How I met you father?

Titre: How I met your father

Genre: Romance, yaoi, UA

Raiting: T

Prairing: Naru/Sasu

Disclaimer:Encore et toujours à Masashi Kishimoto même si bon nombre d'entre vous aurait bien souhaiter avoir un Sasuke pour soi, dans son placard on ne sait jamais!

Merci à tous ceux qui me lisent. Un grand merci à toutes personnes qui postent des reviews, ca donne envie de continuer a écrire pour vous! Une super dedicace à ma Beta qui est la meilleure. Allez lire se qu'elle écrit, elle est geniale, c'est ma Crazy-aiko!


Une rencontre fortuite

Un toit d'école, un rebord saillant, puis le vide et tout en bas cette vie infâme qu'a 15 ans je ne regrette déjà pas de quitter. Une vie d'orphelin, de désespoir, sans lumière pour me guider ou du moins pas assez grande pour me redonner le désir de vivre.

Sauter et ne plus rien ressentir voir le sol se rapprocher et enfin le noir, le silence, la fin...

Je relève légèrement la tête et je tombe alors sur un paysage tel que l'approche de la chute évidente vous le rend plus beau. Avez vous ressentit cette image au fond de vos chairs ? Quelle que chose d'impérissable que rien ni personne ne vous l'enlèvera, a part la mort peu être ?

Le soleil se couche comme moi je le ferai mais lui reviendra éclairer les vivants et moi je sombrerai a jamais dans les ténèbres de la nuit pour ne jamais en ressortir.

Il éclaire donc cette ville qui ne m'as jamais accepter tel que j'étais, enfant rejeter et abandonné, laissé pour compte comme un rat dans les égouts.

Aujourd'hui, jour de ma mort, je redécouvre ma ville baigné dans ce soleil orangé, la douceur d'Avril balaie les mèches qui me cachent le visage. La beauté simple de ces immeubles.

Les ombres qui me font penser à la noirceur de mon âme, le rebord se rapproche et j'aperçois en contre bas tous ces élèves pressés de rentrer chez eux pour retrouver la douceur d'un foyer qui m'est inconnu. Tous me rejettent du plus profond de leurs êtres car je ne suis point comme eux c'est vrai que je ne suis pas le modèle du jeune homme japonais mais que puis je a mes cheveux blonds platines et mes yeux azurs. Suis je donc responsable de mon physique ? Bien sur des années auparavant j'avais en réponse a de trop nombreuses brimades décider de me teindre les cheveux mais l'horreur de voir disparaître ma seule différence me remplit d'effroi et je ne put exécuter mon geste jusqu'à la fin.

Quelques petits centimètres et je serai enfin débarrasser de tous ce qui m'entoure, de la vie de reclus que je mène aujourd'hui sans que rien ne vienne me perturber. Si peut être ce jeune homme arriver hier dans ma classe et qui n'ouvre jamais la bouche mais que tous vénèrent déjà. Et oui c'est cela on aura beau faire le pitre pour amuser toute la classe jamais on égalera une personne dont tous reste a découvrir, un nouveau. C'est vrai que le peu que j'aperçus hier avant que le cours ne commence était assez harmonieux et beau : une mèche brune et des cheveux en cul de canard cachant des yeux marrons clairs, un mutisme parfait, un nez d'Apollon et un teint a faire rougir n'importe quel fille de jalousie. Cet individu est beau, d'ailleurs je le vois sortir du bâtiment où nous avions cours toute l'après-midi. Il semble chercher quelqu'un et en levant les yeux vers moi, il m'aperçoit et je vois son visage ce fermer encore plus (cela est-il possible ? Je me le demande bien) Il court vers le bâtiment et disparaît alors de ma vue !

Je me rapproche encore et je me lance...

Ça y est mes pieds ont décoller du rebord de ce toit et je lève la tête pour dire un dernier au revoir a ma ville et tous ces habitants dont je sais que je ne serai pas regretter !

Comment expliquer ce moment de félicite intense qui traverse tout le corps alors que toute attaches terrestre n'est plus ?

Mais un bras robuste me cintre et je tombe dans le noir absolu. Que se passe t-il ? Que m'arrive t-il a moi le reclus de cette société ? Qui est donc cet être qui vient de me priver de cette mort délicieuse face a ce paysage magnifiquement détester ?


Un réveil brutal dans une infirmerie,d'après ce que j'arrive a voir entre les buées de ma douleur. Je me jette sur le cote de mon lit pour vomir tous ce qui me reste dans l'estomac. Une main se pose sur mon front, c'est frais et rassurant. Je me recouche dans mon lit et j'entends sa voix:

"-Est ce que tout vas bien ? Tu as besoin de quelque chose ?"

