Bonjour tout le monde

Alors voilà, j'entreprends aujourd'hui ma première traduction d'une histoire écrite en anglais par « See Them Fly » qui s'intitule « Démons »

Un grand merci pour la correction à Ma belle « Eliloulou »

Disclaimers : Tout l'univers des Cullen appartient à Stéphanie Meyer.

J'espère que ça vous plaira, dites moi tout mais surtout Enjoy

Bonne lecture.

Chapitre 1

Bella :

Je ne me souviens pas beaucoup de la façon dont j'ai perdu ma virginité. Je suppose que d'une certaine manière, c'est choisir la facilité ; aucun souvenir, aucune anxiété, pas de soucis. L'épisode entier et maladroit est terminé et tu n'as pas à te rappeler de tous les petits détails tel que comment tu as trébuché sur le bouton de ton jeans et tu t'es frappé la tête contre la tête de lit. En fait, la seule chose que je me souvienne avec clarté, c'est que ma colocataire m'a emmené dans un club pour célébrer la nouvelle année, contre ma volonté. Elle m'a vêtue d'une chemise qui pouvait à peine être classée comme un soutien-gorge, sans parler de vêtements décents. D'une façon, c'est la meilleure façon de le faire.

De plus, quand tu te réveilles à côté de quelqu'un qui n'est autre que le frère de ton ex-petit ami, tu n'es décidément pas chanceuse.

La lumière filtrait à travers les volets et allait directement dans les yeux. J'essayai de bouger, mais j'étais empêtrée dans un nœud de draps en coton et des membres. Je me précipitai hors du lit. Le bras chaud qui drapait mon dos nu glissa hors de moi, mais la respiration lourde à mes côtés ne changea pas. Il était plongé dans le sommeil. La chambre était chaude et humide. Mon corps était raide et douloureux. Je me sentais différente. Il y avait cette douleur entre mes jambes et ma gorge était aussi rugueuse. Une sorte de musique acoustique mélodieuse de blues doux et puissant jouait dans l'arrière salle. J'essayai d'avancer mes pieds, mais finis par trébucher sur la moquette dans des livres, des papiers et les partitions musicales. Je tentai de camoufler mon corps nu avec le drap. Ma tête battait sans pitié, comme si une barre de fer était coincée en elle. La quantité de bruit que je fis, aurait réveillé les morts. Terrifiée, je me tournai vers le lit pour voir les boucles blondes sur l'oreiller à côté du mien commencer à remuer. J'aurais voulu courir à la porte, mais j'étais figée et trop effrayée pour me déplacer. Tout ce que je pouvais faire, était de rester là et de regarder Jasper se frotter les yeux endormis. Il se tourna dans un état second et me regarda.

Il lui fallu un certain temps pour comprendre qui j'étais. La première chose qui sortit de sa bouche et qui résumait parfaitement la situation, fut :

« Oh putain. »

Bingo.

Je restai là, maladroitement. Mon cœur battait comme un marteau piqueur, me sentant exposée et incapable de répondre. Il me regardait avec des yeux endormis. Faiblement, je me souvins de ces mêmes yeux bleus électriques ratissant le corps de haut et en bas. De lui, me tirant vers lui, plongeant en moi, chuchotant mon nom tandis je gémissais. De ses boucles blondes brossant ma poitrine. C'était toujours flou sur les bords mais bien réelle.

Je clignai des yeux pour chasser au loin ces images. Je m'occupai de rassembler mes vêtements dispersés à travers la pièce, en essayant de penser à quelque chose à dire. Que dire au frère de ton ex, avec qui on a eu du sexe en étant ivre, après cinq ans sans aucun contact ?

Rien.

Je pouvais sentir la panique augmenter à l'intérieur de ma poitrine lorsque je trouvai la culotte en dentelle noire qu'Angéla m'avait contrainte à porter. Elle avait essayé d'être une bonne amie. Elle avait essayé de m'aider à me relaxer et à me sentir bien dans ma peau. À ce moment-là, cependant, je ne me sentais pas bien dans ma peau. Je me sentais comme de la merde dans un corps blessé.

