plus tard, il reprit la conversation mentale.
- Je voudrais savoir pourquoi tu es là ?
- Oups ! Désolée. Je suis ici car ma maîtresse te propose que tu deviennes son élève. Elle sait que tu es scolarisé à Poudlard donc si tu acceptes cela dura que pendant les grandes vacances.
- et qui est ta maîtresse ? Comment savoir si elle n'est pas une complice de Voldemort ou une façon que Dumbledore aura inventée pour me manipuler ?
- ah ! Je suis contente que tu ais remarqué tout seul que Dumby te manipule. Saches ma maîtresse et moi, ne seront jamais alliés avec un ignorant ou un dictateur qu'est ce vilain serpent de Voldemort. Mais si tu ne veux pas y aller, tu n'es pas obliger. Et si tu veux, tu pourras la rencontrer demain après-midi mais hors de chez toi car ton directeur surveille tout ton courrier et les conversations de cette maison.
- Mais alors là, il sait pour cette conversation paniqua Harry
- non, ma maîtresse à brouiller mon intrusion et notre début de conversation vocale. Mais quand tu parles comme ça, il ne peut pas le savoir et même s'il cherche, moi je les brouilles.
- C'est d'accord, je veux bien la rencontrer à 10h au parc en bas de la route.
- ok, je vais lui dire
Harry ne la voyant pas partir lui demande :
- pourquoi tu ne vas pas la rejoindre pour lui porter ma réponse ?
- je n'en ai pas besoin, je peux communiquer avec elle par télépathie n'importe où elle se trouve. Si cela ne te gènes pas, pourrais-je rester avec toi ?
- je le voudrais bien, mais tu es déjà grande et tu ne vas passer inaperçue.
C'est en finissant sa phrase qu'à la place d'une Angamp de la fumée bleue apparut et un petit chaton y sortit et lui répondit :
- tu me préfères comme ça, je suis plus petite et sans mes ailes.
- Tu sais que tu es mignonne comme ça. Et je penses que tu ne me lâcheras pas avant que j'acceptes, non ?
- tu as raison. Mais tu insinues qu'avant je n'étais pas jolie.
- je ne l'ai pas… bafouilla Harry
Et avant qu'il termine. Un rire envahi sa tête, c'était le ''chaton'' qui était prit d'un fou rire. Et c'est qu'à ce moment là qu'il comprit qu'elle ne faisait que blaguer.
Important :Dite de moi si il se doit continuer ou pas
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merci