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Prologue
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Severus regarda la montagne de travail à côté de son bureau et passa ses doigts à travers ses cheveux.
- Tu ne peux plus te faire cela, cher garçon.
- Je vais parfaitement bien, Albus.
- Fatigué est ce que tu es, Severus, dit le portrait.
Le directeur, l'actuel, regarda vers le vieil homme qui était suspendu au-dessus de lui. La lente pulsation de douleur dans sa tête revint et il pinça l'arrête de son nez, essayant de la faire partir sans de véritable succès.
C'était seulement la moitié du semestre, juste après Noël et son professeur de Défenses contre les Forces du Mal avait déjà abandonné son poste. Severus avait toujours critiqué les choix d'Albus Dumbledore pour l'emploi jusqu'à ce qu'il devienne le directeur de Poudlard, huit ans passés. La première année, il n'avait pas eu de difficulté avec la sélection, Carrow était venu et personne n'avait un mot à dire sauf Lord Voldemort. Mais après cette horrible année, il revint à Snape de choisir le candidat idéal pour le poste.
La sélection avait été restreinte depuis le début. Le public avait entendu parler du mauvais sort qui s'y rattachait, bien avant que Severus occupe la position de directeur. Même si certaines personnes étaient devenues plus intéressées à enseigner ce sujet en particulier suite à la chute de Voldemort, le nombre de postulants était malgré tout proche de zéro. Le mauvais sort empêchait toujours les braves idiots de penser qu'ils pourraient s'occuper d'une classe pleine d'idiots encore pires qu'eux.
Alors durant l'été qui suivit la fin de guerre, Severus, déjà extrêmement occupé à gérer la reconstruction du château, quitta l'école afin d'aller à la Tête de Sanglier pour conduire cinq entretiens. La première candidate avait à peine dix-neuf ans et avait étudié à Beauxbâtons. Elle était superbe mais lorsque Severus lui demanda en quoi consistait son expérience, elle débita les plus grandes âneries que l'homme avait entendues de toute sa carrière. Londubat en savait plus sur les potions que cette merde à propos des Forces du Mal. Lorsque que le directeur marcha vers la porte et l'ouvrit brusquement, le second candidat, qui s'y collait l'oreille afin de connaître la question qu'on pourrait aussi lui poser, tomba à la renverse dedans.
Oh! l'ironie avait une façon bien à elle de se rappeler à Severus.
Il renvoya l'imbécile aussitôt.
Après cela, il rencontra le quatrième candidat. Un vieil homme, très âgé, qui était tombé endormi pendant qu'il expliquait au directeur comment se protéger des mauvais sorts. Snape se contenta de regarder l'homme, irrité, mais d'une certaine manière envieux de sa paix, écoutant les profonds ronflements. Cependant, il avait déjà été un Serdaigle et il en connaissait quand même davantage que tous les autres réunis alors il l'embaucha.
Durant les examens, au moment où une fille de troisième année allait se confronter à un épouvantard, ce dernier prit l'apparence du visage du vieil homme. Severus constata que la fille, appliquant parfaitement ses études sur le sujet, imagina son professeur avec rien d'autre qu'un sous-vêtement rouge en dentelle qui apporta des rires jusqu'en dehors de la Grande Salle. Le vieil homme, gêné qu'on puisse croire qu'il préférait les sous-vêtements de femme ou peut-être trouvant déplaisant que la vérité ait pu être révélée, frappa la jeune fille. Il fut immédiatement renvoyé, puis expédié à Ste-Mangouste avec un nez et un bras cassés, courtoisie du directeur Snape.
La seconde ainsi que la troisième année, furent encore pires. Severus reçu une seule candidature par année et celles-ci quittèrent avant les examens, forçant le directeur à remplacer car il n'avait pas d'autre option pour l'instant. Curieusement, il n'y avait eu aucune note en-dessous d' « Efforts Exceptionnels » durant ces deux ans.
