Bonjour, les gens! =D

Après une loooooooooongue absence sur le site (désolé, mon ordi portable était tombé en panne ^^"), je reviens en force pour continuer ma fic' Les rêves ne meurent jamais et pour poster cette nouvelle songfic' ZoSan! =D Je vous gâte, n'est-ce pas? (Okay, je sors! XD)

La chanson utilisée s'appelle Basta ya! et appartient également à Ricky Martin, dans le même album que ma précédente songfic', No te miento ! C'est une chanson douce et aussi très poignante! Je vous conseille de l'écouter, elle est vraiment magnifique! Dans cette chanson, Ricky Martin annonce qu'il dévoile son homosexualité, car il en a assez (comme le dit le titre!) de le cacher!

J'espère que vous aimerez et n'hésitez pas à commenter (d'ailleurs, vous pouvez visiter mon profil où j'ai mis une note sur les reviews! ^^)!

ATTENTION! CHRONOLOGIQUEMENT, CETTE FIC' SE DÉROULE AVANT CELLE INTITULÉE NO TE MIENTO (bien que je l'ai écrite après! Gomen! ^^"), CAR NOUS AVONS LES PENSÉES DE SANJI ! IL Y AURA PROCHAINEMENT UNE SUITE DE NO TE MIENTO COMME CERTAINS ME L'ONT DEMANDE ! =D

J'espère ne pas avoir fait d'OOC! Sinon, prévenez-moi! ^^ Merci d'avance!

Sanji et Roronoa Zoro © Eiichiro Oda - 1997

Basta ya ! © Ricky Martin - 2011

Bonne lecture !


Basta ya !

(Assez !)

Cela fait trois heures que la nuit est tombée. Tout le monde dort à poings fermés. En même temps, l'île estivale où on avait accosté et sa chaleur avait donné l'occasion à Luffy de vouloir faire un barbecue… Et le pitre, également, raison pour laquelle tout le monde s'était couché, après avoir réussi à calmer l'homme-caoutchouc qui nous sert de capitaine.

J'étais à présent seul sur le pont du bateau, en train de fumer. Je m'étais porté volontaire, quand Nami–san avait parlé de la surveillance nocturne du navire. Cependant, elle m'avait regardé avec surprise et répondu que ça faisait cinq fois de suite que je montais la garde. Cela m'avait touché que ma Nami-swan s'inquiète pour moi ; mais j'ai tout de même insisté… Car j'ai encore besoin de réfléchir…

Acercándome hacia la verdad
Busco el modo de explicarle al mundo
Lo que ya no sé callar

M'approchant de la vérité
Je cherche un moyen d'expliquer au monde
Ce qu'aujourd'hui, je ne sais plus taire

Voyant ma cigarette pratiquement consumée, je la jette à la mer et contemple l'océan. J'ai toujours aimé le paysage maritime, pourtant si imprévisible. J'avais comme l'impression d'être dans mon élément, dans mon petit monde… Comme si la mer me réconfortait… Je savoure à chaque fois ces instants de plénitude absolue mais j'en profite également pour tenter de clarifier mon esprit, bien embrouillé.

Je me sens totalement perdu, et surtout… Désemparé ! Cela fait quelques temps qu'un doute s'est immiscé en moi, mais je le refoulais sans cesse.

Aujourd'hui, je crois que ce n'est plus peine. J'ai de plus en plus de certitudes. Alors j'essaye de comprendre…

Pourquoi cette angoisse, ce pincement désagréable au cœur omniprésent ? Malheureusement, j'ai le sentiment que plus j'avance dans mes réflexions, plus la réalité s'impose d'elle-même.

Je sens que je ne tiendrais plus très longtemps. Qu'il faudra que je le lui dise.

Y una lágrima dejo escapar
De esta cárcel donde se castigan sin piedad
Los sentimientos

Et j'ai laissé couler une larme
De cette prison où souffrent impitoyablement
Les sentiments

Pour me calmer, je m'allume une autre cigarette. La nicotine m'apaise immédiatement. Mais ça ne résout pas mon problème…

Je me prends la tête entre les mains, sentant une migraine pointer le bout de son nez. La même pensée continue encore et toujours de me narguer.

