Fiction doctor who:titre :...

La fiction qui va suivre ne sera pas forcément logique par rapport à l'histoire originelle. Ce n'est la suite d'aucun épisode. J'écris cette fiction pour faire un peu travailler l'imagination en attendant la prochaine saison de Doctor Who. Donc please R&R!:)

Dans une petit coin de l'univers se trouvais ce jour là une petite boite bleue. Elle flottait,lentement,tranquillement. À l'intérieur,le docteur tournait autour de la console,sans rien dire. Cela semblait normal,puisqu'il était seul. Mais il lui arrivait de plus en plus souvent de se parler à sois même. L'age,sans doute. De toute évidence,le pauvre s'ennuyait. Personne à impressionner,personne avec qui se chamailler... Il pourrais aller voir n'importe quoi,tout ce qu'il désirait voir était à sa portée,enfin presque...Gallifrey,sa planète,là où il désirait aller,était introuvable,perdu dans les méandre d'un univers inconnue,qu'il n'atteindrait peut être jamais. Des fois,le docteur espérait que ce ne sois qu'un rêve,un simple rêve d'enfant. Et un jour il se réveillerait,sur sa planète,sa maison. Il n'aurait pas voler de TARDIS,n'aurait jamais voyager dans l'univers,n'aurait jamais été sur Terre,n'aurait jamais connu toutes personnes qu'il connaissait aujourd'hui.

Un bruit extérieur attira soudain son attention,le tirant ors de ses pensées tristes. C'était un bruit sourd. Et vu l'expérience du docteur concernant les bruits sourd venant de l'extérieur,cela n'annonçait rien de bon. Le docteur,comme toujours,eut l'idée idiote et dangereuse d'ouvrir la porte de TARDIS. Mais cette fois ci,ça n'était pas un extraterrestre visqueux qui se retrouva face à lui,ni un mystérieux cube,mais une porte. Un porte étrange,qui attirait le docteur. Qui l'hypnotisait. Le docteur s'ennuyait dans son TARDIS,seul,sans personne à impressionner,personne avec qui se chamailler. C'est pour cette raison sans doute que,sans réfléchir,le docteur ouvrit la porte flottante,et se retrouva soudainement aspirer par la mystérieuse porte flottante,qui se referma aussitôt derrière le seigneur du temps.

XxX

Le réveil sonna à 6h30,l'heure de se lever pour John,même si les cours ne commençait pour lui qu'à 8h00. Il se lava,s'habilla,pris son petit-déjeuner tout en écoutant la radio qui annonçait la météo du jour. John ronchonna lorsque la radio annonça de la pluie pour la journée entière. Mais c'était habituelle dans cette bonne vieille ville de Londres. À 7h00,il était déjà près. Il n'avait plus qu'à faire le trajet jusqu'au lycée,sous la pluie matinale. Il vérifia un dernière fois l'intérieur de son vieux sac en cuir,s'assurant de ne pas avoir oublier les devoirs des 2ndB,et glissa une petite mandarine avec son sandwich. Il se mit en route,passa devant le vendeur de journaux qui le regardait toujours avec un air étrange chaque fois qu'il le voyait,contourna le parc,marcha près de la vieille bibliothèque,continua sa route jusqu'au cimetière qu'il devait traverser chaque matin pour arriver jusque devant l'hôpital. Il s'était toujours dit que c'était un idée idiote de placer un hôpital en face d'un cimetière. C'était comme mettre un collège près d'une centre de recherche d'emplois,c'était ridicule ! Il arriva enfin,après une bonne demi-heure,au lycée Oldman. Ce lycée était vieux,très vieux,et aussi très grand. Les élèves commençaient à peine à arriver. John alla dans sa salle de classe et commença à vider son sac. Les élèves,comme chaque matins,se rangeaient par classe dans le préau,et attendaient « sagement » leur professeur. John alla chercher sa classe,et les ramena dans sa salle de cours.

