CHAPITRE I : Le début d'une lubie ou comment donner un nom à une étente-à-linge.

SAMEDI 18 JUILLET 2018. PLEIN HIVER.

« Sifflez en travaillant, et le balai parait si léger si vous pouvez siff… RAAAh va chi… chiquer le tabac de papy ! Mais qu'elle est la gentille personne qui a mis cette étente-à-linge ici bord… Borice, parce que tout le monde l'aime Borice. Hurlé-je avec toute la grâce commune aux éléphants lesté de deux tonnes de plomb.

—Est-ce que au moins nous connaissons un Borice dans cette famille Tina ! J'aimerais que tu surveille ton langage jeune fille.

—Oui maman, je sais. Soupiré-je.

Elle ne s'en rend pas compte mais je fais des efforts. Regardez ce Borice magnifiquement introduit, on y a vu que du feu. Elle ne veut pas reconnaître mon génie c'est tout. Elle est de mauvaise foi en plus parce que l'on connait bel et bien un Borice mais ça fait quinze ans qu'elle l'a rayé de sa vie alors imaginez maintenant quand je lui dis que mon meilleur ami est gai qu'il s'appelle Borice et qu'il veut devenir pompier. Eh bien elle le vire à coup de poêle et on en parle plus. Sa douce et chaleureuse voix me ramène à la réalité :

—Bien. J'y vais je vais être en retard sinon. Et surtout n'oublie pas…

—Ranger, propre et aucune fête d'aucun ordre ici. J'ai saisi merci.

—Très bien, elle dit en m'embrassant le front, je t'aime ma fille. »

La porte claque et un soupir las m'échappe -encore se dira -t-on. J'entraîne l'étente-à-linge nouvellement nommée Mathieu avec moi, jusque dans l'herbe grasse. J'ai des tâches ménagères à faire.

PAS SI LOIN, DANS LE MÊME ESPACE TEMPS SUR LA MÊME PLANETE, ASSIS DANS LE JARDIN DE LA VOISINE REGARDANT AU TRAVERS DE LA HAIE CONNIFERIEUSE, CONNIFUREUSE, CONNIFURIEUSE… DE CONNIFERES! JUSTE A COTE QUOI !

Deux personnes, habillées de verts dans du tissu qui ressemble à du cuir et… des feuilles, discutent avec animation brandissant un énorme cristal vert au-dessus de leur tête.

« …pas elle !

—Mais enfin LE Cristal ne se trompe jamais. -Ledit cristal étant un jouet en plastique de chez Toisureus* on peut se poser des questions-. S'il dit que s'est-elle alors s'est-elle !

—ÇA ne peut pas être notre… par un malheur au combien opportun qui arrange l'auteur un camion passe et malheureusement -car nous sommes dans un grand malheur brodé de désespoir- nous ne pouvons entendre la fin de cette phrase. »

Au loin résonne « Sifflez en travaillant » et Roger le camionneur caresse affectueusement son tatouage « je t'aime maman » sur fond de cœur rouge. A l'arrière de son camion ladite mère en pièce entourée de dessins où l'on voit un monsieur plongé dans une baignoire la gorge tranchée. Une semaine plus tard nous apprendrons la disparition de Ginette Legros, et de son fils Roger Legros, que tous surnommaient très amicalement Groger, et la mort de monsieur Arthur Legros égorgé dans sa baignoire. Mais là n'est pas notre histoire.

DANS SON JARDIN, TOUJOURS ENTRAIN DE SIFFLER UNE PINCE A L'INGE DANS LA BOUCHE MATHIEU EN EQUILIBRE, NOTRE HEROINE :

« Tiens une pâquerette ! je me baisse pour la cueillir, et en arrache les pétales un par un récitant la comptine, je le mange, je le mange pas, je le mange, je le mange pas, je le mange, je m'arrête le dernier pétale semble se foutre de moi.

« tu le mange pas » semble-t-il rire.

