Annonce : Cette histoire ne m'appartient pas, et je ne touche pas d'argent sur ce travail. Le monde de Harry Potter appartient à J.K.Rowling et cette histoire est une traduction de Hand-Me-Down Clothes de Quillitch.

Vous pourrez voir que j'ai laissé please en anglais, l'auteur la associé au mot police et il n'était pas possible de le traduire en français sans enlever le jeu de mot.

J'avais prévu de poster ce chapitre après les vacances mais comme vous le voyez…je n'ai pas réussi.

Bonne lecture à tous et n'oubliez pas de laisser un message, c'est notre seul salaire et ils nous encouragent à continuer. Merci.

Emmanuelle Dumbledore.

Les vêtements usagés.

Au commencement.

"Albus ! Si je vous l'ai dit une fois, je vous le répéterai un millier de fois : Ce garçon doit leur être retiré !"

"Arabella, aussi longtemps qu'ils arrêtent de suite d'abuser actuellement le garçon…"

"Oh honnêtement Albus ! Votre cerveau a-t-il trop fonctionné ? Les petits garçons, les enfants, ont besoin de soins, d'amour et d'attention. Pas seulement d'un toit sur la tête, de vêtements usagés et de nourriture !"

"Il n'y a rien de mauvais avec les vêtements usagés, je me souviens une fois moi-même quand – "

"Les garçons ont le même âge ! Toutes les années nous avons cette même conversation Albus, et toutes ces satanées années vous ne faites rien du tout !"S'exclama Arabella en colère. Il y eut une pause tendue avant qu'Albus reprenne calmement :

"Etre pauvre n'est pas une bonne raison pour enlever Harry de leurs soins."

"Quels soins ? Par Merlin, allez-vous m'écouter ?"

"Arabella", avertit Albus en fronçant les sourcils.

"Taisez-vous ou je vous ensorcelle jusqu'à la semaine prochaine, Albus ! Ils ne sont pas pauvres, ils peuvent lui fournir ses propres vêtements, et ils peuvent même se permettre de payer un jardinier mais c'est le travail du petit Harry. Un parmi tant d'autres ! Maintenant je suis malade et fatiguée de débattre avec vous Albus, vous êtes assis dans votre petit bureau confortable à diriger votre école, mais il est temps de redescendre sur terre et de vous mêler au commun des mortels !"

"Arabella !"

"Vous ai-je dit que vous pouviez parler maintenant ? Bien alors, je propose que soit vous redescendiez sur terre et alliez voir par vous-même – "

"Ou ?"

"Ou je décide d'informer Minerva et Hagrid de la condition du petit Harry."

"Ah." Tous les deux étaient conscient que là où le jeune Harry était concerné, Minerva McGonagall avait tendance à être un peu irrationnel, et Hagrid, qui avait literralement adoré les décédés Lily et James Potter, avait un ardent sentiment de protection pour leurs enfant orphelin.

"Cela vous tuerait-il d'y aller et d'y jeter un coup d'œil, Albus ? Ce ne serait pas suspicieux, vous seriez juste en train de rendre visite au garçon – comme vous auriez dû le faire."

"Arabella, je ne crois pas que j'ai beaucoup de choix, je vais écrire aux Dursleys immédiatement."

"Non, ne faites pas ça, Albus, je ne leur fais pas confiance d'aussi loin que je puisse m'en souvenir et je les rejette aussi loin que possible, et ce n'est pas loin du tout en considérant la grosseur de ce jeune imbécile. Si vous les prévenez, Harry va être forcé de vous dire des mensonges dictés par ce pompeux derrière de Vernon."

"Arabella !"Ria Albus en essayant de prendre un air de reproche.

"Je suis sérieuse Albus, j'ai cet homme dans le nez, c'est trop dommage qu'il soit un moldu ou je l'aurais provoqué en duel – ça lui aurait appris. Arrivez demain matin à 9 h, c'est samedi alors je sais que vous êtes libre."

Il y eut un "pop", comme le bruit d'un bouchon de liège qu'on enlève d'une bouteille, et la tête d'Arabella Figg disparut de l'intérieur de la chaude flamme verte, et le feu une fois encore crépita de rouge et orange.

Albus Dumbledore était assis dans un fauteuil confortable devant son énorme cheminée en pierre, il avait de longs cheveux argentés, une égale longue barbe, et portait une robe bourgogne avec des fournitures d'or. Sur son nez aquilain siégeait une paire de lunettes en demi-lune, derrière lesquelles une paire de brillants yeux bleus pétillaient. Un petit sourire étirait ses lèvres et creusait des rides rieuses autour de ses yeux. Arabella n'avait jamais eu beaucoup de remords quand il s'agissait d'être autour de lui et de lui donner des ordres ou encore de le remettre à sa place quand son ego devenait trop grand ; à son avis. Brusquement, il frappa ses mains et avec un bruyant crac un elfe de maison apparu en face de lui, dressé dans une taie d'oreiller avec le blason de Poudlard dessus, ces grands yeux verts globuleux tournés vers lui.