« Sortez vos cahier votre livre. Dit-il aux élèves en écrivant le titre de la leçon du jour.

-Professeur Smith?dit timidement l'un d'eux.

John se retourna et vit Mickey,assit à sa place,qui regardait le tableau avec un air étonné.

-Qu'y a-t-il Mickey?demanda John.

-Pourquoi avez-vous écrit « la seconde guerre mondiale» au tableau?

-Parce que c'est le titre de notre nouveau chapitre. Répondit John,amusé par la question du jeune homme.

-Mais on vient juste d'entamer hier le nouveau chapitre!affirma Mickey.

-Vraiment?dit John,surpris de la nouvelle.

Il était pourtant sûr que la 2nd A venait seulement de terminer le chapitre sur la première guerre mondiale.

-Mais oui!répondit Mickey,sûr de lui. Et même que vous nous avez parler des trous noirs qui aspirent tout!

Soudain,John compris. Mickey avait toujours été si distrait!

-Mais non Mickey!dit-il. Ça c'est de la physique-chimie! »

Mickey,dépité,se rassit sans répondre. Il devait avoir inverser les jours,et pensait avoir cours de physique-chimie. Mais John ne lui en voulait pas,c'est vrai que ça n'était pas très facile à suivre. John faisait cours d'Histoire-Géographie tout les matins,et continuait l'après midi en tant que professeur de physique-chimie,de quoi bien embrouiller tout les nouveaux élèves chaque années. C'est vrai que c'était rare qu'un même professeur fasse plusieurs matières différentes. Mais il était bien obligé,car il y avait de moins en moins de professeurs chaque années,dans ce lycée qui tombait en ruine. Tout les ans,un autre professeur prenait sa retraite,ou était muté,ou même démissionnait!

L'heure du déjeuner sonna,et les élèves se précipitèrent tous vers la cantine comme des sauvages. John rangea calmement ses affaires et sortit du lycée. Il n'aimait pas manger avec les autres professeurs,il les trouvait trop...ennuyeux. Bien que des fois lui aussi le soit autant qu'eux,il ne pouvait pas les supporter. John alla s'assoir sur un banc dans le parc,désert,et dévora son sandwich,éplucha sa clémentine tout en regardant autour de lui. Il se sentait observer. Il remarqua une petite fille et un petit garçon,tout deux semblaient avoir environ 7 ans,jouer dans l'air de jeux. John eu soudain l'impression qu'il les connaissait,ces deux enfants,il en était même sûr! Mais il n'eut pas le temps de les voir de plus près,ni même de leur demander leur nom,car le cadran de sa montre lui annonçait qu'il ne lui restait pus que 10 min avant que les cours ne commencent. Il passa par un petit raccourci dans les ruelles,et y croisa deux homme qu'il avait aussi l'impression de connaître. Ces deux hommes,vêtus tout deux de costumes noirs,parlaient à voix basse en fixant John. Ce dernier n'y prêta aucune attention. Il était en retard,et n'avait donc pas le temps de se mêler d'autres affaires que les siennes. Il retourna rapidement au lycée,et croisa dans le couloir une jeune femme qui avait l'air complétement perdue.

« Monsieur!l'interpela-t-elle.

John se retourna vivement pour faire face à la jeune femme. Mais il fut surpris de voir le jeune femme,alors il lui fallut plusieurs instants pour se rendre compte de ce qu'elle lui disait.

-...mais je ne sais pas où ça se trouve,pourriez vous m'y amener?

John acquiesça sans comprendre. Il avait été très surpris en la voyant,car il était certain de le connaître. Pourquoi avait-il aujourd'hui l'impression de connaître chaque inconnu qu'il croisait?! Ils restèrent tout deux immobiles durant de longues minutes,s'observant avec curiosité.

-Euh...tenta timidement la jeune femme,surprise. Donc vous voulez bien me montrer la route s'il vous plait?

John resta muet plusieurs minutes encore,réfléchissant. Où avait-il pu voir cette femme? Il était sûr de la connaître! Mais plus il cherchait dans ses souvenirs,plus ils s'effaçaient!