Un grand sourire étire mes lèvres,

« je le mange. »

Finalement le dernier gras-se-pose-là* fini dans mon estomac, ces biscuits c'est mon péché mignon. Par la suite je remets Mathieu sur ses quatre pieds. Je m'allonge à ses côtés, profitant de la brise légère. Le ciel est dégagé et le soleil caresse langoureusement ma peau. Nan sérieux. C'est tellement mièvre. En vérité un gros nuage bouche la lumière et il caille, franchement qui a cru que j'étais une poète. Je ne sais pas à partir de quel moment je me suis endormie mais toujours est-il que c'est arrivé. Et bizarrement quand je me suis réveillée j'étais ballotée sur une épaule -ma foie plutôt confortable- inconnue. Ma première réaction… comment dire. Pour un kidnapping je suis restée étonnamment calme. Enfin si on considère que rouer de coups un inconnu et hurler dessus se trouve sur les barreaux inférieurs de l'échelle un à dix du calme. Je me dis que les cours de yoga ne préparent pas à ce genre de grand stress et songe que j'aurais mieux fait de prendre la boxe Thaïlandaise quand on me l'a proposé. De toute façon maintenant c'est trop tard. Je vois déjà Mathieu s'étrécir dans mon champ de vision. Au fond je sais que je n'ai aucune chance de m'en sortir et je sombre dans un désespoir aussi profond que la piscine du jardin du cousin d'un copain de la demi-sœur du parrain de mon voisin de droite. Je cesse de me débattre et tombe mollement sur l'épaule de mon ravisseur, qui avait l'air de se fiche comme d'une guigne que je remue dans tous les sens.

28 CERMIË DU TROISIEME AGE. DURANT LE LAIRË (soit environ 6000 ans avant la naissance de notre héroïne).

Un vent rigoureux s'engouffre à l'intérieur du palais d'Imladris. Les murs aux multiples arcades ouvertes laissent entrer l'air d'hiver déterminé à souffler sa froide colère. Seule une pièce est entièrement calfeutrée. Dedans un simple lit occupé par une masse informe gisant sous des draps plutôt fin. Un bruit mat se fait entendre. C'est l'épreuve de trop qui fait céder la résistance de notre bien aimée héroïne et qui la fait se réveiller de manière…

« Va chhhhh… chut.

Oui c'est cela chute, car notre adorable petite guerrière vient de tomber de son lit et s'exhorte à ne pas hurler d'insultes à tout va.

—C'est bon la voix off, dit-elle en agitant les bras au-dessus de sa tête, tu me laisse reprendre la narration de MON histoire. »

Comme l'a si bien dit l'autre je suis tombée, mais ce qu'elle cache c'est que je me suis -lamentablement- cogné le genou dans un des pieds du lit. Et ça ma zette ça fait mal ! La porte s'ouvre brusquement et laisse entrer le vent que la voix off a passé dix minutes à décrire pour bien vous faire comprendre qu'il était froid, voilà. Donc maintenant je me les pèle et l'hurluberlus qui maintient cette saloperie ouverte -cette haine vient d'une longue histoire d'appendice pédestre rencontrant une porte- me regarde la bouche grande ouverte les yeux écarquillés les joues plus rouges que les flammes de l'Enfer un jour de barbecue.

« Plait-il, demandé-je un grand sourire aux lèvres.

—Je… enfin vous…v-vous êtes. Vous devriez peut-être… je veux dire couvrez-vous.

Je baisse lentement la tête et découvre qu'effectivement je suis en sous-vêtements. J'attrape discrètement le drap et m'enroule dedans. D'où la sensation de froid.

—Voilà ! Bon maintenant passons aux choses sérieuses. J'ajoute un sourire ''angélique'' aux lèvres…

A FEW MOMENTS LATER…DANS LE BUREAU DU GRAND MANITOU DES LIEUX -GRAND MANITOU ATTEINT D'UN LEGER PROBLEME CAPILLAIRE.

« NAN ! NAN et Renan. Je REFUSE de croire à cette histoire. J'ai atteint la limite des choses auxquelles les débiles peuvent croire. Je me fais capturer par des fétichistes de cristal, soit ça peut arriver. Je change d'époque et revient durant ce que vous appelez le troisième Âge, bon d'accord j'ai peut-être un peu forcé sur l'alcool. Je me retrouve dans une citée qui est en totale communion avec la nature, dont les habitants possèdent des oreilles pointues, Aaaah okay disons que je peux y croire. Mais là que le grand manitou des ancêtres de Greenpeace me dise que je dois prendre part à une quête parce que leurs Dieux l'ont dit, je ne peux pas c'est juste TROP ! En plus je suis athée moi, je me suis toujours allègrement foutue de la religion ! Ce serait une vengeance des entités supérieurs, c'est ça ? Mais je n'en veux pas moi de cette quête qui sauverait le monde, je veux juste retrouver Mathieu m'asseoir sur le canapé et attendre la fin de ma vie. » Sur ces dernières paroles pleines de bon sens je fonds en larme.