Une étrange sensation au ventre se fait sentir comme une boule qui monte lentement… Très lentement… Je respire de plus en plus fort, alors qu'une sorte de carcan m'étouffe.

Fais chier… Pourquoi est-ce qu'il me complique autant la vie ? Pourquoi je n'arrive pas à refouler cette sensation ? Pourquoi son image ne sort pas de ma tête ? Je ne devrais avoir d'yeux que pour mes déesses, mes deux beautés !

Je tremble, tant je suis en colère envers moi-même et cette angoisse grandissante !

Contra todo contigo voy a estar
Envers et contre tout, je serais avec toi

A chaque fois, c'est la même chose… Quand j'ai les nerfs en pelote, c'est à cause de lui. Encore et toujours lui !

« K'so Marimo ! » marmonnai-je.

Basta ya !
De hacerle una prisión a lo que siento
Y negarme lo que quiero

Assez !
D'emprisonner mes sentiments
Et de nier ce que j'aime

« On m'appelle, Sourcils roulés ? »

Mon sang ne fait qu'un tour… Je sens sa présence, il est à côté de moi. Et je suppose qu'il doit me regarder bizarrement, me prenant sans doute pour un taré, à murmurer comme les petits vieux.

Néanmoins, avant de lui répondre, je prends le temps de finir ma cigarette, afin de me détendre et de me remettre de cette arrivée soudaine.

'Pas envie de me prendre la tête avec cet imbécile, en plus ! J'ai d'autres chats à fouetter !

Enfin, au bout de ce qui sembla être une éternité pour l'algue ambulante, je me décidai à parler :

« Hmm ? Tiens donc, t'es debout, Marimo ? Qu'est-ce qu'il t'arrive ? Je te manque tellement que tu viens même me voir la nuit ? »

Qu'est-ce que j'aimais le narguer ! C'était, et ça resterait, toujours un plaisir inéluctable !

Cependant, je ne pus empêcher mon cerveau embrouillé d'envisager une réponse positive de la part du Marimo. Rien que d'imaginer ce bretteur du dimanche avouer qu'il avait besoin de moi… Brrr… Ca me donnait des frissons !

J'aime le romantisme, mais il y a des limites à tout !

« Tss… Très drôle… Comme si j'avais besoin de la compagnie d'un blondinet pervers de ton espèce ! 'Faudrait voir à te faire soigner, le cuistot, parce que je sais pas ce que tu mets dans tes clopes pour sortir des phrases comme ça ! »

Basta ya !
De condenar la voz que llevo dentro
Y fingir que soy sincero

Assez !
De condamner la voie qui est en moi
Et de feindre la sincérité

Quelle enflure! Il a l'air de se foutre totalement de l'état d'esprit des autres comme toujours d'ailleurs. J'ai de plus en plus envie de lui hurler à la figure ce que j'ai sur le cœur! Mais c'est au-dessus de mes forces… Jamais je n'arriverai à dire cela…

Eeeh ? Quoi ? Mais qu'est-ce que… ? Non, t'approches surtout pas, Marimo! Allez, va-t-en ! Laisse-moi tranquille!

« KISAMA ! DEGAGE ! TU VOIS PAS QUE TU ME GÊNES PLUS QU'AUTRE CHOSE ! »

C'est sorti tout seul et tant pis pour lui… Ah, mais !

Non mais qu'est-ce qu'il croyait ? Que j'allais le laisser s'approcher ? Et puis, d'ailleurs, qu'est-ce qu'il voulait faire, ce con ?

Savoir si j'allais bien ? J'en doute... Me narguer en voyant mon état ? Il en serait bien capable, le salaud ! Et bien qu'il aille au diable !

Un long silence s'ensuivit. Je n'adressais pas un seul regard au Marimo, mais je suppose que lui devait me fixer en se demandant une nouvelle fois si je n'avais pas perdu la tête.

