Protecting Him
Disclaimer : Aucun des personnages ne m'appartient, tout est à Stephenie Meyer. De plus l'histoire appartient à twiXlite qui a écrit cette super histoire que je ne fais que traduire tant bien que mal ^^
Résumé :
Edward Cullen est l'unique enfant du milliardaire Carlisle Cullen. Il a toujours été entouré par des hypocrites et des personnes que seul l'argent intéresse. C'est le mode de vie qu'il a toujours connu. Mais quand la vie d'Edward est menacée, Carlisle n'a d'autre choix que de l'envoyer discrètement vivre dans la ville de Forks, dans l'état de Washington. Une fois là-bas, Edward rencontre de nouveaux amis qui, même s'il reste prudent en faisant connaissance au début, vont changer sa vie et lui faire prendre un chemin qu'il n'avait jamais imaginé possible. Mais est-il en sécurité ? La menace qui pesait sur sa vie est-elle désamorcée ou le danger est-il plus proche d'Edward et de son père qu'ils ne l'auraient réalisé ?
PS : Un très grand merci à Mymiss qui m'a aidé pour la traduction de certains passages !! :D Et qui au passage traduit une autre superbe fic de TwiXlite "Saving Edward" qui est absolument bouleversante !! Personnellement je l'adore !!
POV Edward
Mon père, Carlisle, me rétorque, se déplaçant de long en large derrière son bureau. « Il n'est pas sûr pour toi que tu restes ici en ce moment, Edward. Tu le sais ça ! »
« Mais je ne veux pas … » Il me coupa la parole.
« Je crains que ce ne soit pas ce que tu veuille désormais, Edward. » Me dit-il, s'arrêtant à son bureau et se penchant les mains sur le bord, le regard extrêmement fatiguer.
« Il s'agit de ta sécurité. Tu penses réellement que je vais laisser mon unique fils assit ici, en danger et que je ne vais rien faire par rapport à ça ? »
Il soupira et s'assit sur sa chaise.
« Le seul problème est que je ne peux rien faire par rapport à ça si tu es ici. C'est trop dangereux. »
Il me regarde, ses yeux m'implorants.
« Je ne veux prendre aucun risque avec toi, Edward. Tu comptes beaucoup trop pour moi. »
Je rétorquais : « Pour toi ou pour l'entreprise ? »
Il m'a regardé, surpris. Puis il m'a demandé, sa voix pleine de tristesse et de douleur.
« Comment peux-tu me demander ça ? Tu es mon unique fils. Je déteste avoir à t'envoyer autre part mais c'est vraiment la meilleure et la seule option que j'ai si je veux que tu sois en sécurité. »
Il soupira et me regarda à nouveau.
« Je suis vraiment désolé Edward. Tu pars ce soir. Je ne vais pas te dire où tu vas, les murs ont des oreilles tu sais, mais Jason le sait et tu seras en sécurité avec lui. Je hais que tu ais à partir Edward, vraiment. Si j'avais le choix, je te garderai enfermé ici jusqu'à ce qu'on ait retrouvé ce maniaque. Mais les choses vont rarement dans le sens que nous voulons dans la vie. »
« Je commence à le savoir » Je marmonnais debout. « Puis-je au moins dire au revoir à mes amis ? »
Mon père m'a regardé, une expression grave sur le visage.
« J'ai bien peur que non, mon fils. C'est trop risqué. Va récupérer quelques affaires. Tu devras être partit dans une heure. » Il a regardé vers ses papiers et il était évident que la conversation était close.
Je ne pouvais pas rester à Chicago.
J'allais partir.
Tout avait été dit.
La plupart du temps, être moi était génial. Et puis, ils avaient des moments comme ceux-là, quand ça craignait.