La chambre était faiblement éclairée et sentait le renfermé. Sous le désordre, il était difficile de trouver quoi que ce soit. Je m'accroupis pour ramasser la culotte, ravalant la boule dans ma gorge et repoussant la sensation de mon corps endolori et de ma tête lancinante. Le sexe n'était-il pas censé nous faire nous sentir bien. Je devrais me sentir fabuleuse, prodigieuse et incroyablement bien.

Il avait senti comme mon esprit tournait, que ma peau mate se couvrait de sueur et qu'un courant électrique circulait entre nous. Je faillis quasiment m'étouffer à cette pensée, tombai et me rattrapai avec ma main.

Je sentis un corps s'accroupir près du mien et une voix douce, riche du sud dire mon prénom.

« Bella. »

Le son de sa voix me fit vibrer, envoyant des frissons jusqu'à ma colonne vertébrale.

« Bella, je suis désolé ».

Sa voix était sincère. Si sincère qu'il ne parlait pas simplement de la nuit. Cette pensée m'a fait chercher après lui et mes yeux se réunirent aux siennes.

Je ne pouvais pas parler.

Jasper avait changé au fil de ces années, vieilli. Mais il portait toujours ces vieux jeans, qu'il aimait tellement – cette fois sans chemise et le bouton défait, comme il venait clairement de juste se lever. Il avait toujours les mêmes yeux bleus, mais ses cheveux étaient plus longs, libres. La structure de son visage était plus forte et son corps était bien plus musclé. Il n'était plus ce jeune homme que j'avais connu. Il était un homme fort et indépendant et plus âgé.

Mais il était encore Jasper. Il semblait toujours épuisé et déchiré. Comme lorsqu'il était le mouton noirs de Forks, Washington. Toujours le même, mais totalement différent.

Et toujours le demi- frère d'Edward.

Encore une partie d'Edward.

« Pas de quoi » déclarai-je brusquement.

Ma voix était froide et glaciale. Il n'a même pas bronché en me tendant ma chemise. Je l'ai pris provisoirement, en m'assurant que nos peaux ne se touchaient pas

"Je vais faire un peu de café," offrit-il, debout et en étirant les muscles de son torse qui roulèrent sous la peau bronzée. Des éclairs de souvenirs de ses mains sur son corps, de lignes de baisers salés sur sa poitrine, le goût acidulé de citron et de la sueur de cet homme me traversèrent l'esprit brumeux et lointain mais toujours réel. Je détournai les yeux rapidement.

« Ne t'embête pas, » lui répondis-je, debout et serrant le tissu dans mes bras sur ma poitrine.

Ses yeux se plantèrent dans les miens, me regardant attentivement, plus intense, comme je me tenais là, les joues empourprées et une tête lancinante dans un corps endolori. Je devais dire quelque chose. Tout.

"Tu n'as pas besoin de me montrer autant d'hospitalité," déclarai-je. "Nous savons tous les deux ce que c'était. »

Jasper pencha sa tête sur le côté, en me regardant avec intérêt. Je n'aimais pas être sous contrôle.

« Et qu'est-ce, exactement? » demanda-t-il. A ce moment, sa voix semblait peinée.

Je ne voulais pas le dire.

« Jasper ... » grondai-je, l'avertissant de ne pas pousser plus loin. Il n'a pas flanché.

« Bella, » répéta-t-il, un sourire narquois et arrogant.

Je fronçai les sourcils et marchai en m'écartant pour me diriger vers la salle de bain. Je n'allais pas entrer dans une discussion avec lui en me tenant debout au milieu de sa chambre, enveloppée dans un drap

« Trou du cul, » marmonnai-je cruellement quand j'entrai, claquant la porte face de son rire. Mon insolence n'était pas nécessaire, mais ce n'était pas exactement une situation facile. Difficile d'y faire face.

Dès que j'entrai dans la salle de bain, je jetai le drap et me regardai dans le miroir. Quel gâchis. J'avais besoin d'un bain bien chaud et d'une bonne nuit de sommeil.

J'allais rentrer et l'obtenir.

« Trou du cul? » rit Jasper à travers la porte. «Bon sang, Bella, tu as grandi aux cours de ses cinq dernières années. J'ai jamais entendu un tel langage venant de toi avant."

