Salut! Voici mon premier OS à vie! Dîtes-moi comment vous le trouvez!
Disclaimer: Tous les personnages appartiennent à Stephanie Meyer
Edward m'appartiendra un jour ^^
Bonne lecture !
*~ lα ɢyмɴαѕтe ~*
Je me dirige lentement vers mon lieu de rendez-vous. D'ici, je peux apercevoir mon vendeur, Eddy. Je ne suis pas supposée connaitre son vrai prénom, mais j'ai entendu l'une de ses conversations au cellulaire alors qu'il s'apprêtait à me vendre quelque chose. Il s'appelle en réalité Edward, mais c'est tout ce que je sais à son sujet. Je sais que ce que je fais est très mal, prendre une quelconque substance afin de se rendre meilleure. Bref, je suis une gymnaste de haut niveau et je me dois de le rester, sinon bye-bye l'argent pour un futur. Heureusement, la drogue que je prends est toute nouvelle sur le marché et elle ne se détecte absolument pas aux tests de dépistage. Mon entraîneur, Emmett, fait tout ce qui est en œuvre pour que je puisse garder mon statut, même à me payer les drogues les plus chères pour qu'elles soient indétectables. J'arrive près d'Edward et peux mieux apercevoir son visage de dieu grec. Sa mâchoire carrée, ses lèvres pulpeuses qui appellent les miennes, son nez fin et droit, ainsi que ses yeux émeraude qui me fixent depuis un bon moment déjà.
-Bonjour ma jolie! Me susurra-t-il de son ténor si séduisant.
-Bonjour Eddy. Dis-je le plus neutre possible.
Il me tendit une fiole avec un liquide jaunâtre à l'intérieur.
-Euh… fis-je. Ce n'est pas la bonne substance, la mienne est rose habituellement.
-Ouais, mais j'en ai trouvé une bien meilleure, les policiers ont trouvé un moyen de détecter l'autre. Veux-tu que je te pique maintenant?
C'est toujours lui qui m'administrait mes drogues. Je n'étais pas capable de me le faire moi-même, ayant une légère répulsion envers les aiguilles. Je le regarde remplir lentement la seringue du produit et la stériliser ainsi que mon bras. Une fois fait, je me lève rapidement et lui demande :
-Emmett t'a donné le montant?
-Non pas encore. Répondit-il.
Tout-à-coup, ma tête se met à tourner. Je pense que ce doit être un effet secondaire de la nouvelle drogue. Je me sens défaillir lentement, et puis, le trou noir.
***
Je suis sur le point de faire mon entrée sur le tapis de gymnastique. J'ai une compétition très importante et je dois absolument la réussir. Comme prévu, Emmett est à mes côtés et me fait répéter le nom des enchaînements que je dois exécuter. Mon malaise de l'autre jour s'est vite dissipé. Edward m'a donner un peu d'eau et je suis retournée chez moi.
On appelle mon nom et je me lève, laissant ma serviette sur mon siège. Je me dirige au coin du tapis et me concentre fortement. Je me mets en cours et exécute mon premier enchaînement : un triple flic arrière suivit d'un salto. Je réussis et me tourne rapidement vers mon entraîneur qui me regarde avec un sourire qui s'étire sur son visage. Je m'élance à nouveau en faisant mon second enchaînement qui est semblable au premier à l'exception d'une vrille à la place du salto arrière. Je fais mes flics arrière, mais arrête soudainement lorsque le moment est venu de faire ma vrille. Une espèce d'image s'incruste en moi. Je me vois collée à un mur de brique, embrassant un homme dont je ne vois pas vraiment le visage. Ses mains sont partout sur mon corps. Je me laisse faire, gémissant mon plaisir, laissant échapper un prénom entre mes lèvres : Edward.
Ce n'est définitivement pas le temps de fantasmer sur mon vendeur. Mais j'ai une espèce de sensation de déjà-vu. Ce doit être parce que j'ai souvent des pensées peu chastes à son sujet. Je me secoue la tête et me tourne vers Emmett. Ses lèvres forment des mots silencieux : Mais qu'est-ce que tu fais?
Je m'élance à nouveau, mais perds pied au centre du tapis. De nouvelles images me viennent en tête. Edward, me mettant à genou, mettant son membre dans ma bouche et me faisant faire des vas-et-viens. Mon vendeur ayant les yeux fermés grognant de plaisir, éjaculant dans ma bouche en trois longs jets abondants, me forçant à avaler sa semence.
Je tente de me relever, mais ma cheville me fait atrocement souffrir. Emmett vient sur le tapis et examine ma cheville, très enflée. Il me prend dans ses bras et me transporte vers le siège que j'occupais précédemment. Des images continuent d'affluer tranquillement dans mon cerveau, me déconnectant de la réalité. Ma jupe, reposant sur le sol. Edward, accroupit face à moi, me faisant du bien avec sa langue. La voix d'Emmett me ramène à la réalité.