La quatrième année se révéla être un désastre tandis que, pendant l'été, il ne trouva pas un seul candidat. Mais Snape était habitué de se battre pour ce qu'il voulait et il voulait un professeur des Forces du Mal plus que tout. Alors il promit une indemnité ainsi qu'un horaire flexible et n'importe quoi dont ces ânes auraient besoin pour être convaincu qu'il s'agissait de l'emploi de leurs rêves. Lorsqu'il n'y eut que Stan Rocade qui répondit à l'offre, Severus pensa qu'il allait remettre sa démission immédiatement. Cependant, après une rassurante main sur son épaule et un appel par le Réseau de Cheminette, Minerva se tint devant lui avec son nouveau professeur de Défense contre les Forces du Mal: Luna Lovegood. Snape rit, comme il l'avait rarement fait au cours de son existence. Ce ne fut pas apprécié. Minerva ne lui adressa pas la parole durant une semaine puis, c'est ce que le directeur apprit que sans Minerva McGonagall, il aurait déjà été enterré sous une montagne de paperasse. À contre coeur, il envoya une lettre à Madame Lovegood qui était impatiente de revenir. Finalement, elle n'était pas si mauvaise, bien qu'elle s'éloigne souvent du curriculum et qu'elle ait des méthodes d'enseignement bizarres. Mais ses étudiants avaient de bons résultats, alors Severus se la ferma puis se réjouit du fait que le mauvais sort semblait ne pas avoir fonctionné.
Jusqu'à ce que ce fut le cas. Et que Madame Lovegood partit au loin avec un naturaliste afin de commencer la chasse d'une créature depuis longtemps oubliée quelque part en Amérique du Sud, laissant Snape misérable et l'école sans professeur de Défenses. Encore.
La cinquième année fut la pire. Le gars avait carrément volé l'un de ses élèves de N.E.W.T. Le directeur cru qu'il ne pourrait jamais laver la honte qu'il avait de lui-même, ni celle de l'école. Puis, c'est à ce moment qu'un miracle se produisit. Elle postula.
Sheila était parfaite. Née de deux moldus, elle s'extasiait de n'importe quoi ayant un lien avec la magie. Elle connaissait tout et non pas juste sur son sujet; elle était enthousiasmée par l'emploi, à propos des perspectives, à l'idée d'enseigner à de jeunes esprits. Elle avait des conversations intéressantes, l'équipe de travail l'aimait. Ses étudiants l'adoraient même si elle avait donné presqu'autant de retenues que Snape dans ses vieux jours. Amusante et spirituelle, elle charma tout le monde, Severus y comprit. Elle donnait des balises aux enfants, aidait avec les activités extra curriculum, obtint les meilleures notes – et tomba enceinte en février. Le directeur n'avait jamais eu l'air si dépité, il se sentit trahi lorsqu'elle quitta à la fin de l'année. Il lui fit cadeau d'une photo avec les collègues de son équipe dont elle était proche mais la sorcière en voulait davantage. Elle amena aussi l'amour de sa vie avec elle: son enseignant en Arithmancie. Deux professeurs qu'il perdait en raison de leur histoire amour.
Victor fut facilement remplacé, son poste n'était pas hanté par un mauvais sort après tout. Cependant, la place de Défenses provoqua plusieurs maux de tête à Severus durant l'été, à nouveau.
Cette même année, prit fin la punition infligée à Draco Malefoy par le Ministère de la Magie, après la guerre. On l'avait forcé à enseigner l'Étude des moldus car le Ministère croyait qu'il aurait à apprendre des personnes qu'il avait voulu réduire en esclavage. Son neveu, assez amusant, avait commencé à apprécier l'enseigner dès la première année. Il y était donc devenu plutôt bon à le faire également. Le directeur le supplia de quitter son poste mais Draco craignait le sort et de plus, l'Études des moldus exaspérait son père, ce qui l'enchantait grandement.