Je sentais le reproche naissant en lui. Je n'aimais pas car je me sentais comme de la saleté et ma tête allait exploser. Jasper me faisait chier. Alors, j'enfilai mes vêtements aussi rapidement que possible et poussai la porte pour lui dire exactement comment je me sentais.

« Tu n'as pas partagé plus de trois mots avec moi, il y a cinq ans Jasper. Et vraiment, je ne veux pas que ca change maintenant, donc veille à sortir de mon chemin et de rester en dehors de ma vie. »

J'ai forcé mon chemin à travers lui pour tenter de sortir de sa chambre. Jasper n était pas prêt d'accepter ma réplique.

"Rester en dehors de ta vie? " Il rit comme je repartis. « Putain, Bella, je n'ai jamais été dans ta vie. »

La colère remonta en moi. Je me retournai pour lui faire face.

« Comment appelles-tu cela alors? » contestai-je.

« Du sexe », répondit-il fermement. " Du sexe enivré parce que nous étions dans le même club le soir du nouvel an. Cela ne veut dire, merde. Je ne suis pas dans ta vie. Je suis allée dans une boite de nuit Il y a une différence. »

« Bien », crachai-je à sa réponse. « J'en suis heureuse. J'ai effacée ta famille hors de ma vie, il y a longtemps. La dernière chose que je veux avec toi c'est de la réintégrer. »

« Idem, » Jasper grogna. « Je n'avais rien à voir avec toi à l'école secondaire et je ne veux pas quelque chose à voir avec toi aujourd'hui. »

« Alors nous sommes d'accord," j'ai conclu d'un coup de poignard. C'est alors seulement que je me rendis compte à quel point nous avions discuté de manière enflammée. Nous nous retrouvâmes face à face. Le souffle de Jasper embuait mon esprit. Je pouvais le sentir. Sentir la sueur, de citron, le sel et le whisky - tout sur moi et si différent de ce que son frère avait été. Je me souvins de l'obscurité, de la chaleur de son corps, dur qui pesait sur moi, au-dessus de moi, au fond de moi. Tout me revint : l'instinct animal, mes besoins et le désir

Baiser

Je récupérai de cette façon, me disant que c'était une erreur et que Jasper était un méchant pour moi. Lorsque je remarquai qu'il avait un petit sourire.

J'ai redressé mon expression et ai fait un pas en arrière.

« J'ai vu que… » Sourit-il en glissant ses mains dans ses poches.

« Quoi? » grognai-je.

« Tes yeux vitreux », fit-il remarquer, en passant une main gracieuse dans ses boucles.

« Le désir. La luxure. L'adoration. C'est tout ça. »

Je lui lançai un regard furieux. « Et ce que tu es un lecteur d'esprit? »

Jasper sourit un peu. Dans la lumière terne, je pouvais voir ses yeux briller contenant certains secrets cachés. Je me sentais exposée.

« Non, je peux juste lire les gens. »

Je ne savais quoi dire, donc je n'ai rien ajouté.

Il ajouté, d'une voix toute enrichie, fragmentée, brisée et différente. « C'était amusant, n'est-ce pas ? Je veux dire, nous avons été bons. »

Son expression était toute séduisante. Je me sentais en colère contre lui. Mais, je me sentais aussi prête à bondir sur lui et sentir ses doux baisers le long de ma clavicule.

Qu'est-ce qui n'allait pas avec moi ?

« Je ne sais pas », répondis-je amèrement, essayant d'ignorer l'odeur de lui sur ma peau et de la chaleur entre mes jambes. « Je ne me souviens pas beaucoup de ceci »

« Je pourrais te rafraîchir la mémoire », offrit-il, et avant que je puisse répondre, ses mains râpeuses glissaient dangereusement le long de ma taille. Elles étaient rugueuses, chaude et juste de la bonne pression. Ce qui me donna envie de tirer son corps contre le mien et de déguster ses douces lèvres et - Oh putain.

« Jasper, » rugis-je faiblement, poussant ses mains loin de leur objectif. Je me rappelai qui il était et ce que j'étais. Je me souvins pourquoi je ne pouvais pas, ne devrais pas.

« C'est inexact. Tu le sais. »

« Pourquoi? », pressa-t-il, reprenant ses mouvements et ses yeux bleus verrouillés sur les miens. « Est-ce si mauvais ? C'est juste sexuel. »

Je ne voulais pas le dire, mais les mots ne s'arrêtèrent pas.