« Tss… C'est bien ce que je disais… Va falloir que t'ailles voir Chopper. Peut-être qu'il pourra faire quelque chose à un cas désespéré comme toi ! »

J'aspire une longue bouffée de ma troisième cigarette, afin de calmer le pincement au cœur, suite à cette phrase acerbe de la Tête d'algue. La colère monte encore d'un cran…

MAIS BORDEL, MARIMO ! TU VOIS PAS QUE C'EST TOI QUI ME CASSE LES COUILLES DEPUIS LE DEBUT!

No me asusta más el miedo…
Basta ya…

Je ne craindrais plus la peur
Assez…

C'est ce que j'avais envie de dire, là… Tout de suite… Maintenant…

Mais les mots restaient dans ma gorge, alors que Marimo repartait en direction des dortoirs du Sunny. Bien que je sais qu'il allait encore se perdre…

J'expire profondément, chassant le stress qui me tenaillait. Je m'insulte mentalement…

J'en ai plus que marre !

La razón me hizo despertar
Las palabras que guardé en silencio
Se cansaron de esperar

La raison me fait désespérer
Les mots que j'ai tus
Sont fatigués d'attendre

Je soupire… J'en ai marre de me conduire ainsi. Ah, il est beau, le rival de cette Tête d'algue !

'Même pas fichu de lui dire en face le fond de sa pensée !

Mais en même temps, comment faire autrement ? Jusqu'à présent, j'ai toujours pensé que ce sentiment était contre-nature. Moi, Sanji, le héros des belles demoiselles, leur serviteur dévoué, je serais… ?

Aquí empieza mi revolución
En mi mano llevo la bandera
Que defiende el corazón…

Ici, commence ma révolution
De mes mains, je brandis la bannière
Qui défend le cœur…

Non, c'est impossible ! Comment, mais comment je peux éprouver un quelconque sentiment à l'égard de ce Marimo de mes deux ? Ca me rend malade rien que d'y penser !

Même s'il est plutôt pas mal, physiquement, et que c'est pas si désagréable que ça à regarder… Surtout quand lui le voit pas…

Raaaaaaaaah ! Non, sortez de là, les pensées parasites !

Contra todo contigo voy a estar
Envers et contre tout, je serais avec toi

Plus que lassé de ces réflexions sans queues ni têtes, je soupire une nouvelle fois et me dirige vers la cuisine pour vérifier si un certain capitaine ne s'amusait pas à jouer les voleurs. Avec son appétit, le barbecue ne lui suffirait pas.

Mais quand j'ouvre la porte de mon sanctuaire, je m'aperçois, qu'effectivement, quelqu'un s'y trouvait déjà ; mais je ne m'attendais pas à ce que soit cette personne.

« Oh… Bonsoir, Cook-san. »

Basta ya !
De hacerle una prisión a lo que siento
Y negarme lo que quiero

Assez !
D'emprisonner mes sentiments
Et de nier ce que j'aime

Ma Robin-chwan était devant la cafetière et semblait tout juste commencer à préparer sa boisson préférée.

« Robin-chan ? Tu… ? demandai-je, trop surpris pour terminer ma phrase.

- Je lisais à la bibliothèque, mais je n'avais plus de café… Et quand je t'ai vu sur le pont, je ne voulais pas te déranger pour si peu… Surtout que tu avais l'air bien préoccupé. »

Aïe ! Son léger sourire ne présage rien de bon. J'aime beaucoup (Que dis-je ? J'adore !) Robin-chwan… Mais sa perspicacité et son intelligence pourraient devenir… Problématiques, si elle devine mes pensées.

Je tente donc de répondre d'une façon détendue.

« Ne t'en fais pas pour ça, Robin-chwan ! Je serais volontiers venu te préparer ce que tu désires ! Je vais d'ailleurs m'occuper tout de suite de ton café ! »

Je fais mon habituelle révérence de parfait gentleman, quand mon regard se pose instinctivement sur le livre que Robin-chan tient dans ses mains.

D'ailleurs, je m'étrangle presque en voyant le titre…

Non, ça ne peut pas être le hasard…

« Fufufufu… Mon livre t'intéresserait-il, Cook-san ?