-Mais qu'est-ce qui t'as pris Bella? Tu réussis cet enchaînement dans les échauffements et maintenant tu te blesse durant une compétition! Es-tu vraiment allée voir Eddy?
Alors qu'il termine sa phrase, un responsable des dépistages s'approche de nous. Ceci n'augure rien de bon. Arrivé face à nous, il entreprend de nous expliquer la situation.
-Les tests de dépistage sont positifs (je me raidis soudainement). Mais pas dans ce sens. Nous avons détecté des traces de GHB dans votre urine. En gros, je crains que quelqu'un vous ait administré la drogue du viol ma chère.
Emmett devient rouge de colère et me regarde comme si je l'écœurais. Moi, je n'étais pas dans mon assiette. Toutes ces images que je vois se sont produites. Bien que je sois attirée par Edward, je ne peux m'empêcher d'avoir un haut-le-cœur. Mon premier réflexe est de me tourner vers ma gauche et de dégobiller mon déjeuner.
***
Après tous ces événements, je retrouve enfin mon chez-moi. Je m'allonge dans mon lit et pense à tout ce que j'ai vécu durant la journée. Après avoir appris pour mon possible viol, j'ai appris également que j'ai une entorse à la cheville.
L'épuisement a raison de moi et je sombre dans un sommeil agité.
« Ses mains se font plus entreprenantes sur mon corps et je ne tarde pas à sentir ses doigts à la frontière de mon sous-vêtement. Ce n'est pourtant pas ça qui l'empêche d'aller plus loin et de franchir cette barrière. Son souffle chaud dans mon cou se dirige lentement vers ma poitrine et je ne peux que me laisser faire, mes bras de chaque côté de mon corps. Mon buste se cambre lorsque ses dents viennent titiller mes mamelons à travers mes vêtements. Ses longs doigts chatouillent ma chair vierge et commencent à se faire plus pressants. Edward laisse entrer tranquillement un doigt à l'intérieur de mon être et le ressort rapidement, pour ensuite en ajouter un deuxième. Ma respiration devient erratique. Il abaisse lentement mon shorty et je me trouve à moitié nue devant lui. Il enlève ses doigts et les suçote avidement. Il remplace ces derniers par sa verge gargantuesque et me pénètre d'un coup. Il se sert de moi pour son propre plaisir et moi, je ne réagis pas, ayant les yeux dans le vague, fixant un point imaginaire. Les coups de butoir deviennent de plus en plus rapides, accompagnés par les gémissements et les grognements de mon bourreau. Il arrive aux portes du paroxysme et jouit en moi. Il sort sa verge et remonte son pantalon tout en partant dans la direction opposée, me laissant seule dans cette ruelle, à demi -nue et plus sale que jamais. »
Je me réveille dans un sursaut. Je suis de retour dans mon lit, en sueur, les couvertures éparpillées un peu partout. Je me lève tranquillement et me dirige dans la douche d'une chaleur extrême. Je me frotte vigoureusement pour enlever toute la saleté dont Edward m'a couverte.
J'ai beau frotter comme une folle, la saleté reste présente. Une petite voix dans ma tête me dit qu'une seule solution est envisageable pour stopper ce sentiment de dégoût envers moi-même. Pour moi, je suis prête à tout pour enlever ce sentiment. Je lève tranquillement ma main vers mon rasoir qui est sur la petite tablette, à côté de mon gel douche. Je commence à me raser la jambe droite. Puis, la lame se fend et une partie tombe sur le sol de la douche. Je le ramasse et le regarde longuement. Je l'approche tranquillement de moi et me taille une partie de mon poignet. Et une autre. Et une autre. Un mot se forme sur mon avant-bras. « Salope » est écrite en rouge sang. Il ne manque plus que la ligne du « P » pour que le mot soit au complet. En taillant la dernière lettre qui me caractérise, ma veine s'ouvre légèrement et le sang coule abondamment. Je ne peux que sourire à cette vision. C'est tout ce que je mérite pour m'avoir fait embobinée si facilement. Je m'allonge dans le fond de la baignoire et laisse l'eau nettoyer ma peau du sang superflu. Celui-ci coule, coule et coule sans s'arrêter. Je me sens faiblir. Mes yeux se ferment lentement, pour ne plus s'ouvrir, espérons-le.
Comment l'avez-vous trouvé?
Dois-je en écrire d'autres?
Quoi améliorer sur celui-ci?
Si je fais une suite, quoi mettre dedans?(Et oui, j'ai trouvé un moyen de faire une suite, mais je ne sais pas quoi faire pour la suite)
Les Reviews sont gratuites, alors donnez-moi de l'amour!!
Bisou
Lulu
