N.A.: Alors voilà un premier chapitre de ma nouvelle fiction. J'espère qu'elle vous plaira. Je ne dis pas encore sur qui l'histoire se rapportera. J'vous laisse deviner *rire sadique* J'vous laisse faire vos pronostiques... Ha oui, j'mettrais de temps à autre un lien vers une musique ^^'
Disclaimer: House M.D. appartient à la Fox et David Shore... Blabla bla Juste pour le plaisir d'écrire =)
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Chapitre 1 – Des rencontres
Bar de Princeton, endroit de solitudes, d'alcools et de débauches en tout genre. Mais c'est aussi un endroit fais de rencontres surprenantes.
Ce n'était pas du tout à ce genre de fin de soirée que s'attendait Gregory House en se rendant comme tout les vendredis soirs dans son bar de prédilection. Il avait passé une journée géniale. Un cas des plus intéressants, une équipe brillante, une solution trouvée à l'énigme, une vie sauvée. Bref il devait être fier de lui après cette brillante résolution, mais tout ce qu'il retenait de cette journée c'était qu'à midi, il s'était engueulé avec Wilson.
En effet, se faire remonter les bretelles parce que vous n'ouvrez pas votre cœur à quiconque aurait le courage de s'intéresser à vous, par un gars divorcés plusieurs fois, était assez humiliant. Là encore House avait tout faire ressortir son côté « pauvre-con-misanthrope » face à son meilleur ami.
**Flash-Back**
House entre dans la cafétéria et aperçoit son oncologue d'ami à une table en train de manger son steak frites salades. Ça ne promettait que du bons : un ami, à manger, ne pas devoir payer pour la deuxième bonne chose et peut-être même aurait-il la chance de rigoler ensemble si House lui racontait comment il avait réussi à faire courir Cuddy à travers le hall avec sa blouse complètement trempée. Mais malheureusement pour lui, rien de tout ça si ce n'est la deuxième bonne chose. L'ami c'était quant à lui transformé en donneur de leçons doublé d'une conscience plus qu'énervante. Et son histoire avec Cuddy bien sûr, il n'avait pas eut le temps de lui en parler. C'était tout juste s'il avait pu piquer une frite à Wilson !
« Tu n'as donc pas d'argents pour te payer ton propre déjeuner House ? », lui siffla Wilson en tapant la main du diagnosticien qui s'aventurait dans son assiette.
« J'ai oublié mon portefeuille dans le soutien gorge de Cuddy ce matin quand elle courr… »
« Je n'ai pas envie de savoir. », interrompit Wilson la mine renfrogné et ses gros sourcils froncés.
« Ils mettent quoi dans leur steak ? », questionna House se retournant vers les serveurs.
Wilson leva un sourcil en accent circonflexe, se demandant pourquoi son ami lui disait ça.
« De la viande et des épices », soupira Wilson en comprenant de quoi il parlait en réalité.
« C'est mauvais pour toi les épices, ça te fait rend grognon. » lui répondit-il en le fixant dans les yeux.
Wilson roula des yeux et House fit tomber la serviette de son ami à terre. Ce dernier la ramassa et le diagnosticien en profita pour prendre une poignée de ses frites. Il était 12 :12, il avait encore rien mangé depuis la matinée et… C'était une assez bonne raison pour piéger Wilson.
L'oncologue se releva en grognant et se rassit correctement en lançant un regard noir à House.
« C'est pas avec ses yeux là que tu vas me faire arrêter de piquer ta nourriture », marmonna House entre deux bouchées.
« T'y arriveras jamais. », lança Wilson
« Faut jamais dire jamais. Mais c'est vrai que c'est très dur de résister à te piqu… »
« Non je ne parle pas de ça. », le coupa à nouveau Wilson. Décidément c'était devenu une habitude.
House le questionna du regard et voyant que Wilson chipotait avec sa fourchette sa salade, House prit la parole.
« De quoi tu parles alors ? », soupira-t-il soudainement lassé de la tournure de la conversation.
« Du fait que tu repousses toutes les personnes qui t'aim… »
Wilson n'eut pas eut le temps de terminer sa phrase. Cette fois si c'était House qui le coupait.
« Je t'arrête tout de suite, je n'ai pas envie de parler de ça. »
House se calla dans le fond de sa chaise et regarda un peu partout dans la cafétéria, sauf dans la direction de Wilson, pensant qu'il allait comprendre et se clore le sujet. Mais non.
« Pourtant il faudrait House ! », commença Wilson « Et puis tu serais moins sur mon dos pour me prendre ma nourriture… »
House se leva d'un geste brusque. Wilson le suivit du regard.
« Alors c'est dont ça ? Môsieur en à marre que j'lui pique ses frites alors il invente une histoire débile sur les sentiments pour me faire plier ? », S'énerva House
« C'est pas ça ! Tu serais mieux avec quelqu'un ! Ça te changera ! », Renchérit Wilson convaincu que c'était pour le bien de son ami.
« Oui et bien moi je n'ai pas envie de changer. »
C'était dit et Wilson baissa les bras. House sortit de la cafétéria avec un goût amer dans la bouche. Pourtant les frites sont excellentes d'habitudes…
**Fin Du Flash-Back**
Au tant dire qu'après cette discussion House et Wilson ne s'étaient pas revu de la journée. Bien que le plus gentil des deux en apparence eut plusieurs fois l'envie d'aller voir le plus méchant. Mais il n'en fut rien, House avait quitté plutôt le boulot et Wilson n'avait pas eut le temps de lui parler pour s'excuser. S'excuser de quoi ? Il ne le savait pas étant donné qu'il pensait faire ça pour le bien de son ami mais vu que House ne l'avait pas prit comme ça… Il était certain que ce ne serait pas lui qui fera le premier pas. C'est pourquoi il était déçu en ne l'apercevant pas dans son bureau à 17h.
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/watch?v=cQwwqajZXD8
Deux hommes se rendaient dans les toilettes des hommes du bar de Princeton. Ils étaient déjà bien entamés et avaient besoin de se soulager la vessie à cause du nombre astronomique de bières ingurgitées tout au long de la soirée.
« Et donc à ce moment là j'me la suis faite et j'me suis cassé le lendemain sans la réveiller ! », disait l'un.
« J'ai eu pareil sauf qu'elles étaient deux et… bis », se vantait l'autre.
« WOOOW ! La chance mec ! » S'exclama l'un en poussant la porte des toilettes.
Ils remarquèrent vite un couple en train de s'embrasser plutôt langoureusement à côté des urinoirs. La fille était plaquée contre le mur et l'homme tout contre elle. Elle passait ses mains dans les cheveux poivres et sels de l'homme à la canne.
Les deux poivrots ont pouffés de rire. Et le plus petit des deux a prit la parole.
« J'pisse pas devant eux ! », s'exclama-t-il
« Moi non plus ! Viens on va dehors ! », Lui répondit l'autre.
Sur ce, ils laissèrent le couple seul dans les toilettes. On aurait dit qu'ils n'avaient pas entendu les deux gus rentrés, trop concentré sur les gestes qu'ils faisaient.
TBC...
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