Elrond me fait asseoir et emprunte un air gêné largement de mise dans cette situation.

« Je comprends votre désarroi mais nous avons besoin de votre aide. Des centaines de peuple ont besoin de vous, et des milliards de vies pourront être épargnée grâce à vous. Les dieux l'ont dit à la Dame du conseil blanc. Et maintenant il est de notre devoir de vous préparer à cette quête.

—Je m'en fiche moi de votre conseil blanc ou des vies que je pourrais sauver je ne connais personne et je ne vous dois rien ni à vous ni à qui que ce soit. Je ne viens pas de cette terre et apparemment pas de cet espace-temps alors laissez-moi. Je pleurniche.

—Alors c'est ce que vous êtes, lache-t -il amère, une chose pleurnicharde et cupide. Sous prétexte que vous ne connaissez pas toutes ces personnes elles ne méritent pas de vivre. Ces enfants, ces amant ou même Wilwarin et Adarin. Vous seriez donc à ce point égoïste !

—Laissez-moi ! Je ne veux pas y penser. Je ne sais pas quoi penser. Laissez-moi quelques jours, seule, pour réfléchir à la totale invraisemblance de cette histoire. Mais n'en espérez pas trop, vous m'avez enlevé à ma terre. »

Je sors sans entendre la personne qui s'était cachée dans un coin de la pièce.

« Vous devriez lui dire Elrond. Elle doit savoir pourquoi c'est si important pour elle.

—Elle n'est pas prête, trop immature, et cela ferait tout échouer.

—Les secrets n'ont jamais menés nulle part mon ami. »

Une robe grise disparut derrière la porte.

30 CERMIË DU TROISIEME AGE. TOUJOURS DURANT LE LAIRË.

Deux jours, c'est ce qu'il m'a fallu pour digérer cette histoire rocambolesque. J'en ai d'ailleurs profités pour faire plus ample connaissance avec Wilwarin et Adarin c'est eux qui m'avaient séparée de l'elfe pervers alors que je tentais d'obtenir des informations. Plutôt rapide, mais j'ai bien dû ouvrir les yeux. Franchement une citée aussi magnifique peuplée d'elfes dont personne n'aurait jamais entendu parlé, absolument impossible. C'est justement après une nuit passée à parler avec Adi donc sans sommeil que j'ai décidé de confronter le seigneur Elrond. Parce que j'ai bien commencé à croire à son histoire mais il va lui falloir force de persuasion pour m'intégrer à cette fichue quête.

« Vous semblez préoccupée Asëa ? Je relève vivement la tête.

Un elfe -Ô surprise- brun se dresse devant moi. Wilwarin me scrute un sourire collé aux lèvres. C'est fou mais je ne peux pas m'empêcher de me sentir déplacée à côté de ces êtres si aériens, oui je ne peux pas dire parfait -parce que certains se trimballent un sacré bagage de connerie quand même. Nan mais sérieusement je dois me déplacer nue pied pour ne pas faire de bruit dans les couloirs, tandis qu'eux portent des chaussures avec de semelles en bois, et ils ne font pas de bruit. PAS-UN-SEUL-MICRO-BRUIT.

—Messire… Je ne sais pas vraiment où j'en suis. Vous vous sentiriez comment à ma place. On m'a très gentiment enlevée, puis ordonné de me tenir bien tranquille. Avant de m'annoncer que je devrais partir dans une quête pour contrer le mal qui gangrène votre planète. Dont je n'ai absolument rien à carrer.

Il eut un sourire contrit.

—Sans vouloir t'offenser bien sûr.