-Oui oui!répondit-il enfin. Je vais vous y amener! Mais dites moi juste un chose:Où voulez vous aller?

-Je vois,répondit-elle,vous ne m'avez simplement pas écouter.

-Exactement!s'écria John.

Il n'avait pas très envi d'être poli,il était déjà en retard. Même si il était sûr de connaître le jeune femme,il était en retard à son cours de physique,et la physique,ça ne peux pas attendre!

-Je veux juste que vous me montriez la direction de la salle 220. Dit la jeune femme.

-Ah oui!Bien sûr! Répondit John. Je vais dans la même direction,suivez moi.

John et l'inconnue connue marchèrent silencieusement dans les couloirs. La seconde sonnerie allait bientôt sonner. Si John n'arrivait pas à temps,ses élèves le croiraient absents et John ne voulaient pas leur faire cette fausse joie. Pourtant,rongé par la curiosité,il pris le temps d'en savoir plus sur le jeune femme qu'il semblait connaître.

-Excusez-moi,demanda-t-il,pourquoi voulez vous aller dans cette salle? Vous savez que le professeur Hart à pris sa retraite le mois dernier?

-Oui je sais. Répondit la jeune femme. C'est bien pour ça que je suis là il me semble.

Comme John faisait son air incompréhension,la jeune femme continua:

-Je suis le nouveau professeur de littérature!On ne vous a pas prévenu?

-Peut être oui. Répondit John.

Il lui arrivait souvent de ne pas écouter.

-Quel est votre nom alors?demanda-t-il.

-Je m'appelle Clara Oswald. Contente de vous rencontrer monsieur...

-John,John Smith.

-Enchantée monsieur Smith. Quelle matière enseignez vous?

-L'histoire-géo et la physique-chimie.

-Et bien vous en avez du courage!Enseigner deux matières,ça doit être très fatiguant!

-Pas quand on est passionné!répliqua John avec un sourire. »

Les deux enseignants se quittèrent lorsqu'ils furent arrivés à leur salle de classe,et John ne fut pas vraiment surpris de découvrir que malgré son retard,seulement trois de ses élèves étaient arrivés. Miss Oswald avait raison,c'est fatiguant ce métier,mais le métier d'élève l'est encore plus!

J'espère que vous avez aimer le premier chapitre!Je débute alors je ne connait pas tout les styles d'écriture (et oui c'est vrai je fait des fautes,mais c'est humain!)

Je suppose que vous avez deviner à peu près ce qui se passait dans cette fiction,mais sauriez vous comment cela va finir? N'hésitez pas à me proposer des idées! :)

Le soleil commençait à se lever,et John était déjà réveillé. C'était mercredi,et il n'avait pas cour le mercredi,contrairement aux élèves et autres professeurs. Il n'aurait donc pas la possibilité d'en savoir plus sur cette Clara Oswald qu'il semblait si bien connaitre .

Il se rappela son planning de la journée tout en mangeant son toast au beurre. Le matin,il devait aller chez son psychologue,puis,il rentrait manger,corrigeait ses copies pour le lendemain et ensuite il comptait aller se promener au parc.

