PDV Carlisle Cullen :
Il était 20 h 30, je me trouvais sur l'île de mon épouse, présente à mes côtés. Nos enfants étaient partis chasser sur le continent. Nous étions donc seuls et je comptais bien en profiter. Ma femme se trouvait actuellement dans la cuisine et préparer des petits plats pour Corée et son mari, les personnes s'occupant d'entretenir la villa en notre absence. Elle était sortie récemment de la douche et ne portais qu'un peignoir. Je cherchais à deviner quels pouvait-être ses sous-vêtements au-dessous de ce tissu satiné.
Je m'approchais de la divine créature et passais mes bras musclé autour de sa petite taille. Elle sourit et continua son travail. Je ne pouvais pas attendre que ses œufs cuisent ! Je voulais ma femme tout de suite, aucune attente. Je pris Esmé dans mes bras et à vitesse vampirique, l'emportais dans notre somptueuse chambre. Je déposais mon épouse sur le grand lit et m'allongeais au-dessus d'elle. Mes mains caressaient inlassablement son corps, mes lèvres, elles, goûtaient au cou de ma princesse. Je lui enlevais son manteau en satin et découvris le corps nu de ma belle. Si j'avais été humain, je serais probablement mort devant le splendide spectacle que m'offrait ma femme. Moi qui croyait qu'elle portait toujours des sous-vêtements par pudeur je m'étais lourdement trompé. La voir ainsi éveillait un feu terrible dans le fond de mon ventre, ma virilité se manifesta automatiquement. Je voyais l'envie d'Esmé par le suc qui s'écoulait de ses lèvres intimes. Je portais ma bouche à cette partie là du corps de ma tendre et m'abreuvais de ce qu'elle me donnait. Je léchais le contour avant d'aller en chercher moi-même entre ses lèvres. Je lui portais de violent coups de langues et accélérais lorsque qu'avec ses gémissements, elle m'excitait. Ses mains fourrageaient dans mes cheveux me demandant de faire plus fort. Je retirais ma langue, lui laissant un instant de frustration et présentais mon gland à son entrée. Elle tendit son bassin vers moi, me montrant son impatience. Elle était absolument magnifique lorsqu'elle était dans cet état. Je ne la laissais plus attendre et m'enfonçais en elle. La pénétration nous arracha à chacun un râle de plaisir. Je me positionnais sur mes genoux, attrapais les deux jambes de mon épouse et les calais contre mes épaules et j'entamais de longs mouvements de va-et-vient. Ma femme commença à gémir de plus en plus fort, mon pénis, lui, gonflait de plus en plus en elle, il n'allait pas tarder à exploser s'il ne se vidait pas. Esmé était tellement excitante et belle que j'oubliais totalement ce que je faisais accélérant le rythme. Les coups de je lui assénais étaient tous très violents. Le lit ne cessait de grincer. Ma femme fut emportée par l'orgasme, hurlant mon prénom au passage. Je ne mis pas longtemps à rejoindre son état et me libérais en elle. Je m'allongeais sur le dos et calais mon épouse sur moi. Et c'est ainsi que passa le reste de la nuit.
Aux alentours de 3 h 15, les enfants rentrèrent, nous étions dans la même position que la veille, nous avions pensé que les enfants ne viendraient pas nous déranger. Or ce fut le cas. Dès leur arrivé, Emmett arriva en furie dans notre chambre, ses yeux toutefois cachés. Il hurla :
-BANDE D'INCONSCIENTS ! VOUS AVEZ LAISSE LES OEUFS SUR LE GAZ ! LA CUISINE A CRAMEE !
Oups ! C'est vrai qu'on avait juste un peu oublié les œufs hier.
-Rappelez moi de ne plus jamais vous laisser seuls, vous faites …. que des bêtises ! Deux vrais gamins ! Cria t-il avant de claquer la porte.
Je regardais ma femme, nue, contre moi, nous explosâmes de rire !