« Tu es son frère. »

Jasper se figea, ses yeux devenant froid. Soudain, il les ferma et secoua la tête.

"Demi frère, » corrigea-t-il. « Et qu'importe ? C'était, il y a cinq ans. Tu n'es pas encore accroché à lui, tout de même. »

« Non, » répondis-je immédiatement.

Jasper sourit faiblement. « Tu vois ? Alors quelle importance? ne l'ai pas vu depuis plus d'un an. Il n'est pas mon frère, et il n'est même plus ton petit ami. Puis-je avoir un baiser?»

Oui, je pouvais. Il se sentait mal. Il était blessé. Il me rappelait tant de choses. Jasper était tellement différent de lui, avec ses mains rugueuses, sa force, sa passion et sa chaleur.

Mais ses mains sentaient tellement bonnes. Son pouce commença à frotter un point sensible dans le creux de mon dos. La chaleur s'insinua en moi, profondément dans ma peau, me secouant le cœur, me faisant gémir rapidement…

Je mordis ma lèvre. Jasper sourit.

« C'est juste sexuel », ajouta-t-il. « Rien que ça, merde. Nous n'avons même pas à jouer à l'accueil. C'est juste du sexe."

« Juste le sexe, » répétai-je tandis ses pouces menaient leur danse à travers ma peau vierge, résistant à la tentation de renverser mes hanches. « Juste du sexe. »

« Pas d'attachement», ajouta-t-il.

Machinalement, j'acquiesçai, perdue dans la sensation de sa peau sur la mienne et du courant électrique qui voyageait dans mon dos chaque fois qu'il me touchait de cette façon.

« Pas d'attachement », répetai-je. « Je peux faire face à cela. »

:::

Quand je suis arrivée à l'appartement, je dus me préparer pour elle. Je veux dire à Angéla. Elle avait sans doute vu quelque chose, et être dehors toute la nuit, n'était pas exactement un phénomène courant. En fait, c'était même une première. J'aurais cru qu'elle aurait bondi sur moi.

Dès que je me passai la porte, elle le fit.

« Bella! » appela-t-elle, bondissant du canapé et se précipitant vers moi.

« Bella, tu es à la maison ! Oh mon dieu j'étais inquiète. »

Angela était ma meilleure amie et pratiquement la seule personne de l'école secondaire avec laquelle j'avais gardé un contact. C'était une fille tranquille lorsque nous y étions mais depuis qu'elle était au collège, elle avait pris confiance en elle et avait plus d'esprit. Elle avait eu une relation chaotique avec Ben son amoureux au lycée. Mais, elle semblait bien marcher à présent.

« Désolé, Ang, » m'excusai-je rapidement. « Je me suis rattrapé. »

Ma tête était toujours pulsatile et mon corps encore souffrant. Sans parler de l'état d'esprit dans lequel j'étais. J'ai juste passé un accord avec le frère de mon ex petit ami pour devenir sa copine baiseuse directement après avoir eu des relations sexuelles pour la première fois en étant ivre, dans une chambre enfumée, chaude avec de la musique. Je n'étais pas en bon état.

« Oh, je sais. Et j'ai besoin de parler avec toi de lui »

J'aurais pu refuser mais je n'avais pas l'énergie. « Okay, c'est très bien » acceptai-je rapidement. Mais pouvons-nous faire cela dans la salle de bain. J'ai besoin d'un bain chaud. »

Angéla hocha la tête et se dirigea vers la salle de bain laissant couler le robinet pour moi pendant que je commençai à enlever les vêtements de la nuit dernière. Lorsque j'eux fini, elle les ramassa et les jeta dans la panière, avant de fermer le couvercle des toilettes et prit un siège. J'allai dans les tiroirs et attrapai une débarbouillette. Je pris deux aspirines avant d'entrer dans le bain. L'eau chaude sentait comme le ciel autour de mon corps endoloris. Détendue, je me nettoyai et le sentiment bizarre commença à s'affaisser. J'étais toujours la même personne, un peu raide, mais toujours la même.

« Alors », commença Angéla, en croisant ses jambes et verrouillant ses yeux avec moi.