-Hmm ? Oh, c'est juste que le titre me surprenait. » rétorquai-je en me dirigeant promptement vers la cafetière.

Basta ya !
De condenar la voz que llevo dentro
Y fingir que soy sincero

Assez !
De condamner la voie qui est en moi
Et de feindre la sincérité

L'homosexualité vue par les hommes, de l'Antiquité à nos jours.

Non, le titre de ce bouquin ne pouvait pas être fortuit. Je suis même quasiment certain que Robin-chan a déjà compris ce qui m'arrivait ! Mais comment réagirait-elle, si elle est persuadée de ses soupçons ? Je ne voudrais pas que son petit cœur se brise ! Elle mérite mieux que cela !

« Tout à l'heure, j'ai croisé bretteur-san en sortant de la bibliothèque. Il s'était encore perdu, mais je l'ai quand même trouvé bizarre… dit-elle en s'asseyant.

- Ne t'en fais pas, Robin-chwan… Cet épéiste à la manque est tout ce qu'il y a de plus bizarre, et c'est pas prêt de changer ! »

A voir le sourire en coin de ma nakama, je ne savais pas qui bernait qui. Et je ne pouvais empêcher un pincement au cœur (maudit organe !), suite au propos sur le Marimo. Aucun doute qu'elle l'avait vu après notre discussion.

No me asusta más el miedo
Basta ya…

Je ne craindrais plus la peur
Assez…

Après avoir servi ma Robin-chwan, je m'occupai du nettoyage de la cafetière et vérifiai que Luffy n'ait pas touché au garde-manger avant notre arrivée.

« Tu sais, Cook-san, je pense qu'il serait plus judicieux que tu écoutes ton cœur, plutôt que des préjugés.

- Quoi ? Qu'est-ce que tu veux di… ? » demandai-je en revenant dans la cuisine, surpris par ces paroles.

Mais elle n'était plus là. Je me précipite alors vers la porte, dans l'espoir de la rattraper.

« Robin-chan, attends ! »

Aucune trace d'elle, là non plus… Je serais bien monté à la bibliothèque pour lui parler, mais je n'avais pas le cœur de la déranger pour des broutilles. Je retournai donc à l'inspection des réserves de nourriture.

Basta ya !

Assez!

Heureusement, Luffy n'avait rien touché… Un ennui de moins… Je ressors sur le pont du bateau et contemple de nouveau la mer.

Mais je repense aussitôt à l'altercation avec la Tête d'algue.

Je n'en peux plus… Je crois qu'il est temps que je fasse clairement le point…

A partir de aquí seré fiel a mí
Borraré el dolor

Dorénavant, je serais fidèle à moi-même
J'effacerais la douleur

"Tu sais, Cook-san, je pense qu'il serait plus judicieux que tu écoutes ton cœur, plutôt que des préjugés."

Qu'est-ce que Robin-chan avait voulu dire ?

Croyait-elle que je n'étais plus moi-même ?

Mais… Je l'ai toujours été… Non ?

J'ai toujours courtisé les belles jeunes femmes, attiré leur attention, fait en sorte qu'elles ne manquent de rien et qu'elles soient protégées.

Pourtant, il est vrai que conter fleurette à mes deux déesses ne me satisfait pas autant qu'avant. Comme s'il me manquait quelque chose.

Alors… Peut-être que c'est vrai. Je ne me fais pas confiance. Et c'est quelque chose qui ne me ressemble pas…

Dans ce cas, cette hésitation ne peut être dû qu'à une seule chose : de la peur !

En la historia de mi vida cada línea grita
"Basta ya !"

Dans l'histoire de ma vie, chaque ligne crie
"Assez !"

Oui, c'est de la peur! La peur de vivre avec cela comme une tare !

Une peur qu'il me faut éradiquer au plus vite !

Car je ne suis pas un lâche.