—Mellonmin, il dit avec cette fois ci un sourire navré, je ne peux pas dire que je vous comprends car j'avoue n'avoir jamais été dans une telle situation, mais le seigneur Elrond ne prendrez pas tant soin de vous, si vous n'aviez pas un rôle important à jouer dans cette quête. S'il le fait c'est que vous pouvez faire pencher la balance. Et cette quête doit certainement vous apporter quelque chose. »

Des bruits de pas précipités se font entendre d'un couloir arrivant à la perpendiculaire du notre -Vous la sentez arriver hein, la grosse connerie. Je me tourne face au son, curieuse, soudain une masse sombre me bouscule et je tombe brutalement sur Wilwarin. Après un moment de flottement je tâtonne pour me relever mais mes mains rencontrent un torse, très musclés le torse, très très musclés. Deux bras tout aussi musclés m'enserrent et je manque d'étouffer.

« …Air. J'ai besoin d'air. LAISSEZ-MOI RESPIRER PUTAIN !

—Vocabulaire ! »

Ça s'est signé messire Wilwarin qui bouge sous… moi. D'accord dit comme ça c'est étrange, mais être prise en sandwich entre deux beaux mâles ça ne me dérange absolument pas. Je me sens soulevée par deux bras qui ne se desserrent que légèrement. Mes yeux suivent un cou puis des lèvres étonnement retroussée dans un sourire, puis un nez absolument magnifique, et enfin tombent sur deux yeux parfaitement sublimes, d'un rouge vermeil pétillant qui fait manquer un battement à mon cœur. J'entends vaguement mon brun attitré se lever derrière moi.

« Rîsmin* c'est un honneur que de vous rencontrer.

—Percuter aurait été un terme plus approprié, fais-je remarquer.

—Eloigne-toi d'elle Guruthos, tu n'as aucun droit de toucher l'adaneth. Les ordres sont pourtant clair. Cingle Wilwarin.

—Pour l'instant muindormin*. Pour l'instant… »

Il part me saluant avec un sourire -oh mon dieu ce sourire- que je pourrais passer des heures à décrire si je ne devais pas avancer dans cette fichue histoire. Je redescends lentement sur terre, plus vive depuis que des éclairs sont passé dans l'air. Borice de cuillère* que s'est-il passé entre eux pour que règne une telle atmosphère. Mon Apollon s'éloigne toujours, je devine un sourire sur ses lèvres tandis que je me retourne vers Wiloui en quête de réponse. Il se retourne lui aussi et me plante au milieu de ce couloir, alors que je ne sais absolument pas où est le bureau du seigneur Elrond. Je tourne sur moi-même cherchant la direction adéquat un air benêt sur le visage*.

TOUJOURS LE 30 CERMIË DU TROISIEME AGE. TOUJOURS DURANT LE LAIRË. FINALEMENT DANS LE BUREAU D'ELROND EN TOUTE IMPUNITE BIEN SÛR.

« Mais enfin Monseigneur je ne lui ai presque rien fait à votre garde. Et puis de toute façon c'était légitime j'avais besoin de réponse. Plaidais-je en remuant les bras, Le seigneur en était finalement venu à me poser LA question. THE question chez les englishs.

—J'ai entendu le sire Megildure crier jusque dans mon bureau, bureau qui se trouve à l'opposé de l'aile des soins pour justement être au calme. Je vous prierais de bien vouloir m'expliquer ce que vous avez fait à mon garde Asëa. A moins que je ne doive vous appeler Áya* à présent.

Je fis une grimace sûrement peu gracieuse au vu du sourcil relevé de mon interlocuteur.

—Ce n'est pas ma faute si vos gardes ne supportent pas la torture psychologique… une tape sur la tête me rappelle à l'ordre, Monseigneur Elrond. »

Il sourit satisfait. Depuis que j'ai accepté de participer à sa fameuse quête, il tente de me rentrer les soi-disant bonnes manières à coup de règle en bois ou de claque derrière la tête. On aura beau dire mais c'est fourbe comme façon de faire. Enfin je veux dire il a son beau sourire angélique et ses mots tout gentil emplis de sagesse. Puis tout d'un coup sort le vieux démon lubrique autrefois enfoui sous la calvitie*. Ce seigneur Elrond est… il-il est…les mots me manque pour décrire cet ignominie -je le trouve plutôt bien conservé pour son âge moi. En plus il m'a fait kidnapper ! Bon d'accord je l'avoue je suis de mauvaise humeur parce que c'est lui qui, bien plus haut, m'a interrompu dans mon interrogatoire. J'étais à un cheveu de comprendre pourquoi on m'avait soudainement arraché à mon très cher Mathieu, mais non bien sûr plutôt que de parler comme tout être normal ce fichu sire Megilbole* s'était tout bonnement mis à hurler. Comme ça sans raison. Il avait ameuté tous les gardes de l'aile et même le seigneur du lieu.