La tête me tourne et je sens que je vais retourner vomir ce qu'il peut me rester dans l'estomac.

"-Pas trop...répondis-je entre deux pics de douleurs... est ce que tu pourrais approcher une bassine parce que je ne me sens pas vraiment très bien.

-Ne t'inquiète pas je vais te l'apporter. Surtout ne bouge pas, j'arrive dans deux secondes."

Sa voix, magnifique. Mais je sombre dans le noir et je ne peut plus bouger!


Je me réveille alors mais cette fois ci juste une infirmière dans sa blouse. Et je cherche désemparement Sa Voix mais je ne l'entend nul part.

"-..., une voix me parle comme a travers un brouillard et je dois faire un effort pour me concentrer et comprendre le sens de ce que cette personne me dit, Naruto Uzumaki c'est bien ça?

-Oui c'est bien moi. Qu'est ce que je fais ici ?

-Un camarade de classe vous a amener ici mais je n'étais pas encore arrivée donc je ne sais pas qui cela peut être. Il y avait juste une note a côté de vous!

-Montrez la moi s'il vous plaît"

Un élan de bonheur me prend en passant que peut-être quelqu'un dans ma classe avait remarquer ma présence. L'infirmière me donne alors le mot et je lis : "Voici Naruto Uzumaki élève en 2nd10, il a tenté de mettre fin à ses jours en sautant du toit, je vous l'ai ramener pour que vous preniez soin de lui! Faites attention il est fragile même s'il ne le montre pas! Merci d'avance. Un élève de 2nd" cette écriture mets totalement inconnu pourtant a force de voir tous mes camarades de classe défiler au tableau je serai normalement capable de savoir a qui appartient cette écriture mais rien, pas un souvenir de cette écriture dans ma tête. Peu-être la fatigue n'aide-t-elle pas.

"-Naruto?

-Hum... répondis-je en pleine réflexion

-Qui dois-je appeler pour venir te chercher?

-Personne, je vais rentrer chez moi ne vous inquiète pas...comme d'habitude ,dis-je en chuchotant.

-Comment ça ? Personne ne t'attend à la maison ?

-Non je suis orphelin alors je n'ai plus personne mais c'est bon je ne vais pas vous déranger plus longtemps je vais rentrer chez moi, rétorquai-je en essayant de me lever de mon lit mais mon corps ne répondit pas et je manquer de tomber en avant si l'infirmière n'avait pas était là.

-Je vais te ramener chez toi en voiture... et pas de discutions possible alors que j'allais m'insurger contre elle.

Elle me fini monter dans sa voiture et me déposa devant chez moi en ayant bien pris le temps de me dire a quelle point mon quartier était mal-famé. Mais je le sais déjà malheureusement les prix sont moins cher dans ces quartiers et donc j'étais un gêne moindre dans le maigre salaire de prof de mon tuteur que j'adorai: Iruka.

-Merci beaucoup de m'avoir raccompagner!

-Je t'en pris.. au fait Naruto si tu as besoin de te confier a quelqu'un je suis là et sache que ton geste de tout a l'heure avait beau être désespérer tu aurai fait beaucoup de peine aux personnes qui t'aime.

-Peu de gens savent que j'existe donc je ne devrait pas manquer à grand monde.

-Regarde bien autour de toi et tu verra, tu n'ai pas si invisible. Par exemple cet individu qui t'as sauver devait bien te connaître car il a dit que tu était fragile même sans t'avoir jamais parler. Évite de blesser les gens qui t'aime inutilement!

-Merci et au revoir", répondis-je ne fermant brutalement la portière de sa voiture et en m'avançant vers mon immeuble insalubre. Je voulu prendre l'ascenseur et me rappelé alors que celui-ci était en panne depuis une semaine je montais donc les 5 étages jusqu'à ma chambre. Je croisai au passage ma voisine du troisième et son fils de 7 ans que je gardais quelque fois lorsqu'elle avait besoin de sortir de cette enfer. Le petit me fit un sourire plein d'admiration et qui me rappelle moi à son age lorsque le monde nous parait beau, et que des pensées candides habitent nos rêves tel que un parent éloigné vienne nous sortir de cette misère et nous emmène chez lui pour vivre heureux. Ce temps là est fini et cet enfant s'en rendra compte bien assez tôt a mon goût c'est pour cela qu'un sourire a faire rougir les anges éclaira alors mon visage et que je continuai ma route jusqu'à mon appartement désert et plein de moisissure.

