Voici ma première fic. J'attends votre avis.

Quand ça change une vie ou plutôt deux ...

Chapitre 1

Le soleil du jour traversait la fenêtre de la chambre de Tempérance Brennan, antropologue à l'Institut Jeffersonian. Un léger rayon de soleil vint éclairer son doux visage, ce qui la réveilla. Elle ouvrit délicatement ses yeux, et fut éblouie par la lumière du jour. Elle soupira légèrement et prit son oreiller pour le mettre sur sa tête.

« Oh ... Horrible mal de tête ... »

Elle décida finalement de sortir sa tête de sous l'oreiller et regarda son réveil ... 7h00 ... Le réveil n'avait pas sonné, elle crut alors qu'on était samedi ou même dimanche. En réalité, on était lundi, et à cette heure-ci elle aurait déjà dû être en train d'examiner ses vieux os...
Elle se retourna enfin pour s'étirer... Mais elle fut sous le choc en découvrant un homme dans son lit, ce qui la fit tomber du lit avec son drap
avant de se prendre la tête dans sa table de nuit. Pourtant elle ne se souvenait pas que la nuit dernière avait été agité.

« Aïe ! »

L'inconnu se retourna.

« Hey mais il fait froid là !
« Booth ! Oh mon Dieu ! C'est impossible !
- Primo vous ne croyez pas en Dieu, Bones, et deuzio je suis nu et j'ai froid ! Passez moi le drap !
- Non ! Qu'est-ce que vous faites là ? demanda-t-elle avec colère. Oh ! Ne me dites pas qu'on a...
- D'abord je veux le drap ! Vous, vous avez une chemise... Ma chemise ! »

Il se jeta alors sur sa collègue - laquelle était encore sous le choc d'avoir retrouvé dans son lit son collègue Booth, et à plus forte raison tout nu - et s'empara du drap lorsque Brennan tira dessus pour le reprendre.

« C'est mon drap ! protesta-t-elle.
- Et moi je suis nu ! Vous n'avez pas d'excuse vous portez MA chemise ! »

Finalement, Bones céda : il n'avait pas tort!

Bien qu'elle ne se soit pas gênée pour jeter un coup d'oeil sur sa musculature et son corps... de rêve.

« Merci Bones... soupira-t-il.
- Ne m'appelez pas Bones ! C'est débile comme surnom !»

Ils étaient à présent debout l'un en face de l'autre... Le silence s'installa dans la pièce... Ils étaient là, les yeux dans les yeux, gênés.

Bz Bz Bz

Ce fut le portable de Brennan qui brisa le silence.