Ce fut la première fois qu'ils mentionnèrent Potter. Harry Potter. Parce que pour sûr, il arrêterait cela, il briserait le mauvais sort et Severus le savait au fond de lui. Cependant, il ne demanderait jamais au gamin même si sa vie en dépendait. Leur histoire était terminée et il n'avait rien entre eux. Il n'avait pas vu le garçon depuis cinq ans, c'était parfait de cette manière.
Juste au moment où il allait se résoudre à se charger lui-même du travail, Charlie Weasley vint à sa rescousse sur un dragon. Littéralement. Sa bande de gardiens et lui voulaient établir une nouvelle colonie en Angleterre. Pendant la construction du sanctuaire pour les dragons, Monsieur Weasley ne pourrait opérer en Roumanie car il devait superviser le travail en Écosse. Par contre, il n'avait pas non plus envie de perdre son temps. Il était donc le meilleur candidat, pour ne pas dire le seul. Il ne fut pas aussi bon que Sheila, bien sûr, mais le directeur avait vu pire à la fois comme professeur de Défenses et comme Weasley, alors le rouquin était le bienvenu. Puis le sanctuaire se termina et l'on dit tristement au revoir à un autre enseignant qui partit sur une boule de feu chinoise, au grand amusement de ses ex-élèves.
Son actuel professeur de Défenses contre les Forces du Mal, qui n'était plus là non plus, était venu à lui sur ses genoux. En effet, cela c'était produit dans un coin sombre d'un bar encore plus glauque. Ils s'étaient saoulés et Severus avait eu faim de... libération. L'homme s'était mis à genoux devant lui, sa bouche embrassant sa queue dure à travers ses jeans mais c'était sur le point de changer. Alors le directeur confia dans un brouillard alcoolique pourquoi il était si irrité. L'homme lui dit qu'il était plutôt bien avec « les choses de défenses » donc Snape dû soudainement faire face à une difficile décision: se faire sucer ou obtenir un professeur de Défenses? Lorsqu'il regardait en arrière maintenant, le directeur savait qu'il n'avait pas fait le bon choix. La première option, au moins, lui aurait donné cinq minutes de bonheur contrairement à trois mois de souffrance. Il eut souvent à remplacer les leçons que son professeur donnait. L'homme avait la manie d'entrer et sortir, se retrouvant dans l'Allée des Embrumes. Heureusement, n'y faisant rien d'illégal, juste visitant les bars fréquemment. Comme il le découvrit par la suite, il ne visitait pas les bars, ou plutôt ce n'était pas de cette catégorie. Mais là où se rassemblait une clientèle particulière, et plus important, ses habitudes. Selon la Gazette du Sorcier, l'homme était le meilleur soumis de l'Allée des Embrumes et de ses environs. Les photos de lui attaché à un lit avec deux queues dans son cul, les lanières de cuir et autres trucs du même genre autour de son propre bout ainsi que de ses seins, étaient suffisamment convaincantes. Severus n'avait pas de problème avec ce genre d'habitude dans la chambre tant que ça restait là et non étalé dans la Gazette, à la maison de chaque sorcier.
Il décida de le renvoyer et d'assurer lui-même la place. À l'arrivée des vacances d'hiver, il souffrait physiquement d'un manque de sommeil, les poches sous ses yeux étaient si prononcées. Il perdit du poids en raison de ses horaires irréguliers à manger, ou plutôt de son manque de nourriture. Se consacrant à la seconde où il était en-dehors de la classe, à la correction du quatrième pied des devoirs s'étant accumulés sur son bureau. Avec un minimum de deux heures de sommeil par journée, il enseigna héroïquement jour après jour, afin de pour pouvoir signer certains papiers administratifs et noter des examens pendant la soirée. Ensuite, il passait le reste de la nuit à survivre seulement sur le café tandis qu'il brassait des potions pour l'infirmerie et espérait qu'il trouverait un moment pour chercher une candidature acceptable pendant les vacances hivernales à venir, ou mieux encore, que le Père Noël lui en apporterait un.