John se doucha,s'habilla,comme chaque matins qu'il passait dans cet appartement,dans cette ville. Il ne se rappelait pas son premier emménagement dans cette ville,sans doute parce qu'il était très jeune,et ne se rappelait pas non plus de ses parents,morts lorsqu'il était encore un bébé. C'était d'ailleurs pour cela que chaque mercredis depuis qu'il habitait dans cette ville,John allait raconter ses péripéties à son psychologue. Il descendit l'escalier en colimaçon et croisa son voisin,monsieur Collins. Comme tout les matins depuis qu'il habitait dans cet appartement,il le salua,lui demanda « comment allez vous cher voisin? »,lui parla du temps qui se rafraichissait,et repartit aussi vite qu'il était venu. John ne se souvenait pas avoir eu une quelconque autre conversation avec monsieur Collins,mais il se fichait un peu de parler d'autre chose. Ce voisin risquait de commencer à lui parler de ses petits problèmes familiaux,qui intéressaient nullement John. John sortit dans la rue,encore sombre et fraiche comme chaque matins dans les rues de Londres. Il se dirigea dans la même direction que la veille mais après être passer près de l'étrange vendeur de journaux,puis contourner le parc et marcher près de la vieille bibliothèque,il ne se dirigea pas vers le cimetière,mais dans le sens opposé. Il arriva devant un vieux bâtiment,usé par le temps,et y entra. Il se retrouva dans une salle d'attente,sombre,comme à son habitude,et John s'assit sur un des nombreuses chaises. John s'était toujours demander pourquoi il y avait autant de chaises,car d'aussi loin qu'il se souvienne,il n'avait jamais vu d'autre personne que lui dans cette salle d'attente.

Il attendit un quart d'heure dans cette sombre et petite salle,silencieux,fixant l'obscurité. Chaque fois qu'il allait chez son psychologue,John attendait exactement un quart d'heure dans la salle d'attente,jusqu'à ce que son psychologue daigne le faire entrer dans son cabinet. Le psychologue apparu donc à 9h15,et fit signe à John de s'assoir. Ce dernier s'exécuta,et s'installa sur le vieux fauteuil noir délavé. Le psychologue s'installa à son tour sur son fauteuil personnelle,et fixa John de son habituel regard perçant.

« Et bien Monsieur Smith,dit-il,qu'avez-vous à me raconter aujourd'hui?Que s'est-il passer dans votre vie depuis notre dernière discutions?

-Oh vous savez,répondit John,rien de très croustillant,ça n'était qu'il y a une semaine.

-Racontez moi alors ce qui s'est passer depuis la semaine dernière. Répliqua calmement le psy en souriant.

-Et bien...réfléchit John. Jeudi dernier,Timothé Bell à rater son bus et est arrivé avec une heure de retard.

-Et que lui avez vous dit?questionna le psy.

-Rien de très spécial,je lui ai simplement dit que ça n'était pas grave,et que de toute façon ça n'était pas un bon jours.

-Je vois,dit le psy en griffonnant sur son carnet,vous pensez toujours que le jeudi est un mauvais jour.

-Et vous persistez à croire le contraire n'est ce pas?répliqua John. Il n'aimait pas qu'on le contredise.

-Je n'ai jamais dit ça!se défendit le psy en continua de griffonner. Et vendredi?

-Quoi vendredi?

-Que s'est-il passer vendredi?

-Rien d'intéressant à raconter. Répondit John. Ni Samedi,ni dimanche,ni lundi.

-Et mardi?

-Et bien mardi j'ai rencontrer une nouvelle personne.

-Vraiment!dit le psy en relevant la tête,comme si il commençait seulement à écouter. Comment s'appelle ce nouvel ami?

-Je vous préviens tout de suite,ce n'est pas un ami imaginaire,c'est une vrai personne,en chair et en os. C'est le nouveau professeur de littérature. Elle s'appelle Clara.

-Je vois,dit le psy en souriant.

-Pourquoi souriez vous?demanda John en fronçant les sourcils.

-Vous commencez enfin à vous ouvrir monsieur Smith,c'est bien,très bien!Et cette Clara,elle vous plait?questionna le psy en continuant de sourire.

-Je viens seulement de la rencontrer,dit John sans comprendre la remarque du psy,mais j'ai eu une impression étrange en la voyant.

-De mieux en mieux monsieur Smith!dit le psy,souriant de plus en plus.

Soudain,John compris les remarques du psychologue. Il avait souvent du mal à discerner ce genre de remarque idiotes.

-Clara n'est qu'une connaissance,pas plus!s'écria John sur la défensive. Et l'impression que j'ai eu n'a rien à voir avec ce dont vous pensez,la preuve,j'ai eu la même avec deux enfants un peu avant!

