Petit coin de Lowelie : Voici juste une petit Pwp écrit en cours par mes soins, en espérant qu'il vous plaise~


Tu m'appartiens ~ Pwp

La nuit, deux corps l'un sur l'autre, animé par une envie, par un vice, celui de la luxure abondante. Personne, non, personne ne savait ce qu'il se passait. C'était un secret, un simple secret que les deux personnes qui dansaient garder avec eux. Comment pouvait-on avouer un amour interdis ? Ils n'osaient pas. Le plus vieux, par pudeur, tandis que le plus jeunes, ne voulaient pas décevoir ses pères. Des soupires d'aise se faisant entendre, des chocs brutaux se faisant ouïr, un sourire sadique se dessinait sur de simplette lèvres rosée.

-Ton corps m'appartient... Je suppose...

Sous cette phrase, un coup de rein fut donner, et un gémissement fut accentuer. Oui, son corps lui appartenait, comme tout son être. Un autre coup de rein, fit perdre au plus vieux, sa respiration. Il haletait.

-P-plus...

Cette voix, d'une timidité sans pareil, laisser son propriétaire rougir sans précédents. Tandis que cette voix se perdait dans un souffle coupé, la personne au dessus, faisait des vas et vient de plus en plus lents.

-Je n'ai, genre, pas entendu du tout Kiku... T'veux quoi ?

Le dénommé Kiku se laissait perdre dans ce plaisir, mais lorsque les mouvements en lui cessèrent, il ne put restreindre plusieurs plainte.

-L-léon...je t'en prie...

Soupirant,le jeune Léon répondit à l'appelle de son amant. Après tout, on ne pouvait pas en demander plus à une nation. Ravalant sa fierté, et son côté têtue, ses coups de rein reprirent dans la pénombre de la nuit, tandis que de ses mains aventureuses, il caressait cette peau laiteuse qui le tentait temps. Sa bouche venait mordre les bouts de chair d'un rose pâle, soupirant dessus tellement Kiku pouvait être serré. Un énième coup de la part de Léon, acheva Kiku. Sentant sa limite arriver, se dernier s'agrippait au dos de Léon, criant son nom, griffant le dos de son dominant et laissant les muscles de son anneau de chair se resserrer autour du sexe de l'homme aimait. Sous cette soudaine contraction, Léon ne put retenir en lui se cri de jouissance, et se déversait, avec autant de plaisir que son partenaire, en lui. Fatigué, son corps encore chaud du plaisir précédent, tombait sur celui haletant du japonais. Leurs respirations erratiques, Léon se retirait doucement de son amour, embrassant son front, et ramenant la couverture sur leurs corps frissonnant. Kiku, c'était déjà endormis. Léon, quand à lui, resté éveiller, caressant les cheveux de son amour, et souriant.

-Je suppose que ce secret et genre, en fait, pas trop désagréable à garder...