Ce dernier était bien passé mais n'avait apporté que des bas et des livres. Pas de professeur de Défenses ni de temps à consacrer à sa recherche.
Une mortelle exhaustion se saisit de Severus alors qu'il regarda la montagne de parchemins. Peu importait à quel point Draco, Minerva et le reste de l'équipe tentaient de l'aider, il n'était simplement pas capable d'assumer les postes de directeur et de professeur de Défenses contre les Forces du Mal en même temps. Il devait se rendre à l'évidence. Il frotta ses paupières, but du café et tira un papier d'au-dessus de la pile. Les lettres s'entremêlèrent devant lui. Il fronça les sourcils, il essaya de cligner ses yeux mais c'était en vain. Il fallait qu'il dorme; il avait couru comme un fou ces dernières trente-huit heures. Il était fatigué, assoiffé, affamé et avait besoin d'un massage plus que n'importe quoi.
Les cloches sonnèrent minuit et Snape leva la tête. Il observa à travers la sombre fenêtre pour un instant, ne comprenant pas pourquoi les cloches de Poudlard carillonnaient.
- C'est le Jour de l'An, Severus, expliqua une voix au-dessus de sa tête. Ne gaspille pas les premiers moments de l'année à venir en travaillant. Descends, célébrer avec tes amis et collègues.
Le directeur soupira profondément. Quand est-ce que cela c'était produit? La dernière fois qu'il avait vérifiée, il restait encore trois jours avant le Nouvel An.
- Je suis occupé, Albus. Laissez-moi seul.
Soudain, de sa cheminée, un blond éméché surgit des flammes vertes en tenant deux coupes d'un authentique et très coûteux champagne français.
- Fais un vœu! cria-t-il d'une voix ramollie par son état d'ivresse.
- Trouve-moi un professeur de Défenses, répondit Severus sans hésitation, d'un ton exaspéré.
Draco plaça la boisson dans sa main puis fit tinter leurs verres.
- Fait, dit-il en vidant sa coupe et en retournant dans la cheminée. Il partit avant que Severus ait le temps de dire quoi que ce soit d'autre.
Ce dernier posa son verre. Il regarda à nouveau le parchemin devant lui et remarqua qu'il pouvait parfaitement lires les lettres désormais, bien qu'il eut souhaité continuer à ne pas pouvoir le faire car c'était un amas de bêtises. L'un des pires essais qu'il n'avait jamais lu. Il observa le papier encore une minute, écoutant le tic-tac des premières secondes de la nouvelle année. Alors, il lâcha sa plume, poussa la pile de papiers et saisit sa coupe de champagne.
- Merde avec tout ça, grogna-t-il en vidant son verre. Il repoussa la chaise de son bureau, se leva et marcha vers la porte. En agrippant la poignée, il se retourna. - Bonne Année, Albus.
Les yeux bleus pétillants le regardèrent avec bienveillance.
- À toi aussi, mon cher garçon. Qu'elle t'apporte joie et repos.
Severus roula ses yeux et descendit pour célébrer. Il savait qu'il le regrettait demain. Mais demain était à plusieurs autres coupes de champagne alors pour le moment, ne pouvait s'en foutre davantage.
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Le scotch de mauvaise qualité lui brula la gorge, mais bordel, au moins c'était froid. Il le pressa contre sa tempe.
- T'as encore la gueule de bois? se moqua son neveu.
Demain viendrait vraiment plus tôt qu'il l'aurait souhaité. Sa grande fatigue l'avait complètement achevé.
- Je n'ai pas la gueule de bois, croassa Severus. Je suis juste tellement bourré putain, c'est ce que je suis.
Son crâne lui élançait à un tel point qu'il voulut se retourner pour voir s'il n'y avait pas de dragon derrière lui frappant sa tête avec la sienne.