-Dites m'en plus sur cette impression alors. Dit le psy en arrêtant enfin de sourire.

-C'est comme...je les connaissait. Raconta John. Mais je ne sais pas d'où,ni de quand. J'ai eu cette même impression plus tard avec la professeur de lettre.

-Et n'aviez vous jamais eu ce genre d'impression auparavant?

-Pas que je sache. Réfléchit John.

-Et bien réfléchissez en toute la semaine monsieur Smith,car la séance est fini. Conclu le psy,avant de se lever et de conduire John à la porte. Bonne semaine monsieur Smith! »

Il claqua la porte,laissant seul son patient dans la petite pièce sombre de son arrivée.

John retourna chez lui en repensant à ce qu'il avait ressentit la veille. Peut être était-ce simplement l'âge qui lui faisait perdre un peu la mémoire,même si il ne se trouvait pas si vieux que ça. Où alors connaissait-il réellement ces personnes,mais il les avait oublier,tout simplement. Il remonta l'escalier de son immeuble,et se félicita de ne croiser aucun voisin ennuyeux. Il rentra chez lui et mangea tranquillement. L'après midi,John corrigea ses copies,et fut surpris de mettre enfin une note au dessus de 10/20 à Timothé. Il repartit ensuite au parc,espérant croiser les deux enfants de la veille pour ainsi pouvoir leur demander leur nom. Mais les enfants n'étaient pas là,et John resta assit sur son banc,dans le parc désert. Il regarda aux alentours,et remarqua sa voisine d'immeuble,ou plutôt son ex-voisine,puisqu'elle état parti s'installer dans l'immeuble d'en face,pour être remplacer par le voisin météo. John avait toujours beaucoup aimer cette jeune femme. Un jeune femme blonde,ordinaire,très gentille et très sociable. Elle vivait avec sa mère,une femme bonde,elle aussi,qui criait très très souvent,ce qui lui donnait son air drôle et commère. John et les voisines discutaient souvent lorsqu'il y avait une fête dans l'immeuble. Ce genre de fête du troisième âge où tout l'immeuble est inviter pour manger des petits gâteaux mous,siroter du thé sans goût et parler de la météo. John s'était toujours ennuyer dans ce genre de fête,jusqu'à ce que les deux voisines arrivent et lui parlent de choses plus amusantes,plus intéressantes. John regarda autre par dans les rues aux alentours,et aperçu au coin de la rue,dans l'ombre,les deux hommes en noir de la veille. Il les observa,tout en se demandant ce qu'il trafiquaient. Ces deux hommes semblaient le suivre,mais ils faisaient on ne sait quoi sur des minis tablettes. John ne pouvait pas risquer de s'approcher,car les hommes allaient sûrement fuir quand ils le verraient. Alors il se contenta de les observer de loin,tout en se conseillant de s'acheter les jumelles,car bien qu'il ai toujours eu une très bonne vue,elle n'était pas infaillible,et il n'était pas un être surnaturelle. Les deux hommes finirent par s'en aller,et John retourna chez lui. Il passa devant l'étrange vendeur de journaux,et lui en acheta un. Mais alors que John payait le vendeur,ce dernier s'approcha de lui et lui murmura:

« Attention aux ombres monsieur Smith. Attention aux murmures. Attention aux statues. »

Le vendeur le relâcha et retourna à sa besogne,laissant John,déconcerté.

John tenta bien de demander au vendeur de s'expliquer,mais ce dernier faisait comme si rien ne s'était passer.

Il retourna chez lui,tout penaud,un journal à la main. Que voulait-il dire par là?Qu'est ce que les ombres?Qu'est ce que les murmures?Pourquoi faire attention aux statues?John allait devoir y réfléchir très sérieusement.

Hello!J'espère que le dernier chapitre vous a plus!