De hacerle una prisión a lo que siento
Y negarme lo que quiero

D'emprisonner mes sentiments
Et de nier ce que j'aime

Il me semble y voir plus clair, à présent. Ca faisait trop longtemps que je doutais, il fallait que j'ouvre les yeux.

Il n'est pas jamais bon de se mettre des œillères : Luffy et son ouverture d'esprit me l'ont appris. S'il en avait été autrement, comment aurais-je accepté de venir dans cet équipage.

Basta ya !
De condenar la voz que llevo dentro
Y fingir que soy sincero

Assez !
De condamner la voie qui est en moi
Et de feindre la sincérité

Cet équipage où se trouve l'home le plus canon qui existe : je n'ai plus honte de le dire !

De toute façon, j'aurais arrêté de nier la vérité tout seul ! Car, me connaissant, j'aurais été insupportable et l'équipage m'aurait demandé des explications.

Or, je veux garder cela pour moi-même…

Je jette ma cigarette, consumée depuis longtemps, une nouvelle fois à la mer.

No me asusta más el miedo
Basta ya…

Je ne craindrais plus la peur
Assez…

Si Robin-chan n'avait pas été là pour m'aider, je serais peut-être encore en train de chercher le pourquoi du comment.

De toute façon, les femmes sont les plus douées pour discerner les sentiments : c'est ce qui fait leur force, en partie. C'est pour cela que je les admire, en plus de leur beauté.

Basta ya !

Assez !

Je me dirige vers la vigie pour continuer mon tour de garde. Lorsque j'entre dans la pièce, l'odeur du métal que constituait les haltères attaquèrent mes narines.

Mais aussi l'odeur de la sueur que le Marimo avait laissée.

A partir de aquí seré fiel a mí
Borraré el dolor

Dorénavant, je serais fidèle à moi-même
J'effacerais la douleur

Maintenant que tout était en ordre dans ma tête, je devais réfléchir à un moyen de lui dire ce que j'ai. Mais le connaissant, ça ne sera pas facile. Il a un véritable caractère de cochon… Et un penchant pour se battre, aussi.

Mais ce n'est pas ce que je veux ! Je souhaite le lui annoncer calmement.

Un petit sourire se dessine sur mes lèvres, malgré moi…

Le défi risquait d'être on ne peut plus intéressant et… Amusant !

En la historia de mi vida cada línea grita
"Basta ya !"

Dans l'histoire de ma vie, chaque ligne crie
"Assez !"

Je respire mieux. Beaucoup mieux. L'angoisse s'est dissipée, maintenant.

Car je m'assume, comme je l'avais toujours fait.

J'assume qu'une relation homosexuelle ne me dérangerait pour rien au monde.

J'en serais même ravi, d'ailleurs, si c'est avec celui à qui je pense.

Mon sourire devient de plus en plus pervers, tandis que je m'assois sur l'un des bancs de la vigie.

Acercándome hacia la verdad
Busco el modo de explicarle al mundo
Lo que ya no sé callar.

M'approchant de la vérité
Je cherche un moyen d'expliquer au monde
Ce qu'aujourd'hui, je ne sais plus taire.

Marimo me traite souvent de « kappa pervers » ou « d'Ero-cook », mais que se passerait-il s'il se rendait compte que c'était lui, la cible, à présent. Il n'aimerait probablement pas… Quoique…

On ne sait jamais…

Car j'ai enfin mon plan d'action : dans trois jours, je le mets à exécution, le temps que la dispute entre moi et la Tête d'algue passe.

Mais il faut que je reste discret. Car seul Robin-chan a des soupçons…

Pour le reste de l'équipage, je vénèrerais toujours mes déesses mais une autre personne retiendra mon attention : Marimo.

Ou devrais-je plutôt dire…

Roronoa Zoro…


Voili, voilà, voilou...

Ma deuxième songfic' ZoSan! J'espère ne pas avoir trop massacré nos deux tourtereaux! ^^"

Et j'espère aussi que le prochaine fic' sera... Plus approprié à nos deux jeunes hommes! XD Je n'en dis pas plus! =p

Si vous avez aimé... Une review (constructive) pour me donner votre impression, please?

A bientôt