Pseudo : Nied ( Seifer : malheureusement pour moi)
Genre : romance (en espérant ne pas trop sombrer dans la mièvrerie) aventure, fantastique (plutôt normal pour un FF ) et un peu d'humour (ou du moins je l'espère.)
Disclamer : A Square Enix, malgré toutes mes tentatives de corruption et mes demandes au Père Noël. Pas n'a moi. :pleurniche:
Alors, les fans de la première heure remarqueront que j'ai réécrit en profondeur les 6 premiers chapitres de ma fic et mon prologue. Les autres chapitres auront subi des modifications très mineures, quelques changements dans des conversations ou détails de l'histoire. Je liste les grands changements :
- beaucoup, beaucoup plus d'attention portée à la psychologie des personnages et leur relation (comprendre : vous allez en bouffer, du dialogue !)
- exit le rêve sur lequel commençait la fic (pour tout dire, c'était Ellone qui était sensée lui parler, mais chut, c'était une mauvaise idée)
- exit les toutous de Drace, je les ai supprimé, ils m'emmerdaient plus qu'ils m'aidaient. Du coup, oubliez le coup des lettres et des menaces dans les premiers chapitres, exit aussi.
- Seifer se retrouve avec un caractère encore plus de merde. Squall est devenu encore plus chiant. J'ai approfondit les caractères des autres. Linoa devient moins cruche. (xD). Shu reste une pétasse. (re xD). Quistis et Seifer, ça ne colle vraiment pas.
- Euh... Je me souviens plus du reste. (Seifer : hé bah bravo !)
Une sonnerie stridente de réveil retentit dans une petite salle et une jeune fille se réveilla en sursaut. Le malheureux réveil, après des années de bons et loyaux services, ne reçut pour récompense qu'un violent coup de poing sur son bouton.
« La ferme, foutu réveil, instrument du diable. »
La jeune fille dans le lit s'assit en tailleur et s'étira de toute sa longueur. Elle passa une main sur son visage. Elle était encore fatiguée. Elle se pencha en arrière et appuya sa tête contre le mur. Elle ferma les yeux. Aujourd'hui était l'examen écrit des Seeds. Beaucoup de gens de sa classe flippaient mais elle n'avait pas peur. Elle était toujours dans le top 3 de sa classe depuis des années, l'écrit n'était qu'une formalité. Quand elle se rendit compte de son laisser-aller, elle eut un sourire sardonique qu'elle perdit vite en voyant l'heure affichée sur son réveil. Elle se leva d'un bond et faillit tomber par terre, les jambes emprisonnées dans ses draps. Elle ronchonna avant de donner de grands coups de pieds pour libérer ses jambes du piège.
« D'abord, je manque de me rendormir et d'être en retard puis j'arrive à me casser la figure de manière stupide en me levant. Complètement stupide. Méchante journée. »
Elle attrapa son pantalon militaire et son gilet qui trainait par terre, ouvrit la porte de son placard à la volée pour récupérer tee-shirt et sous-vêtements avant de se précipiter sous la douche. L'eau qui jaillit du pommeau était gelée et la jeune fille sursauta. Vive la plomberie de la BGU, c'était super agréable. L'eau se réchauffa petit à petit et elle se savonna avant de se rincer. Elle s'enroula dans une serviette sans se soucier des petites flaques d'eau qu'elle laissait au sol, elle sécherait vite.
Elle attrapa avec un air mauvais la large bande qu'elle enroula autour de sa poitrine pour maintenir ses seins en place. Le geste, effectué depuis des années, était devenue une habitude. Elle n'aimait pas ça, comme aucune des filles de la BGU, mais c'était encore le moyen le plus pratique pour ne pas être gênée par sa poitrine. Elle enfila son tee-shirt puis son gilet avant de boucler le ceinturon de son arme autour de sa taille. Elle jeta un coup d'œil à son trench-coat qui l'attendait sagement sur une chaise avant de le dédaigner. Ce mois de mai était chaud, il faisait bon partout, elle n'aurait pas besoin d'un manteau, même si ce-dit manteau était presque une marque de fabrique chez elle, comme sa gunblade.
Avant de quitter la chambre, elle vit son reflet dans la fenêtre. Elle eut un sourire sauvage. Une jeune femme avec le même sourire lui fit face. Elle était vêtue d'une tenue d'inspiration militaire peu féminine, un gilet sans manche de cuir épais avec de lourdes bottes. Un regard vert un peu hautain, une nez droit et un visage qui semblait tout droit sortie d'une statue grecque classique, une chevelure dorée qui lui tombait aux épaules et semblait formé une auréole autour de sa tête.
Une nouvelle journée commençait pour Seifer Almassy.
(Hyne, ayez pitié de ses ennemis.)
Note de l'auteur en fin de chapitre : Alors, combien d'entre vous ont cru au début que je parlais de Squall ?
C'est vrai que c'est plutôt à ça qu'on pense, mais je trouve qu'avec un Seifer féminin, c'est plus original et plus drôle.
Seifer : t'étais franchement obligée ?
Mais oui, mon chou.
Squall, Irvine et Zell : Bouhahahaha, mon chou...
Seifer : J'vous hais tous. / Nied : Y a que moi qui est le droit de me moquer de Seifer. (poursuit les trois autres avec un ours-zombie en peluche - et en décomposition. )
Seifer (regarde les trois autres fuirent devant la gogole) : Reviews ?