John eu peine à se lever ce matin là. Comme chaque matin de ce jour. Ce jour précis qu'il détestait. Le jeudi. Il mais il était obliger,si il voulait gagner sa vie. Il se leva,et fit les mêmes actions qu'il faisait chaque matins depuis qu'il habitait dans cet appartement. Il descendit l'escalier de l'immeuble,sans croiser aucun voisin ennuyeux. Il marcha vers le lycée,tout en regardant autour de lui. Mais dans le brouillard matinal,pas de trace d'homme en noir,seulement le brouillard. Peut être se cachaient-ils,peut être était-il constamment observé. John n'en avait aucune idée. Il entra au lycée encore désert,mais au lieu de partir dans sa salle de classe,il décida de faire un tour dans la salle des professeurs. Peut être pourrait-il revoir la nouvelle enseignante,et en savoir un peu plus sur elle. Et il eu raison. Car dans la salle des professeurs étaient rassemblés tout les enseignants du lycée,et tous sirotaient un petit café. Parmi eux,évidemment,se trouvait Miss Oswald. John s'avança vers elle,mais fut arrêté par le professeur de mathématique:monsieur Penn. Monsieur Penn était un homme vieux,et assez enrobé,que John n'appréciait guère. Soit par son manque évident de culture,soit par sa manie de le contredire sans arrêt.

« Monsieur Smith!s'écria-t-il. Que nous vaut votre visite?Cela fait bien des années que nous ne nous avons pas vu ici!

-Je veux simplement...prendre un café,mentit-il,et la machine dehors est cassée.

-Ah oui,très bien. Répondit monsieur Penn. Ça tombe bien,je voulais vous parler de la seconde A. Je trouve certains élèves dissipés.

-J'en suis heureux pour vous!répliqua John. Il se força à boire un café,chose qu'il détestait,et essayait d'apercevoir Miss Oswald.

-Oui,enfin non!répondit monsieur Penn. Je trouve Susan particulièrement distraite. Elle n'écoute rien en cours et est toujours dans la lune.

« dans la lune ». John n'aimait pas beaucoup cette expression. Il la trouvait dénué de sens. Comment quelqu'un pouvait être sur la lune en même temps que sur terre.

-Je trouve Susan très intelligente monsieur,répliqua John,et je ne pense pas qu'elle soit la source du problème dans votre classe. Il continua de scruter la salle. La petite taille de la jeune enseignante n'aidait pas John à la distinguer parmi cette foule de professeurs,pourtant peu nombreux par rapport à d'autre lycées.

-Vous cherchez quelqu'un?demanda monsieur Penn.

-Euh...dit John. Oui,on m'a dit qu'il y avait un nouveau professeur,j'aimerais le rencontrer.

-Ah oui. Répondit monsieur Penn. Vous voulez parler de Miss Oswald!Un jeune femme très charmante!Et très jolie!Malheureusement pour moi je suis marié! »

Monsieur Penn se mit à rire,mais John n'en compris pas vraiment la raison. Il aperçu enfin Miss Oswald,discutant avec Miss Wright,une autre professeur d'histoire-géo. John se fraya un chemin parmi les professeurs,tout en évitant monsieur Chesterton,le professeur de science,qui risquait de lui parler du prochain concours de science. Il atteignit enfin sa destination que plusieurs minutes plus tard,et se retrouva devant Miss Oswald.

« Oh!s'écria-t-elle. Bonjours monsieur Smith!Comment allez vous?

-Bien. Répondit-il. Je vois que vous vous souvenez de mon nom.

-Smith,ce n'est pas très difficile à retenir!Dites moi,vous travaillez ici depuis longtemps?

-Euh...environ 15min...pourquoi?

-Mais non!ria-t-elle. Je veux dire:Depuis combien d'année enseignez vous dans ce lycée!

-Ah oui!dit John,se sentant bête. Je ne sais pas,cela fait longtemps. Je ne me rappelle plus quand j'ai commencé.

-Et vous avez des choses à me dire concernant vos collègues?J'aimerais juste savoir à qui il vaut mieux ne pas parler,par exemple.