« Tout ça ne me dit pas ce que vous avez fait à un de mes soldats madame. Rétorqua Elrond avec un air suspicieux.

—Vous ne préférez pas que je vous montre plutôt. Ça sera disons… plus ludique.

—CERTAINEMENT PAS ! Enfin je veux dire ce n'est pas prudent. Expliquez-moi plutôt.

Je croche le bras du seigneur -un sourire lubrique collé aux lèvres- et l'entraine dans une balade vers je ne sais où.

—Connaissez-vous les chatouille Monseigneur Elrond ? »


Un chapitre un! D'ailleurs je vais vous faire ma première fausse promesse: je vais tenter de tenir un délai d'une semaine entre chaque publication! Ca c'est fait. Sachant que je commence à écrire (c'est pas vraiment ma toute première histoire, mais disons que c'est la première à laquelle j'attache autant d'importance et de plaisir à écrire) j'aurais sûrement un peu de mal à tenir certaines promesse, c'est aussi une histoire d'emploi du temps, écrire un chapitre me prend énormément de temps je peux passer des heures à chercher une tournure de phrase pour peu qu'elle ne me plaise pas, pour les délais vous êtes prévenu(e)(s). Je vous laisse avec le lexique et quelques précisions, qui sont normalement dans l'ordre, de toute façon j'ai fait un rappel de chaque définitions! A la semaine prochaine normalement!

Toisureus : je n'ai pas spécialement envie de devoir de l'argent à ladite marque puisque je n'en ai pas.

Gras-se-pose-là : pour certains la meilleure marque de biscuit au monde.

Asea= bénédiction en elfique

Aya= peur en elfique

48 Lairë= soit le 28 juillet

Hrívë= correspond à l'hiver.

Rîsmin : Rîs =reine accompagnée du possessif min qui signifie mon ou ma.

Borice de cuillère= celui qui trouve l'expression cachée derrière ces mots gagne un autel à son effigie.

Megilbole : je l'avoue j'assume moyennement cette blague.

La calvitie d'Elrond : je vais rendre à César ce qui est à César et faire un disclamer pour cette blague qui appartient à katsuri-san qui écrivait la merveilleuse fiction Survivre en Terre du Milieu pour les Nuls par des Nulles.

Muindormin : mon frère (min=mon)

*Air benêt… Non ça fait pas du tout vieille mémère qui passe ses journées à lire du Chateaubriand. J'avoue que j'utilise régulièrement nonobstant dans mes tournures, mais ma bêta qui est en vacances assez souvent dans l'année à tendance à les effacer surligner en rouge le vide qu'elle a laissé et bien préciser à côté (oui-oui à côté du surlignage, elle aussi est assez spéciale) « pas nonobstant malgré que ou bien mais, arrête avec tes expressions moyenâgeuse ». Nonobstant (tiens celle-là elle est pour toi tatie faute d'orthographe) je continue à utiliser ces « tournures de phrases moyenâgeuses » que je trouve tout à fait appropriées dans le contexte. Je tiens à préciser que ma bêta est de nouveau partie en vacance que donc ce chapitre est à moitié corrigé et que je vais embaucher quelqu'un d'autre.

Je m'excuse d'une quelconque erreur dans les traductions françaises elfique et de l'ordre absolument pas correct de ce lexique. J'ai aussi épluché tous les sites traitant de la chronologie du seigneur des anneaux j'ai relu les bouquins, mais je suis presque sûre qu'il y a des erreurs dans la chronologie, donc ne m'en voulez pas j'ai cherché autant que j'ai pu. Et je demande pardon à tous les Renan de la planète pour la blague absolument par spirituelle que j'ai fait avec leur nom. Sur ciao ce !

Comment ça mes notes de bas de pages sont plus longues que mon texte ?