En rentrant je suis assaillit par une odeur immonde, j'ai eu beau nettoyer a grande eau jamais elle ne partira cette odeur! L'avez vous déjà senti cette puanteur fétide de la misère qui suinte par tous les murs, cette pauvreté qui chaque jour vous soulève l'estomac et que votre seul désir est de ressortir au plus vite de cette endroit ? Et bien voici ma chambre car cela a peu près la taille d'une chambre d'adolescent mais qu'il y a une sorte de cuisine avec un four qui ne marche qu'un fois sur deux, une salle de bain délabre d'où l'eau s'échappe par toutes les tuyauteries et inonde ma chambre a chaque malheureuse douche que je veut prendre. La lumière ne marche ni dans la cuisine, ni dans la salle de bain et cela complique beaucoup ma vie en hiver! Une fenêtre cassée et qui laisse passer les courant d'air froid de ces hivers et la moiteur de ces étés de Tokyo.

Je laissais tomber mon sac et me couchais alors dans mon futon pour pouvoir enfin me laisser emporter par Morphé et échapper a cette misère ambiante!


5h30,

Le réveil fut plus difficile qu'a l'ordinaire mais je me souvenais du rêve que j'étais en train de faire. Une voix pleine de soupirs et de cris de plaisir et des cheveux ébènes. Un sursaut me pris et je me relevais alors en sueur et je sortais de mon lit pour me diriger vers ma salle de bain insalubre pour me passer un coup d'eau sur le visage. Ce rituel effectuer je me déshabiller en essayer d'oublier l'araignée qui descendre de sa toile pour venir manger les mouches qui volait dans ma chambre. Un paquet de gâteaux abandonnés traînaient encore sur le bord de ma cuisine j'en mangeais quelques uns en pensant au lendemain et s'il allait me rester assez d'argents jusqu'à ma prochaine paye pour pouvoir m'acheter de quoi manger un minimum. A force de faire de nombreuses économie je devais faire attention à ma nourriture et entre ma première année et ma dernière année je perdis environ une 10en de kilos, la déprime passagère qui avec mes rêves avaient réussir a disparaître repris ses aises dans un petit coin de cerveau en superposition a ce que l'infirmière m'avait dit hier : "cet individu qui t'as sauver devait bien te connaître car il a dit que tu était fragile même sans t'avoir jamais parler." ainsi que cette phrase qui blessait me blessai le cœur plus quelle n'aurait du "Évite de blesser les gens qui t'aime inutilement!". Comment ne pas blesser les gens et vivre sereinement ? Malheureusement la réponse et que pour ne pas faire souffrir mon cher tuteur j'allais devoir vivre et supporter ma vie de miséreux et continuer a faire comme si de rien n'était avec le reste du monde. Sourire, faire le pitre et rire! Vivre mais quel difficile tache mais je pense que j'ai trouver ma raison de vivre désormais : trouver cette voix enchanteresse qui a réussi a me troubler outre mesure.


Le train arrivait et l'école apparaissait au détour d'un virage et j'aperçus alors mon toit avec au somment de celui-ci une silhouette solitaire. Cheveux noirs et peau blanche il se démarquait par ce contraste saisissant qu'il offrait.


"-Mon enfant voici le début de l'histoire de ton pere!, dis-je en laissant traîner ce doute qu'allait-il donc se passer.

-Encore je voudrai bien entendre la suite papa!, rétorqua mon petit-fils en sautant de mes genoux sur sa frimousse blanche ses moustaches de lait ressortent comme ses yeux bleus turquoise.

-Nous continuerons la suite demain, là il faut aller dormir pour pouvoir aller à la piscine demain!, dis-je en rigolant face à cette bouille concentrée et partagée entre le fait de dormir et d'entendre la fin de cette histoire mais le sommeil prend le pied sur l'envie de l'histoire et je l'emmène se coucher dans sa chambre.

-Bonne nuit Hikari ma lumière dors bien.

-Bonne nuit papa Naru.

La lumière éteinte je retrouve ma raison de vivre allongé dans le canapé là ou ma petite lumière était installer il y a 10 min, je m'approche de cet individu qui a ravit mon cœur et je m'allonge a cote...

La vie n'as plus aucun rapport avec ce a quoi elle ressembler lorsque j'étais plus jeune. Tous mes espoirs se retrouvent en la personne a côte de moi. Je l'aime et c'est tout ce qu'y compte. Un amour qui m'a sauvé de ma mort et, est devenu mon oxygène, ma raison de me battre chaque jour pour oublier ma vie d'avant, de malheur!

Owari


Bon est bien qu'en pensez vous? je n'attend plus que vos reviews pour me donner des conseils et surtout n'hésitez pas à critiquer s'il vous plaît! :)