-Ah oui!répondit-il. Je vois!mais,je ne sais pas si je vous serais d'une grande aide!Je ne met jamais les pieds dans cette salle!

-Mais que faites vous là alors?demanda-t-elle.

John ne s'attendait pas à cette question. Il aurait dû,car il ne savait pas quoi répondre. Il ne savait pas quoi inventer. Cette jeune femme,elle n'était de toute évidence pas ordinaire,pas du tout. Et il se doutait qu'il devait soigneusement choisir son mensonge,car elle n'était pas aussi bête et naïve que les autres professeurs.

-Je voulait dire un mot à...

Il regarda autour de lui. La moitié de ces personnes étaient pour lui des inconnus. Il ne s'était d'ailleurs jamais rendu compte du nombre de professeurs dans le lycée.

-Vous vouliez me voir,dit soudain la jeune femme,n'est ce pas.

-Euh...dit-t-il.

Il ne sût plus du tout quoi dire. Cela ne servait plus à rien de mentir de toute façon,elle semblait avoir parfaitement deviner ses intention.

-Ne vous inquiétez pas,ça ne me dérange pas. Dit-elle en riant. Beaucoup d'autres professeurs me tournent autour depuis tout à l'heure,je me demande même si un des profs de math n'a pas tenter de me draguer...

-Je ne veux pas vous draguer!répliqua aussitôt John.

-Voilà qui me rassure!répondit-elle en riant de plus belle. Bon,puisque vous sembler vouloir des choses sur moi,et que moi que veux en savoir plus sur ce lycée,je vous propose un jeu. Je vous pose une question,vous répondez,et ensuite c'est à votre tour de me poser la question.

-Très bien. Répondit John,amusé. Ça me va!

-Bien alors commençons:Suis-je la seul nouvelle dans le lycée?

-Non,Monsieur Taylor est arrivée i mois,mais quelque chose l'a poussé à partir pour le sud,je sais dans quel pays chaud. Peut être l'Espagne...Mais sans doute voulez vous parlez de quelqu'un qui travail encore ici!

-Oui.

-Peri Brown est arrivée le mois dernier dans la second D,une jeune fille très sympathique vraiment!

-Euh...très bien,mais je veux parler des professeurs...

-Ah oui!Euh...à part monsieur Taylor,personne...

-Bon très bien...À votre tour de me poser une question alors,et si possible pas trop personnelle.

-Ne vous inquiétez pas. Quel âge avez vous?

-Voilà une question pas du tout personnelle!ironisa-t-elle.

-Oh pardon!Alors...En quelle année êtes vous né?

-En 1989. répondit-elle en riant. Avec qui me conseillez vous d'être ami? Je veux bien sûr dire avec quel professeur et non avec quel élève.

-Miss Wright est assez sympathique,monsieur Chesterton aussi. Vivez vous à Londres?

-Oui,depuis mon enfance. Quand êtes vous né vous?

-Je ne sais plus,c'était il y a longtemps,j'ai dormi entre temps!Je ne sais même plus quel âge j'ai!Je ne comprend pas pourquoi il faudrait fêter la date de sa naissance tout les ans,alors que l'on nait qu'une seule fois il me semble!Compter le nombre d'année qu'il nous reste à vivre,c'est assez déprimant en plus!Peut être est ce pour savoir quand on meurt alors!C'est encore plus déprimant!Mais c'est vrai que ça peut être utile!Je vérifierais!

-Euh...Mais ça ne répond pas à ma question!

-Alors posez en une autre!

-De quel ville venez vous?Vous n'êtes pas de Londres,c'est certain,vous avez un accents écossais!

-En effet,je ne viens pas de Londres,je viens de Gallifrey.

-Ça sonne plus irlandais qu'écossais!

-Peut être...Bref,à moi de vous poser une question!Pourquoi êtes vous venu travailler dans ce lycée?

-Je veux simplement enseigner,pourquoi d'après vous?

-Je ne sais pas,vous êtes bien jeune!

-Je sais,et alors?