Je suis l'unique fils de l'homme d'affaires milliardaire Carlisle Cullen. C'est quelque chose qui joue généralement en ma faveur. J'étais populaire, athlétique, intelligent et j'avais ce que je voulais. Je savais cela. Mais Carlisle ne m'a jamais rien donné sans que je n'aie à prouver que je le méritais. Par exemple, quand je suis devenue assez grand pour conduire une voiture et que j'ai obtenue mon permis, il m'a acheté une toute nouvelle Volvo, mais je n'ai pas été autorisé à la conduire avant je n'ai à me prouver sur le plan scolaire. Je savais que j'avais une moyenne de 4.0 mais seul lui connaissait mon score exact, il a voulu que je prouve que même si ma moyenne était quasiment parfaite, je pouvais encore m'améliorer. Je suppose que j'ai réussi parce que à la fin du semestre, il m'a donné les clés de la Volvo. J'étais euphorique. Je pense que le connaissant, il m'avait évalué et m'avait prouvé que j'étais digne d'avoir le meilleur. Il y avait d'autres tests qu'il utilisait pour m'éprouver quand je voulais ou que j'avais besoin de quelque chose venant de lui. Quelques millions étaient comme des centimes pour lui, il s'est toujours assuré que j'apprécie ce que j'avais. Et je l'ai fait. Je savais que Carlisle avait consacré une grande partie de sa vie pour faire de son entreprise un succès. Il s'assurait toujours que je sache à quoi il avait renoncé. Et je le savais.
Je savais que même si nous avions beaucoup d'argent maintenant, il n'en avait pas toujours été ainsi. Et il m'a fait apprécier les moindres petites choses encore plus.
Au début, l'entreprise avait commencé comme une manière pour Carlisle de subvenir à lui-même et à ma mère Esmé, qui, alors que la compagnie a été lancée, était enceinte de moi. Cette nouvelle a rendu plus difficile la réussite des affaires. Qui savait que dix-sept ans plus tard, il serait l'un des hommes les plus riches de la planète ? Certainement pas lui. Et il sait qu'il aurait pu aller dans l'autre sens tout aussi facilement. Je savais qu'il remerciait n'importe quel pouvoir, tous les jours, qui était la cause de la réussite de sa société. Il a opéré dans chaque continent et avait des bureaux dans presque tous les pays. C'était énorme.
Le seul problème avec cette situation maintenant, était que quelqu'un avait décidé qu'il voulait la main mise sur l'entreprise.
Et il m'a utilisé pour faire ça.
Au cours des dernières les semaines, il y avait eu des courriers électroniques d'une adresse introuvable, les lettres d'une source inconnue, les coups de téléphone qui étaient trop courts pour être localisés et ils tous avaient un sujet principal.
Moi.
Pour une certaine raison, quelqu'un avait décidé de terroriser ma famille, raillant qu'il m'observait, qu'il obtiendrait ce qu'il voulait ou ma famille ne me verrait jamais à nouveau. Ma sécurité était en ligne de mire.
La pire chose était que nous savions qu'il disait la vérité. Puisqu'avec chaque courrier électronique il y avait une pièce jointe qui contenait des photographies, avec chaque lettre il y avait des photographies incluses et avec chaque coup de téléphone, des photographies étaient faxées en même temps. Et elles étaient toutes de moi. Personne d'autre n'était jamais sur la photo avec moi, mes parents se sont encore plus inquiétés car de toute évidence, cette personne pouvait me voir quand j'étais tout seul. Les images étaient récentes en plus. Il y avait des photos de moi à la maison, au basket-ball, même à l'école. Celles de moi en train de dormir étaient les plus préoccupantes. Comme s'il s'était rapproché. Quand ma mère les a vu, elle n'a pas pu retenir son inquiétude.
Ensuite, les menaces qui pèsent sur ma vie ont commencées.
Les lettres de menaces, les courriels et les appels téléphoniques sont devenus moins fréquents, mais ils étaient d'autant plus inquiétant pour nous. Carlisle m'a dit qu'il ne voulait pas de moi ou de ma mère pour les lire. Qu'elles étaient simplement trop graphiques pour que l'un d'entre nous puisse le gérer. J'ai réussi à jeter un coup d'œil à celle qui était sur le bureau de Carlisle après qu'il l'ait lu. Elle l'avait assez perturbé, et dans sa panique, j'avais réussi à entrevoir une phrase ou deux.
J'ai regretté de l'avoir fait.
La pensée que quelqu'un était là, sans doute en train de m'observer maintenant, cette lecture, et tout ce que je savais écrit dans une autre lettre ou un autre courriel me donnait la nausée.