"La nuit dernière était assez mouvementée n'est ce pas »

J'haussai les épaules nonchalamment.

« Honnêtement, je ne me souviens pas beaucoup d'elle. »

« Mais tu as eu des rapports sexuels la nuit dernière, non? Je veux dire, c'était là où tu étais, non? " Pressa-t-elle, confuse.

Je fis signe tout simplement. « Et maintenant, j'ai une gueule de bois. La vie est une chienne. Je ne peux pas croire que tu ma fais sortir. »

« Tu as bu comme un camionneur», gloussa-t-elle.

« Ouais, merci de m'avoir arrêtée » taquinai-je.

Angéla se tut pendant quelques instants. Un de ces silences maladroits où tu cherches quoi dire.

C'est exactement ce que je faisais.

« Eh bien c'est juste…Tu n'as pas eu du sexe avec Jasper, n'est-ce pas ? » demanda-t-elle nerveusement. J'étouffai presque avec mon propre souffle.

"Qu -quoi ?"

Angéla haussa les épaules nerveusement. « Bien, je veux dire,…. Je vous ai vu tous les deux être assez chaud et lourd au club. La dernière chose j'ai vu, c'est que vous héliez un taxi et que tu m'as dit de ne pas t'attendre. J'ai juste pensée que toi…L'as-tu fait ? »

Je ne pouvais pas mentir à Angéla. Elle me connaissait trop bien et la culpabilité me rongerait ensuite. Tout ce que je pouvais faire était un clin d' œil de confirmation.

« Oh, Bella, » soupira-t-elle. « Tu n'as….. »

J'haussai les épaules nonchalamment. « Est-ce si important de toute façon? »

Angéla trébucha sur ma réponse. "Eh bien ... c'est juste ... je veux dire ... il est juste ... il est ... je veux dire ... c'est juste ..."»

« Crache le morceau, Ang, » soupirai-je, frottant le tissu humide sur mon visage.

"Il est le frère d'Edward, » lâcha-t-elle. "Et, ce que je veux dire, c'est que je ne t'ai pas vu avec quelqu'un depuis Edward ... Et maintenant, tu sors avec son frère. Est-ce sain ? Je veux dire ... Edward et toi avez eu une mauvaise rupture. Je viens ... Je ne veux pas que tu souffres à nouveau. Sans parler de ce que Jasper était à l'époque. Veux-tu vraiment t'impliquer là-dedans? »

« Je ne sais pas, » répondis-je tout simplement. « Je ne suis pas impliqué dans cela. Nous ne sommes pas dans une relation. C'était juste une nuit. Aucun mal, aucune faute. Je ne vais jamais le revoir. Je ne veux rien à voir à faire avec cette famille. J'ai appris la leçon. Je ne suis pas ce genre de personne. »

Angéla me regarda avec des yeux larges. Je venais d'hausser les épaules à nouveau. Je me sentais mal de lui mentir, mais c'était seulement un petit mensonge avec une partie de vérité. Si je lui parlais de notre accord, elle serait en colère. De plus, si je lui disais que Jasper a pris ma virginité, elle le tuerait. Personne ne pouvait savoir. Je ne pouvais pas le dire à Angéla. Je devais juste lui mentir Ca fonctionnait bien, parce qu'un petit sourire commença à apparaître sur son visage.

« Eh bien, je suis heureuse » répliqua-t-elle. « Il doit avoir eu un choc en se réveillant ce matin, Hein? »

« Tu n'as pas idée » acquiesçai-je avec un petit sourire coupable.

« Et qu'a-t-il dit? Je veux dire, a-t-il dit quoi que ce soit à propos d'Edward ou des autres ? Sort-il toujours avec Alice ? Où sont Rosalie et Emmett? »

J'haussai encore une fois les épaules, dessinant avec mon doigt de petits dessins autour de ma poitrine.

"Non, il n'a rien dit. Je n'ai pas demandé non plus», lui répondis-je tranquillement. "Je ne voudrais pas de toute façon. Je ne veux rien à voir avec cette famille."

« Eh bien, » déclara Angela, en me souriant brillamment. « Mes meilleurs vœux pour cette nouvelle année. »

« Ouais, » marmonnai-je. «Bonne année a toi aussi. »

To follow ?

S-jr