Bon voilà ma nouvelle fic hétaliesque. Le premier chapitre est un peu court mais la suite sera sûrement plus longue.
Rating : K+ (pour cause de language Lovinoesque).
Perso : Ludwig/Allemagne, Gilbert/Prusse, Feliciano/Veneziano, Lovino/Romano.
Couples : Ludwig/Gilbert, Ludwig/Feli, Lovino/Gilbert.
On peut considérer ceci comme la suite d'Einsamkeit
Ha et bien sûr, Hetalia m'appartient autant que... la chamelle mange des requins u.u (Aoutch la comparaison foireuse), c'est-à-dire : aucunement :(
Que dire à part... Enjoy !
Gilbert était de retour chez son frère depuis quelques mois et il en avait marre. Marre ! MARRE ! Veneziano était bien gentil et bien mignon. Il l'aimait beaucoup mais il tournait un peu trop à son goût autour de SON frère à LUI.
"Allemagne ! Allemagne ! Tu viens jouer avec moi !" L'italien avait encore frapper. Mais il s'arrêtait jamais dans ses tentatives de vols ? Et Ludwig qui ne se rendait compte de rien. Qui se laissait faire.
Alors Gilbert partit. Pas pour laisser en paix, non. Pour trouver un plan. À la hauteur de son magnifique lui. Il empruntait le chemin le menant à la maison d'un de ses deux meilleurs amis, Francis, quand il sentit une aura meurtrière. Il se retourna et le vit, là, son futur allié. Celui qui haïssait au moins autant que lui ce couple contre-nature. Romano Lovino Vargas. Le jumeau de celui qui lui pesait tant.
«Hé ! Mais si ça serait pas ce bon vieux Romano, là. Qu'est-ce que tu fout là ? Tu prévois pas d'attaquer ma maison quand même. Le prusse s'était approché et enfonçait à présent son doigt dans la joue du mafieux. Espagne avait raison, c'était vraiment tout doux et agréable à toucher.
-Hé connard ! Tu fous quoi là ? Me touche pas ! Me touche pas j'te dit, connard ! On reconnaît tous ici le langage châtié du pur et innocent Lovino Vargas(1).
-T'es venu détruire un couple hein ? Avoue tout à l'awesome moi que je suis ! Ordonna Gilbert en se mettant à pincer les joues de l'Italien.
-Je suis venu sauver mon frère de la perversion qu'est le tien, ce sale connard bouffeur de patate !
-Ça te dirait qu'on s'allie ? Proposa Prusse en souriant.
-Tu propose quoi ? Demanda l'autre sur un ton de conspirateur avec le même sourire.
-Allons boire un café.
Oui je sais, affreusement court (314 mots). La suite d'ici une semaine normalement.
(1) Qui ose dire que Lovino n'est pas la pureté personnifié ?