Je ne pouvais pas imaginer les raisons qui les poussaient à me menacer, autres bien sur que pour l'argent de Carlisle. Mais ils n'avaient rien demandé. C'était l'élément le plus étrange. Ils n'avaient absolument rien demandé. Pas un centime. Non pas que Carlisle n'ait rien proposé. Il a offert des milliers, des millions, pour tenir ce fou loin de moi, mais rien de ce qu'il pouvait offrir ne semblait apaiser ce gars-là. Il a seulement dit qu'il allait faire payer Carlisle pour les erreurs du passé et qu'il demanderait son prix quand il serait prêt.
C'est cela qui a cassé Carlisle.
Il savait que je ne pouvais pas rester ici. Bon sang, je savais que je ne pouvais pas rester ici. Cela ne veut pas dire que j'étais heureux d'y aller. Carlisle et Esmé ne pouvaient pas venir avec moi, c'est bien la seule chose qui m'a bouleversé. J'étais séparé de mes parents parce qu'un certain psychopathe menait une sorte de vendetta contre mon père. Quelque chose dans laquelle j'étais entraîné. Je l'ai détesté, j'étais quelque chose que quelqu'un avait pensé qu'il pourrait utiliser contre mon père, comme une forme de chantage.
Mon père avait recruté l'aide de chacun à qui il pourrait penser pour essayer de se débarrasser de ce dément. Il a appelé le FBI, la CIA et d'autres organisations dont je n'avais jamais entendu parler. Ma mère et le personnel de la maison avaient entendu parler d'eux, je savais qu'elles n'étaient pas des sous organisations de type mafieux. Et pourtant, cela a été vain. Il était toujours là, il a quand même réussi à se rapprocher de moi, et à passer à travers les mailles du filet.
Donc nous en venons à la décision de mon père de me faire partir. Il sait que la personne me chassant savait quand j'étais ici, quand j'étais à l'école et où j'étais à peu près chaque minute de la journée. Les images nous le prouvaient.
Le plan était que je parte ce soir. Nous avons reçu le dernier coup de téléphone ce matin. Le seul qui a cassé mon père. Il était méconnaissable ce matin. Ce n'était pas le père auquel j'ai étais habitué. C'était un homme brisé, poussé à bout, qui essayait de trouver le
meilleur moyen de protéger son unique fils. Et le meilleur moyen était de
l'emmener loin d'ici."Je partais dans près de quarante-cinq minutes. Il y avait trois ou quatre voitures identiques qui quitteraient le garage du manoir dans lequel nous avions vécu jusqu'ici. Toutes se dirigeant vers des aéroports différents. L'une avec moi et les autres auraient des leurres. Mon père espérait confondre l'harceleur assez longtemps pour qu'il aille après la fausse voiture, me donnant quelque temps pour traverser l'aéroport et entrer dans l'avion sans risque. J'espérai que cela fonctionnerait. Il le fallait. Mon père était au bout de son intelligence et c'était sans parler que j'allais perdre la raison si je devais passer mon temps à me demander si j'étais pris en photos, si mes mouvements étaient répertoriés. Je crois que j'aurais toujours cette peur, mais si j'étais dans un autre endroit, je pourrais être capable de me détendre un peu. Au moins, je l'espérais.
Tout a été entassés dans les voitures. Les affaires des leurres et les gens grouillaient. Les leurres qui seraient utilisés étaient en réalité les membres de l'équipe de sécurité qui venaient avec moi. Même qu'ils étaient des membres de la sécurité, aucun d'eux ne savaient vraiment ce qui se passait. Mon père n'avait pas voulu divulguer à quelqu'un ce qui arrivait, pour que rien ne filtre vers le harceleur. Les seuls qui connaissaient le plan étaient mon père, ma mère, Jason, notre chef de la sécurité, qui m'accompagnerait partout où j'allais. Personne n'autre n'avait besoin de savoir. Du moins, pas d'après Carlisle de toute façon. Tout ce qu'ils avaient, c'était des ordres pour aller à un certain endroit et c'est tout. Ils n'avaient pas à poser des questions, ils leur suffisaient de faire ce qu'on leur disait.
Personne ne savait pour la menace. Les seuls à savoir sont ceux qui connaissaient le plan et les différentes organisations gouvernementales qu'avait employé Carlisle. Elles étaient toutes en activités, mais il semble que rien ne venait d'elles.