"Ah c'est Paddy, n'est-ce pas ?" Albus fut récompensé par un révérant signe de tête. "Voudriez-vous demander au professeur McGonagall de venir me voir dès qu'elle le peut."

"Oui, monsieur. Bien sûr, monsieur ! Monsieur voudrait-il quelque chose d'autre, professeur Dumbledore monsieur ?"

"Non-merci, Paddy, ça sera tout. Voudriez-vous, par hasard un bonbon au citron ?"

"Oh non monsieur !"Dit l'elfe de maison ayant l'air parfaitement choqué par ce manquement au protocole.

"Etes-vous sûr ? Ils sont vraiment bons !" Et comme pour démontrer son point de vue, Albus Dumbledore en mis un dans sa bouche. "Mmm-mmm."Narra-t-il joyeusement et l'elfe de maison jeta alors un regard rempli de désir sur le sac en papier rouge et or qui était dans la main de Dumbledore.


"Po'essseur Mc'onagarll, Padday aa un messsarge pouvr 'ous ge Gumgedorre."

"Mon Dieu ! Qu'est ce que cela ! Paddy pourquoi parles-tu de cette manière ?" Minerva McGonagall scruta par-dessus ses lunettes carrées l'air penaud de l'elfe de maison.

"Fffrrian'issse Pro'essseur", expliqua Paddy avec un flot de zézaiement et de chuintement.

"Quoi ? Peu importe, qu'à dit le directeur ?"

"Polissse po'vez ous le 'oir che choir."

"Police ? Oh – please ?"

"Ouisss."

"Arrête de sifflet Paddy, on dirait un serpent. Voyons voir maintenant…oh ! Je crois que j'ai compris. Il souhaite me voir ?"

"Ouisss ché cha !"

"Ché cha ?" Vacilla McGonagall tout en nageant dans les profondeurs confuses de l'obscurité.

"Ouisss !"

"Oh par Merlin, je vais juste y aller et le voir maintenant je pense."

"Ouisss !"Grimaça, avec succès, Paddy tout en faisant un bruit de sussions.

Le moment suivant Paddy était à nouveau seul puisque le professeur, légèrement irrité, sortit d'un pas majestueux. Il fit son retour dans les cuisines suçant le dur bonbon parfumé au citron que Dumbledore lui avait donné, et trouvant cela tout à fait agréable.


"Directeur ?"

"Minerva ! Prenez une chaise, faites !"

"Avez vous demandé à me voir ?"

"Oui, je l'ai demandé. Bonbon au citron ?"

"Non-merci, Albus", répondit Minerva McGonagall, ayant un air réprobateur à la simple idée de bonbon au citron. Elle s'assit dans le fauteuil avoisinant, les accoudoirs se déplaçant jusqu'à ce qu'elle puisse poser ses bras sur eux confortablement.

"Je vais sûrement être absent demain, vous allez avoir l'école pour vous seule pendant que je ne suis pas là."

"Absent ! Pour quoi faire ?"

"Oh, un peu de ci, un peu de ça." Albus mit un autre bonbon au citron dans sa bouche, et évita de croiser les yeux de sa collègue.

"Albus, vous n'avez pas été absent de cette école depuis les funérailles de votre grand-père, ai-je besoin de vous rappeler à quand cette époque remonte ?"

"Hmm…Je suis de sortie pour voir Arabella actuellement,"admit-il.

"Il n'y a rien de grave avec Harry n'est ce pas ? J'ai toujours dit que vous n'auriez pas dû le laisser avec ces moldus ! Est-il très gravement blessé ? Allez-vous le ramener ici ? Peut-être que vous devriez prendre Pompom avec vous, allez-vous informer le ministère ? Qu'est ce que – "

"Minerva ! Je vais juste rendre visite au garçon et contrôler sa condition, c'est tout. Je suis sûr qu'il va bien !"

"Contrôler ? Albus, ça va faire six ans et tout à coup vous allez lui 'rendre visite'? "

"Faites-moi confiance Minerva." Il y eut un bruit audible de grincement de dents.

"Je déteste réellement cela quand vous dites cette phrase Albus, ça me donne un mauvais sentiment incroyable."

"Peut-être que vous avez un talent caché pour la divination, professeur."

