Disclamer: Les personnages et l'univers de « Katekyo Hitman Reborn ! » appartiennent à Akira Amano. Tous les droits leur sont réservés.

Information : Ceci est un texte court écrit sous un coup de tête sur les personnages de Bianchi et Yamamoto. C'est sans prétention ni ambition, mais c'est avant tout pour essayer un couple shippé de façon sauvage.


Visionnage

Yamamoto s'étira, engourdie après une heure et demie de visionnage. Il n'aimait pas rester immobile bien longtemps devant un écran. Il préférait bouger. Il savait qu'ils avaient encore trente minutes de film, car il avait lu la durée sur l'affiche.

Il passa le bras sur le dossier à côté de lui, occupé par une belle Italienne aux cheveux longs. Il osa jeter un coup d'œil dans sa direction et vit sa concentration et l'extase dans ses yeux. Le japonais eut un sourire niais en remarquant une petite larme coulée le long de sa joue. Par témérité, il approcha sa main vers le liquide et le retira.

Son action provoqua un sursaut chez la tueuse. Son attention se tourna vers lui avec une expression étonner.

— Tu me fais quoi, Yamamoto ?

— Désolée, c'est que tu pleurais et…

— Ne refais plus jamais ça. Ou alors, je t'empoissonne sur place.

Le gardien de la pluie ravala sa salive et fixa l'écran de cinéma, tendu. La scène dramatique continuait sous ses yeux jusqu'à ce qu'une lamentation aiguë survient à sa droite. Il se doutait que la belle Italienne se montrait sensible à la situation. Cependant, il garda en mémoire sa menace.

Soudainement, une pression survint dans la même direction au moment où l'actrice dévoila ses sentiments face à un homme. Il sentit ses tremblements au travers du vêtement et décida de placer son bras autour des frêles épaules de la demoiselle. Il l'attira vers lui sans qu'elle lui offrît la moindre résistance.

À cette approche, le collégien réalisa la chance qu'il avait d'avoir accepté cette sortie. Il ne pouvait nier que le charme étranger de la belle aux poisons était envoûtant. Tout ce qu'il avait à faire, c'était de parvenir à s'approcher un peu plus de son cœur, ce qui se montrait plus difficile.