Je suis monté à l'arrière de l'une des voitures, Jason me suivant de près, veillant à ne pas me perdre de vue. Je ne pouvais pas dire au revoir à ma mère et à mon père, de peur que le harceleur ne suspecte quelque chose. Jusqu'à présent, il n'y avait pas eu d'appels téléphoniques ou n'importe quoi d'autres pour dire qu'il savait ce qu'il se passait. J'avais des doutes sur la réussite de tout cela, mais je devais faire confiance à mon père. Il savait ce qui était juste.
Jason m'a tranquillement demandé, comme je commençais à regarder par la fenêtre, regardant tout le monde mettant tout en ordre. « Tu vas bien, Edward ? »
« Honnêtement, non je ne vais pas bien. » Je me suis tourné pour le regarder. « Je suis forcé de partir de chez moi à cause d'un psychopathe qui semble vouloir rien de plus que détruire mon père, en m'utilisant comme appât. Je déteste cela. Je voudrais pouvoir rester. Je voudrais pouvoir faire des choses sans avoir à m'inquiéter d'être observé tout le temps. Je veux juste … » J'ai pris une profonde respiration, en me pinçant l'arrête du nez avec mon ponce et mon index. « Je veux simplement les choses telles qu'elles étaient. »
« Je sais ce que vous voulez. » Il a soupiré. « Nous le voulons tous. C'est tellement le bordel ! »
« Ouais, bien. » Je soupirais et recommençais à regarder par la fenêtre, en attendant que tout soit mis en place. Maintenant, les personnes ont cessé de bouger et tout le monde rentrait dans les voitures, trois personnes pour une voiture. Un représentant le conducteur, Mitch, qui venait d'entrer à l'avant de ma voiture, un pour représenter Jason, et un pour me représenter moi.
A travers la fenêtre, j'ai vu l'énorme porte du garage ouverte et les quatre voitures sortirent en même temps, avançant comme une même ligne et se séparant dans des directions différentes quand nous sommes arrivés à la route. Deux voitures sont allées dans chaque sens avant de se séparer à l'intersection la plus proche. Je ne savais pas où les voitures étaient en ce moment, tout ce que je savais, c'est qu'elles se rendaient à des aéroports différents. Chaque leur et moi-même serait à bord d'un avion et d'atterrir quelque part dans un Etat inconnu. Je n'étais pas satisfait pas cet arrangement mais je savais que c'était nécessaire.
Un peu plus tard, nous sommes arrivés à l'aéroport. Je n'ai vu lequel s'était, parce que nous sommes arrivés dans un endroit clos, afin que je ne sois pas exposé dehors. Si l'harceleur me regardant n'avait pas mordu à l'hameçon et qu'il m'avait suivi alors il est d'autant plus préférable qu'il n'y ai pas de chance que je puisse être aperçu dehors.
Je suis sorti de la voiture et ai été transporté d'urgence par le biais de l'embarquement, Jason s'occuperai de tout ce qui devait être fait. Oui, je vole sur un avion de transport de passagers, mais seulement parce que prendre un avion privé pour aller là où nous devions aller aurait été trop évident et aurait le fou directement à nous. Je me suis assis à côté de la fenêtre en première classe et attendit impatiemment que les autres passagers montent à bord de l'avion. Je détestais être assis ici. J'étais une cible facile. Jason semblait un peu inquiet aussi, comme s'il savait ce que j'avais fait. Plus nous étions assis longtemps, plus j'étais en danger.
Il m'a marmonné. « C'est bien Edward. Nous serons en l'air bientôt. Ce sera parfait. »
J'ai marmonné. « D'accord. » J'ai regardé vers mon poignet et ai touché du doigt le blason qui se trouvait sur mon bracelet. Le blason des Cullen. Le symbole sacré de ma famille depuis des siècles. Il a également été l'icône de la compagnie de mon père. Il a estimé que comme c'était l'entreprise des Cullen, le blason était parfait. J'étais d'accord. C'était personnel sans aucun doute. Avec le lion debout sur la flèche sur laquelle se trouvait trois trèfles, une main au dessus de sa tête. C'était assurément un blason personnel. Il n'y en avait pas d'autre comme ça. Et il s'est assuré que personne ne puisse le plagier. Pour quelque chose comme ça, les erreurs sont faciles à repérer.