"Albus, je n'apprécie pas cette réflexion." S'indigna une McGonagall au regard furibond.

"Je vous présente mes excuses Minerva", offrit galamment Dumbledore.

"Ne faites pas ça", rembarra notre très estimé professeur de métamorphose, et elle fronça les sourcils devant son suspicieux visage innocent. Après un temps elle se laissa attendrir et sourit, Albus était quelques fois tout à fait sénile, et il avait l'habitude de vous taquiner gentiment. Elle se leva, prête à partir. "Et s'il vous plaît arrêter de donner des friandises aux elfes de maison ! Vous allez abîmer leurs dents !"


C'était un matin chaud et sec à Privet Drive, le ciel était d'un bleu qu'il était possible de voir seulement dans les livres d'histoires ou les poèmes mal écrits, et le ciel était clairsemé de fines traînées de nuages gris-blanc. Il y eut dans la salle à manger au numéro huit Privet Drive, une distorsion de l'air, et soudainement un homme avec une quantité inhabituel de cheveux blancs se tenait dans cette pièce.

"Vous êtes en retard", dit la vieille femme aigrement depuis l'encadrement de la porte sur lequel elle s'appuyait, un chat noir blessé tournait autour de ses chevilles et feula en direction du visiteur.

"Bonjour, Arabella."

"N'utilisez pas mon prénom Albus", ordonna la doyenne alors qu'elle se déplaçait pour recevoir son embrassade de bienvenue. "Vous pouvez aller directement au numéro quatre, ils sont tous à la maison aujourd'hui, par tous les diables qu'êtes-vous en train de porter ?"

"Des vêtements moldus, je ne peux pas y aller dans mes robes de sorcier. Sont-ils appropriés ?" Albus leva un sourcil blanc broussailleux de manière interrogative vers elle.

"Oh oui, c'est définitivement des habits moldus, une très fidèle représentation de ce qu'ils portaient, il y a cent ans en arrière !" Se moqua la vieille femme en faisant une fausse imitation de désespoir alors qu'Albus semblait moyennement surpris – il portait des vêtements de la période de Jane Austin, complété avec un gilet de garde de couleur or et une cane en bois d'ébène noir.

Arabella fronça les sourcils de concentration pendant un moment puis agita sa baguette, une vague de lumière pourpre partit de ses orteils puis s'éleva le long de son corps, et la veste noire à deux queues avec en dessous le gilet blanc ainsi que le pantalon noir disparurent, pour être remplacé par un costume bleu-marine élégant, et sans cravate.

"Beaucoup mieux, si seulement j'avais en ce moment un appareil photo", lui minauda-t-elle, souriant devant son apparence, dans son costume moldu avec sa longue barbe blanche et ses longs cheveux. "Maintenant allez-y, j'ai à nourrir mes chats." Elle le chassa vers le vestibule, "et rappelez-vous de rester toute la journée !"

"Bien sûr Arabella", concilia Dumbledore qui trébucha sur le chat noir au moment où il ouvrait la porte principale. Pendant que le matou noir plantait ses griffes avec enthousiasme dans ses chaussures, il remarqua qu'elles étaient à lacets, noires et luisantes, mais ne possédaient absolument pas de talons.

"Blackie ! Viens ici, Blackie. Le petit déjeuné est prêt !"Appela Arabella et le dit monstre se leva agilement et chassa une souris imaginaire tout le long du chemin qui le menait vers la voix de son propriétaire.

Albus Dumbledore fit rapidement son chemin dans la rue jusqu'à ce qu'il arrive au numéro quatre Privet Drive, il y avait des arbustes parfaitement taillés alignés le long du chemin et des bouquets de fleurs, aux couleurs soigneusement sélectionnées pour s'accorder entre elles, étaient placées près de l'accotement dans des parcelles de terre désherbées admirablement. Un tel perfectionnisme était sûrement un art; Il avança pour atteindre une porte marron banale puis appuya sur la sonnette qui émit le "Ding Dong" traditionnel. A l'intérieur il pouvait entendre des bruits d'activités, une télévision moldu, un aspirateur à l'étage, et le tintement de tasses, qui il le présumait, venait de la cuisine.

"Maman ! La sonnette vient juste de retentir !"Cria une jeune voix.

"Harry !"Cria d'une voix perçante une femme, probablement la jeune mère. "Va ouvrir la porte !" L'aspirateur s'arrêta, et les marches de l'escalier furent descendues en courant, puis dans un mouvement brusque la porte fut grande ouverte.

"Bonjour", lui sourit chaleureusement un Harry Potter âgé de sept ans.

Fin du premier chapitre.

La suite après les vacances!