- L'école va recommencer, lui rappela Draco.
Le directeur fusilla le garçon du regard. Malefoy avait vingt-cinq ans, mais comme il avait aidé à changer ses couches puantes, c'était difficile pour lui de le voir autrement. Même si, si les rumeurs étaient vraies – et elles l'étaient – Draco avait presque autant d'expérience que Severus avec ses quarante-cinq ans.
- Pourquoi crois-tu que j'ai besoin de me souvenir de cela?
Les yeux noirs injectés de sang cherchèrent le blond du regard sans le trouver.
- Parce qu'il est six heures du soir et que tu bois du scotch au lieu d'un café puis aussi, que tu portes toujours les mêmes vêtements qu'hier. Et tu… bien, excuse-moi, mais tu pues, vint la réponse que Severus ne voulait pas vraiment entendre. Il était, merci beaucoup, parfaitement conscient de tout ça.
- Je t'emmerde, Draco, grogna-t-il.
- C'était quand la dernière fois où t'as mangé? se renseigna doucement le jeune en se rapprochant de son parrain et en lui prenant le verre d'alcool des mains. - Et je veux dire un véritable repas, pas juste une bouchée ou deux.
- Quel jour sommes-nous?
- Dimanche, lui répondit Draco en roulant des yeux.
Severus hocha de la tête. Il n'aurait pas dû. Son mal de crâne devint un million de fois pire qu'avant.
- Il y a trois jours.
- Va prendre une douche, mange quelque chose et va au lit. Draco le mit debout puis le poussa à travers la porte secrète qui menait aux chambres privées du directeur. - Et on partagera les classes de Défenses demain. Tu t'occupes des plus jeunes, années une et deux, je me chargerai du reste.
Snape leva la tête et regarda dans les yeux gris. Il se sentait si reconnaissant qu'il en aurait embrassé Draco, le percevant comme s'il était de son propre sang.
- Le ferais-tu vraiment?
Il respira puis promptement serra son filleul dans ses bras.
- Oui, murmura Draco. Mais lâche-moi. T'es saoul et tu sens comme…Severus se recula mais Draco pouvait percevoir l'odeur autour de son parrain. – Une bombabouse?
Le directeur ricana. De vagues souvenirs de la Nouvelle Année lui revinrent. Cependant, un Hagrid perdu, des bombes nauséabondes et un Filch furieux, ce fut tout ce dont il se souvenait. Mais c'était suffisant pour le faire sourire.
- Qu'est-ce que c'est que cet attirail? demanda-t-il à Draco alors qu'il l'observait, notant sa tenue seulement maintenant. Le garçon portait des robes raffinées, rien qu'il n'aurait mis à Poudlard. - Où t'en vas-tu?
- Acheter ton putain de cadeau d'anniversaire.
- Tu as intérêt à ne pas m'offrir quelque chose de radin cette année. Tu m'en dois une pour cette histoire avec Come As You Are*.
Le jeune homme eut la décence au moins de rougir. Quelques mois passés, il était sorti acheter la Gazette du Sorcier, comme les autres enseignants. C'était grâce à Severus ainsi qu'à un large sac remplit de gallions si Draco avait encore son emploi et que son secret impliquant des baillons, des fouets, des pinces en métal, beaucoup de cuir, était bien gardé.
- Oh! Je suis certain que ce ne sera pas radin. Par contre, je ne sais pas si ça voudra venir volontairement.
Snape n'avait aucun indice quant à ce à quoi le blond faisait référence. Mais son mal de tête était revenu, quelqu'un s'amusait à s'en servir comme punching bag. Il ferma les yeux.
- À demain, Draco. Ne sois pas en retard et si je le suis, viens vérifier. Je serai peut-être mort.
* Come as you are est une boutique canadienne où l'on peut acheter… qu'en dire, aller voir si vous êtes curieux ;)