Après quelque instant d'attente, nous étions dans l'air, et une partie de moi se détendit. Je savais que nous étions loin de ce maniaque, pour l'instant en tout cas. Qui savait où il était, ce qu'il faisait, s'il nous avait découvert depuis le début. Je continuait de penser qu'il n'y avait aucun moyen qu'il aurait pu mettre en place, car mon père avait mis en place le plan ce matin après le dernier appel, mais encore une fois, une autre partie de mon cerveau faisait valoir le faite que ce gars avait réussi à obtenir des informations auprès de moi depuis dieu sait combien de temps. Qui sait quand est-ce qu'il a commencé à m'observer. Cela pourrait être des années auparavant, mais il a seulement été en mesure d'agir au cours des deux dernières semaines.
J'ai secoué ma tête, essayant de me débarrasser de ces pensées. Elles ont toujours laissé en moi une peur. Je me suis concentré sur les nuages qui passaient sous moi. Je pensais alors Ils ont la vie facile. Rien à craindre. Pas de soucis dans le monde. Est-ce que je me suis sérieusement comparé à un nuage ? Je deviens fou. Je penchais ma tête en arrière contre le dossier du siège et j'ai fermé les yeux, me contentant d'écouter ce qui se passait autour de moi.
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J'ai du m'endormir car la seule chose que je savais, c'est que Jason m'a pousser du coude pour me réveiller. Nous avions atterrir. Comment j'avais fait pour ne m'a me réveiller durant l'atterrissage, je ne le savais pas. Cela m'a toujours réveillé. Tout le stress de la journée s'était accumuler en moi, et cela avait du me fatiguer plus de raison. Je me suis frotté les yeux, pour en enlever le sommeil, et nous sommes descendu de l'avion.
Ce fut le même processus qu'à aller, seulement dans la direction opposée. Au lieu d'entrer, je sortais. Jason, de nouveau, s'occupait de toutes les formalités à l'aéroport, pendant que j'étais conduit dans une voiture semblable à celle dans laquelle j'avais fait le voyage à l'aéroport la dernière fois. Même si je savais que c'était nécessaire et qu'ils faisaient seulement ce qu'on leur avait dit de faire, j'eu envie de dire à tous les membres de la sécurité autour de moi de partir. Que je puisse marcher par moi-même. Il suffisait de me montrer la direction e je pouvais me rendre là-bas. Je n'étais plus un bébé. Je n'avais pas besoin d'être dorloté. Seulement, à cause de la situation, je l'étais. Une autre chose pour laquelle je détestais ce maniaque. La suppression de ma liberté. Quelques instant après je se soit monté dans la voiture, le porte s'ouvrit et Jason se glissa en face de moi et la voiture démarrer. J'ai regardé e conducteur avant que celui ne lève le verre qui séparait le conducteur de Jason et moi-même. J'étais soulagé lorsque j'ai vu qu'il s'agissait de Mitch. Evidement, il avait été sur un autre vole, ou sur le même vole que Jason et moi mais assis ailleurs. C'était cela ou alors je n'avais pas été assez observateur pour remarquer qu'il était sur le même vil. Personnellement, je penchais pour la dernière hypothèse.
En sortant de l'aéroport, j'ai vu que nous étions dans une autre ville. Pas aussi grande ou les bâtiments pas aussi important mais une ville néanmoins. Pour une certaine raison, les villes me fascinaient quand j'étais dans la voiture. Mais pas dans d'autres moment. Je devinais que c'était à cause de la manière dont on voyait les bâtiments à travers la vitre de la fenêtre. Ma mère et mon père m'ont dit que c'était quelques qui m'avait suivit depuis l'enfance.
J'ai reniflais. Enfance. Mon enfance a pris fin à mes treize ans, quand j'ai commencé à être préparer pour reprendre l'entreprise. Je n'étais pas vraiment autorisé à passer beaucoup de temps avec mes amis à ce moment-là. Je devais aller directement de l'école, qui était une école privée, évidement, à la maison pour me rendre auprès de Carlisle ou de l'un des nombreux enseignants qu'il a employé pour m'apprendre à diriger l'entreprise.