-Pourquoi avoir choisi ce lycée,il est vieux,démodé,il y a plein d'autres endroits plus récent et moderne que cette vieille ruine!

-Oui,mais j'aime bien les bâtiments vieux,ils renferment toujours plein de mystère!Et cela vous fait deux questions,à mon tour maintenant!

-Oui oui,pardon!

-Avec qui ne devrais-je pas trainer d'après vous?

-Karl est vraiment idiot et insolent,et inculte qui plus est!Je vous déconseille de vous rapprocher de lui et de sa petite bande de débiles heureux!Et vous vouliez une fois de plus parler des professeurs je suppose!

-Oui.

-Monsieur Penn,n'est pas le pire,croyez moi!Mais je n'ai pas retenu le nom des autres,disons que vous ne devriez pas trainer avec les professeurs de mathématique.

-Très bien,j'y penserais! À mon tout:Pourquoi vouliez vous en savoir plus sur moi?

-...

Elle l'avait encore coincé!Décidément,John devait se reprendre,déjà qu'une seul fois,c'était rare,alors deux,et dans la même journée,ça devenais vraiment grave!Il ne pouvais plus lui mentir,ou peut être n'en avait-il pas envie. Il n'avait pas envie de mentir à cette jeune femme qu'il semblait si bien connaître. Et il avait même l'impression qu'elle le connaissait elle aussi. Mais qui pouvait-elle bien être? Ça le rendait malade de ne pas comprendre!Mais en attendant,il fallait quand même répondre à la question,et John n'avait aucune idée du temps qui avait passer entre la question et toutes ses réflexions intérieur.

-Je...dit-il,hésitant. J'avais l'impression de vous connaître...

La jeune femme ria.

-Très bien,c'est tout ce que je voulais savoir au final!Mais il me semblait bien à moi aussi que je vous connaissait,il faudra que l'on se revoit pour en reparler!

La cloche sonna le début des cours,et la fin de leur conversation.

-À bientôt Monsieur Smith!dit-elle. Ah,et j'ai une dernière question!Pourrait-on se tutoyer?

-À condition que vous m'appeliez John!

-Très bien,alors appelez moi Clara!

Elle repartit dans le couloir,disparaissant de la vue de John. Ce dernier resta immobile,à scruter la porte d'où sa nouvelle amie venait de sortir. Alors elle avait ce genre d'impression elle aussi?Étrange. Très étrange. Il devait comprendre ce qui se passait vraiment. Une chose était sûr,il n'était pas amnésique,à moins qu'elle le soit aussi,ce qui ferait de sacrées coïncidence!Il se dirigea dans sa salle de cours,tout en réfléchissant à sa précédente conversation. Ils ne pouvaient pas se connaître lorsqu'ils étaient enfants,car déjà leur différence d'âge les éloignait beaucoup,il y avait aussi le fait qu'elle ai passer son enfance à Londres et lui à Gallifrey. Sa tête se mit à cogner en repenssant à ce mot. Gallifrey. Il était sortit tout seul tout à l'heure et ne cessait de le hanter. Gallifrey. Il n'avait aucune idée de ce que c'était,à par que ça lui donnait un sacré mal de crâne!C'était comme si quelque chose allait en sortir!Quelque chose à l'intérieur de son crâne. C'était une idée qui lui paressait assez folle. Mais il ne savait pas quoi penser d'autre. Il s'affala sur sa chaise,ronchonnant contre sa migraine et ces chaises de bureau si inconfortables,et prit sa tête dans ses mains. Il ferma les yeux. Ça n'était pas la première fois que ça lui arrivait,bien que cela soit assez rare. La dernière fois,c'était en regardant les étoiles,il s'était soudainement souvenu de centaines de noms d'étoiles et de planètes dans sa tête,sans savoir d'où cela sortait. Il le savait,c'est tout. Peut être était-il amnésique,ce qui expliquerait qu'il ne se souvienne de rien concernant son enfance. Il n'en savait rien.