Maintenant à dix-sept ans, je connaissais assez bien tous les rouages de la société Cullen INC. Il y avait beaucoup de chose que je ne savais pas, et Carlisle m'avait dit qu'il y aurait des choses que je ne connaîtrais que lorsque j'aurai repris les rênes de l'entreprise, de sorte qu'il ne s'inquiétait pas beaucoup à propos de cela. Enfin, il était plus inquiet par le fait que je sois encore vivant ou non demain plutôt que je sache quel serait le budget prévisionnel pour le prochain trimestre en regardant différents tableaux et graphiques envoyés par le service comptable. J'étais plus intéressé de savoir si je serais vivant ou non demain.
Je l'espérai, pour le moins.
« Jason où sommes-nous ? » lui ai-je demandé, en me tournant vers lui. Les bâtiments se dispersaient et je savais d'expérience dans différentes villes que nous la quittions et avancions probablement vers une des petites villes qui l'entouraient. Je n'avais jamais été dans cette ville auparavant. C'était nouveau pour moi.
Il regardait aussi à travers la fenêtre les différents bâtiments devant lesquels nous passions. « Seattle ».
« Nous somme à Washington ? » Lui ai-je demandé, la bouche ouverte. Pourquoi diable Washington ? Me suis-je demandé. Bien sûr, je savais pourquoi Washington. C'était morne et humide, plein de petites villes qui sont au milieu de nulle part. C'était un endroit parfait pour quelqu'un comme moi qui voulait se cacher. Je remarquai alors que plus nous nous éloignions de la ville, plus le ciel devenait sombre et plus il faisait humide. Je n'allais pas beaucoup m'amuser ici. Avec un peu de chance je de devrais pas passer trop de temps ici. Avec un peu de chance l'homme serait capturé, ou renoncerait bientôt. Mais quelque part au fond de moi, je savais que cela n'allait pas arriver et que je devrais m'habituer à la météo.
Nous étions dans la voiture depuis moins de deux heures avant que je ne vois une trace de civilisation. C'était une ville. Je regardais par la fenêtre et vit un panneau où était écrit « Bienvenue à Port Angeles ». Nous ne nous sommes pas arrêtés. Bien sûr que nous ne l'avons pas fait. Nous nous dirigerions plus loin sur la route, vers une ville encore plus petite que la ville que nous venions de traverser.
Et j'avais raison.
Environ une heure plus tard nous passions devant un panneau qui disait « Bienvenus à Forks » et j'ai retenu un gémissement. Fiez-vous à mon père pour m'envoyer vivre dans un endroit qui était appelé comme un couvert. Nous avons traversé une grande partie de la ville en voiture et je pouvais facilement vous dire qu'il n'y avait rien. Le plus grand bâtiment était le lycée et il faisait quand même pâle figure par rapport au plus petit bâtiment de mon ancienne école à Chicago. C'est là où j'irai à l'école demain. Quelle joie, ai-je pensé en roulant des yeux devant la grandeur de l'endroit.
Nous avons roulé un peu pour sortir de la ville et avons atteint une longue route sinueuse. J'ai découvert que cette route était en faite mon allée. Nous sommes arrivées devant une grande maison blanche à trois étages. L'un des côtés de la maison était entièrement en verre. Je souriais. Elle était parfaite. Elle était entourée de bois, et ainsi me donner toute l'intimité dont j'avais besoin. Aussi parfaite pour permettre au harceleur de s'approcher doucement de toi. Me rappelle cette voix lancinante dans mon esprit. Je m'en suis débarrassé. Il n'était pas ici. Il ne pouvait pas m'observer ici.
J'ai visité la maison et j'ai vu une liste de choses que j'avais besoin de savoir au sujet de la gestion quotidienne de la maison. Bien que la plupart du temps, il n'y avait personne ici, il y avait toujours des employées de maison constituant le personnel, pour nettoyer la maison et réapprovisionner le réfrigérateur dans le cas où quelqu'un dans la famille ferait une visite inattendue. Comme moi par exemple.
« Maître Edward. »
J'ai entendu quelqu'un m'appeler et je l'ai regardé. Là, me souriant se tenait une femme de chambre. Elle n'avait probablement pas plus de quarante ans. Elle était séduisante, et je pouvais dire que, quand elle avait mon âge, elle devait avoir été très jolie. Elle avait de longs cheveux blonds, naturels d'après moi, et j'ai pensé que lorsqu'elle était plus jeune, il y avait une chance pour qu'elle fût un modèle. Je ne la regarde pas de cette manière, c'est juste flagrant, mais elle avait vraiment cette position et se comportement de « modèle ». Bon sang, je devrais savoir que j'ai eu assez d'entre elles qui se jettent sur moi. J'ai détesté quand elles l'ont fait. Dites que je suis vieux jeu, mais je préfère une fille avec une beauté naturelle et un cerveau. J'avais abandonné depuis longtemps le faite que je trouverais cette fille. Les filles comme ça n'existent pas. « Mon nom est Tess, monsieur. Si vous me le permettez je me ferai un plaisir de vous montrer votre chambre. »
« Ce serait la bienvenue, merci Tess. » Elle m'a sourit et m'a demandé de la suivre. Elle semblait assez sympathique et polie. La question était de savoir si elle l'était parce qu'elle était payée pour ou si cela n'avait pas d'importance. Dans la mesure où elle faisait son travail et était poli, cela n'avait pas d'importance pour moi ce qu'elle faisait.
Elle m'a fait monter deux escaliers et s'est arrêtée devant la seule porte au dernier étage. « Nous y sommes monsieur. » Elle a ouvert la porte et s'est poussée sur le côté pour me laisser rentrer. La pièce était grande. Environ la même grandeur que celle que j'avais à Chicago, donc je n'étais pas déçu. « Il y a une salle de bain communicante juste par cette porte. » Elle me montra la porte. « Y a-t-il n'importe quoi d'autre dont vous avez besoin monsieur ? »
« Non, rien merci. » Ai-je dis en regardant autour de moi. Mes sacs avaient déjà été montés ici, n'attendant plus que moi pour être défait et rangé comme je le voulais.
« On m'a dit de vous informer que votre voiture arrivera demain après-midi. » Ma voiture !! J'allais garder ma Volvo. Cela amélioré grandement ma condition. Au moins, je ne devrais pas être conduit partout. J'aurai un semblant de liberté. «Voulez-vous que je vous appelle pour le dîner, monsieur ? »
« Non, non, je vous remercie. » Lui ai-je dit en marchant vers le lit. « Cela a été une longue journée et je crois que je vais juste dormir maintenant. »
« Oui, monsieur. » Fait-elle en commençant à partir.
« Tess » L'ai-je appelée et elle s'est retournée avec un sourire au visage. Le point positif c'est que cela ne ressemblait pas à un faux sourire. « Assez avec le « monsieur ». Mon père est « monsieur », appelez-moi Edward. »
« Oui m-Edward. » Elle s'est rattrapée et m'a souri d'un air penaud. Je lui ai souri en grimaçant et son sourire est devenu plus confiant. Si cette réunion était la première et que nous avons été aussi détendu l'un avec l'autre, je savais que la vie ici serait un peu plus facile. « Je m'assurerai que le petit déjeuner soit prêt pour vous à l'heure que nous a envoyé Maître Carlisle. »
« Je vous remercie. Bonne nuit Tess. » Elle a esquissé un petit salut en partant et moi, je suis retourné à mon lit. J'ai ouvert l'un de mes sacs et ai sorti un vieux sweats et un t-shirt. Et oui, je peux être le fils d'un milliardaire, mais je ne vois pas l'intérêt de porter des vêtements fantaisistes au lit. Il n'y a aucune raison.
J'ai rampé dans mon lit et ai enterré ma tête dans l'oreiller. Il sentait mauvais. Il avait une odeur trop nouvelle. Tout en ce lieu était nouveau, la ville elle-même était nouvelle. Rien n'était familier. Je voudrais être capable de me réveiller et de réaliser que ces deux dernières semaines n'avaient été qu'un rêve. Qu'il n'y avait pas d'harceleur auprès de moi parce qu'il avait quelque chose contre mon père. J'étais à Chicago, emmitouflé dans mon lit, avec toutes mes affaires autour de moi. Mais, alors même que je dérivais au large d'un sommeil difficile, je savais que ce n'était pas du le point de se réaliser dans un avenir proche.
Ma vie entière à changé.
Et je ne pouvais rien faire à ce sujet.
Et j'ai fini la traduction du premier chapitre !! Vous pouvez pas imaginer à quel point je suis heureuse ^^ Je pensais pas en venir à bout ^^ En tout cas, j'espère que ce chapitre vous a plu !! N'hésitez pas à laisser un commentaire !! :D
